Mûres102Montages:boire à la vulve d'Anne

chère Anne,

J'ai très envie de découvrir le goût de ta mouille vaginale.
Tu as l'air si candidement sérieuse, toujours dynamique, préoccupée par trente-six mille associations...tu t'habilles si discrètement...
Franchement, est-ce que tu te masturbes de temps en temps?
Est-ce qu'une dame brune de soixante ans si souriante, comme toi, ne s'épanouit que dans des activités amicales et culturelles, ou est-ce que tu prends de temps en temps une expression extatique lorsque tu te touches?
Je sais que tu n'as personne dans ta vie.
Je t'imagine mal entrer dans un sex shop et t'acheter un gode...mais est-ce que, de temps en temps, tu te masturbes?
Le fait que tu ne fasses rien pour séduire stimule mon imagination.
Les montages reçus par Thomas ont mis de l'huile sur le feu. Maintenant, je me branle beaucoup pour toi.
J'aime ton air chaste, toujours un peu étonnée tes joues légèrement rebondies, ton expression joyeuse, tes sourcils noirs et arqués. En été, je ne peux m'empêcher de regarder tes jambes toutes blanches et bien dessinées.
Je peux imaginer que tes hanches se sont un peu empâtées, et que tes nichons ne doivent pas être spectaculaires.
N'importe! En pensée, je passe ma main dans ton chemisier, je les palpe.
Si tu me voyais regarder les fakes de Thomas, debout contre le lavabo, avec tout mon sang lancé comme un train à pleine vitesse, en me secouant la bite devant ton image!
Dans un dernier envoi, absolument exquis, je t'ai découverte telle que tu serais si j'avais eu au moins une fois l'occasion de te brouter la touffe.
Je te vois assise dans la grande salle de notre association. Nous sommes seuls. Par une transition qu'il m'est difficile d'imaginer, je prends tes jolies jambes dans mes mains et les écarte.



Tu gardes ton expression candide, étonnée. Souriante et gênée, tu me regardes faire glisser ta culotte blanche (c'est tout ce que j'ai vu de ton entrejambe dans la réalité, dans une fraction de seconde) jusqu'à tes chevilles.
Anne, je te bouffe la chatte.
Je ne dirais pas: je te suce. c'est trop raffiné pour une vulve bio, élevée aux grains, garantie sans hormone.
J'aime ces poils gris, assez longs, au milieu des poils noirs. Ils sont à l'image de ta chevelure.
Ta coiffure est toute simple, mais soignée. Coupe au carré.
Par contre, la foufoune...tu sais que c'est bien cochon, ce long poil gris qui dépasse, sur une des grandes lèvres?
Tu ne dois même pas si souvent te mettre en maillot de bain. Tu passes plus de temps dans les églises.
Bon, je me mets à table, si j'ose dire. Je dois un peu écarter les poils, pour comprendre ce que je vais lécher.
D'accord, le clitoris est caché là...les grandes lèvres ne sont pas très apparentes, c'est un peu le fouillis, tout ça.
Je ne peux pas donner dans le raffinement. D'ailleurs, je ne suis pas confortablement installé, accroupi devant toi, entre deux rangées de sièges, dans cette grande salle vide.
Premier coup de langue, avant que tu ne rabattes ta robe, que tu changes d'avis. Laisse-toi bouffer, Anne, je t'en prie.
Grand coup de langue sur toute la longueur de la fente. J'atteins forcément le clitoris dans la foulée. Je n'insiste pas trop sur lui.
L'essentiel, c'est que l'entrée de ton vagin soit lapé.
ça y est, tu n'es plus cette gentille coincée, pieuse et dynamique de tout à l'heure...
je lèche tes parties sexuelles
Anne, tu te fais lécher le sexe...


tu n'es pas en séance de quoi que ce soit, ni en train de visiter quelque chose, ni en train d'agender un rendez-vous, ni en train d'intégrer une notion, ni en train de tonifier une partie de ton corps...tu te laisse aller, juste à te faire lécher...tu te laisse couler de la chatte...
tu n'imaginais plus à quel point un jeune homme peut être heureux juste à respirer ta foufoune?
putain, j'ai le nez dans tes poils...dès que je balaie et suçote tes lèvres vaginales, j'ai des trucs filandreux dans la bouche...
tes poils sont tout mouillés, cela fait de petites mèches
Lèvre contre lèvres...ma bouche contre ta bouche cachée...ta triste petite fente barbue de femme sage...
J'aimerais m'arrêter, et te regarder, avec ton air candide, les joues rouges, dans une position ouverte de joyeuse salope...
Je m'adresse à ce qu'il y a de primitif en toi, de velu...je pousse ma langue dans ton vagin
J'aime dire ce mot
Le vagin d'Anne qui me moule la bite
ça, c'est l'étape suivante.
Bien sûr que je rêve de couler de la bite, bien gainé dans ton vagin
Sur un des fake de Thomas, je te vois, souriante, allant au devant de mes désirs: tu lèves ta robe, et tu tire sur ta culotte à moitié enfoncée dans ta fente, comme un string.
C'est la transition entre la femme sage à la culotte blanche, et la future salope qui adore se faire tirer régulièrement, qui fait monter le désir du jeune homme qui se paluche devant elle.
Tu as gardé cette culotte fonctionnelle, candide...mais dans un geste qui la rend obscène: tes poils dépassent allègrement...c'est ton côté salope qui est en train de sortir, mais dans le costume et l'allure de la femme sage et active d'il y a une semaine.
Je n'ai pas besoin de te dire que j'ai envie de te présenter ma bite pour la mettre dans ta bouche.
Je suis assez réaliste: je ne dis pas "pour que tu me suces"
Non, Anne, tu suces mal...tu n'aspire pas, tu ne fais pas tourner ta langue, comme cette vieille salope de Brigitte, que tu as connu, n'est-ce pas? Brigitte, qui est une patineuse artistique de la langue...vieille pute chic!
Peut-être qu'un jour, tu m'empoigneras la bite, et tu me suceras lentement, langoureusement, ma chère Anne
Quand tu seras devenu ma bonne salope
Pour le moment, j'ai fait mouiller ton vagin, je t'ai fait dégorger ton sirop de vulve, dont je me suis abreuvé avec des bruits de succions obscènes
La mouille du vagin d'Anne!
Sirop de chatte, bu à la source
Je ne m'attends pas à ce que tu me suces...mais à ce que je me branles moi-même, doucement, dans ta bouche...ta bouche comme un vagin
tu vois comme c'est simple?


<div>Tes lèvres souriantes, tu les maintient juste comme ça, un peu serrée...surtout ne change rien à ton air candide, tandis que je te fais l'amour dans la bouche
Anne, tu aimes ce contact de mon gland tout lisse et laqué, qui va et vient doucement...tu sens quelque chose de sa vibration, de sa tension qui vient du fond de mes couilles, de mes entrailles pleines de jus qui bouillonne pour ta bouche de candide petite pute?
Quand ça va gicler, tu auras de quoi faire ton air étonné...eh oui, cette bouche reçoit de la bite comme un sexe...tu n'es pas obligée d'avaler, si tu veux je te gicles dessus...
non, tu ne veux pas...
bon, je te l'enfonce de nouveau, tu n'auras pas le temps de jouir, car je ne vais pas tenir longtemps
Anne, tu sais que j'aime te monter, sans ménagement, pour gicler en vitesse?
Finalement, ta jouissance répond à la mienne, en symétrie.
Le frémissement de ma bite fait contracter ton vagin, déjà sensibilisé après s'être fait poinçonné par une langue tout raide, et léché au moins vers l'entrée...
sur un fake de Thomas, je vois Muriel, l'étudiante aux longs cheveux noirs bouclés, tout aussi candide que toi, accroupie devant ma queue tendue, qu'elle tient déjà dans sa main douce
Muriel, je pense qu'elle sucerait
Pas forcément très bien, mais avec une grande douceur de petite langue de chatte
Bouche serrée, comme sa petite foufoune d'étudiante
Je la vois plus prête que toi à se faire enculer
Elle est encore jeune, malléable, elle est timide mais sportive
Alors, quand le fake de Thomas la montre les jambes relevées de manière acrobatique, les pieds posés derrière la tête, avec une bite qui lui explore le trou du cul, je peux bien m'imaginer ce à quoi je n'aurais jamais pensé sans le fake:
enculer joyeusement Muriel
Elle a l'air de vouloir essayer
Pas une expression extatique de grande enculée, de routinière de l'anus comme Brigitte ma pute..
Juste une jeune fille curieuse, disponible
Un cul sain, élastique..."pendant qu'on y est ,autant essayer...oui, t'es dedans..."
Gicler en ayant le bout étranglé dans l'anus de Muriel...
il faudrait le faire dans son jardin, en été...sa maman revient de la cuisine, deux verres d'eau à la main, avec une rondelle de citron et une paille...
-"pour quand vous aurez fini..."
Elle ressemble beaucoup à Muriel. Elle a des lunettes de soleil, ses longs cheveux bouclés comme sa fille dépassent de son chapeau de paille.
Elle regarde sa fille qui se tient toujours le passer en l'air, jambes par-dessus tête, avec une bite qui les bouche rythmiquement son petit anus
Quand je dis: "ça vient..." la dame n'en perd pas une miette
Mais il n'y a rien à voir.
Muriel, souple comme une petite antilope, se relève. Ses fesses se referment pudiquement sur son anus, on ne voit plus rien. Ah si...une coulée de foutre qui commence à s'étendre sur sa cuisse élancée...elle va prendre une douche
Anne, je t'enculerai en pensée...mais pas tout de suite...je dois d'abord apprivoiser ton anus, te lécher entre les fesses
J'aime te voir sur le fake, déjà bien rodée, bien salope
Assise sur un canapé, tu te soupèses les nichons, pour qu'ils paraissent plus gros, pour m'inciter à la sucer




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