Mûres114/Cécile 23/gd mère a des gros nichons






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Lorsqu'Olivier s'éveilla, sa queue était dure comme une barre à mine. Il entendait les voix de ses parents et de sa grand-mère qui devaient prendre le petit déjeuner au rez-de-chaussée.
Il lui fallut quelques secondes pour que la mémoire de sa queue remontât à sa conscience: il n'était plus puceau.
Il avait fièrement déversé sa semence dans le vagin de Charlotte. Cette petite dame bien en chair, ce fruit mûri au soleil du vice, avait écarté ses cuisses pour lui, sur ce même lit.
Une femme de mauvaise vie, une égoïste, une perverse qui l'avait abandonnée, voilà ce que sa mère disait de Charlotte...voilà pourquoi il n'avait jamais connu sa grand-mère, tenue à l'écart de la famille.
L'atmosphère était si détendue, si joyeuse, maintenant que la famille s'était retrouvée.
Si ses parents savaient! S'ils réalisaient que la mamie joviale avec laquelle ils conversaient maintenant, elle venait de s'offrir deux fois, cuisses écartées comme une grosse dinde sur le lit de leur fils...et que celui-ci s'était répandu avec feu dans sa vieille chatte accueillante!
<div>Et sa mère Denise....ne ferait-elle pas une attaque, si elle réalisait que le sexe de Charlotte avait entouré de longs instants le membre de son fils, comme un gant très doux et tout gluant de mouille, et que cette matrice avait bu les giclées expulsées par les jeunes couilles d'Olivier?
La grosse poitrine de Charlotte, au lieu d'inspirer une générosité toute maternelle, protectrice, au lieu d'accentuer le personnage de la grand-mère rassurante dans son appartement fleuri, cette poitrine avait excité Olivier, qui caracolait sur la grosse dame comme un poney tout nerveux.
Et son père Francis, le pauvre, qui ne devait pas jouir souvent avec Denise, si sévère, si terre-à-terre...il ne devait pas réaliser comme c'était bon de sauter une vieille salope qui mouille bien.


Quelle nuit! Olivier n'osait pas descendre, faire la bise à sa grand-mère...il avait l'impression qu'on verrait que quelque chose s'était passé...rien moins qu'une nuit de sexe.
Il descendit les marches de l'escalier. Son érection de tout à l'heure s'était changée en trac, en culpabilité.
Lorsqu'il entra dans la salle à manger, qui jouxtait la cuisine, Charlotte était de dos, toute petite, le dos rond.
Il se pencha vers elle, lui fit la bise.
Elle était souriante, sans aucune gêne...quelle actrice!
La lumière du jour inondait gaiment la pièce. Elle faisait étinceler les couverts.
Et pourtant, il y a quelques heures, sous le manteau de la nuit, Olivier était attablé à un étrange festin de sexe: à plat-ventre, entre les cuisses potelées de sa grand-mère, ne voyant que les gros globes de la vieille vicieuse, il lui lapait la vulve...elle gardait une main sur ses cheveux pour le guider...
Quelques mètres seulement le séparaient de son père ou de sa mère qui s'étaient levés juste à ce moment là...ils n'auraient eu qu'à ouvrir la porte pour découvrir la scène
Le coeur battant plus fort, les cuisses de Charlotte étouffant les sons comme dans un aquarium, le garçon continuait de laper la mouille en écoutant les bruits légers des pas dans le couloir, de portes qu'on ouvre et qu'on ferme doucement....et il léchait, léchait, avec angoisse et ravissement.
-Continue, continue, murmurait Charlotte, qui maintenant parlait très fort à ses parents.
Elle jouait si bien son rôle que, l'espace d'un instant, Olivier se demanda si les évènements de la nuit s'étaient réellement déroulé, lorsqu'il sentit quelque chose qui les effleurait l'entre-jambe.
La vieille salope, tout en parlant, tendait la jambe sous la table, et cherchait ses parties génitales du bout du pied!
Elle les trouva. Le pied de Charlotte oscilla un instant en un mouvement vertical le long de la verge. Olivier devait faire une drôle de tête, car le pied se retira.
Charlotte se leva pour se couper une tranche de pain. Malgré sa robe de chambre, on devinait qu'elle avait un gros croupion.
Son père le voyait aussi, ce fessier rebondi, ne serait-ce que machinalement. Olivier en concevait de la gêne, de la honte...comme si la forme de ce cul de vieille pute allait révéler quelque chose du plaisir qu'il avait eu de gicler dedans.





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toujours excité, Olivier n'attendait qu'une chose: se retrouver en tête-à-tête avec Charlotte.
Il remonta à l'étage. Bon sang, qu'est-ce qu'elle avait à discuter pendant si longtemps? Il la voulait pour lui.
Enfin, il l'entendit remonter les marches, et entrer dans la salle de bains. Il s'y précipita.
Une fois la porte repoussée, il se précipita vers elle, embrassant fougueusement Charlotte, qui lui enfonça une langue vicieuse et décomplexée dans la bouche.
- On n'est plus tout seuls, chéri...dit-elle très vite. Oh mais tu es tout dur!
Elle entrebâilla la porte, et tendit l'oreille.
- C'est bon, ils sont en train de discuter, là en bas. Je vais te montrer un truc qu'on n'a pas fait.
Elle s'accroupit en écartant les pans de sa robe de chambre. En tirant sur sa chemise de nuit, avec deux mouvements rapides, elle sortit ses gros seins.
- Tiens, viens vite là....
Les genoux pliés comme un skieur, Olivier mit sa queue dans le doux sillon qui partageait les seins de sa grand-mère.
Charlotte se tenait les seins pour que la bite se sentît bien enveloppée. Elle le faisait sans efforts. Pas besoin de garder deux doigts à plats pour enpêcher que la queue ne s'échappe de sa gangue de chair.
La verge du garçon disparaissait naturellement entre les gros nibards. C'est à peine si on voyait le bout du gland réapparaître rythmiquement à la base du cou de Charlotte, à chaque mouvement de va-et-vient.
Charlotte avait de vrais seins de pute, faits pour la branlette espagnole. Elle avait du en traire, des queues. Ces seins de pute, il n'étaient pas faits pour donner du lait, mais pour recevoir celui que les messieurs lui donnaient en grognant.
Charlotte repoussa le garçon.
-Il faut rester prudent. On fera ça quand on sera tranquille.
Avant de se relever, elle lui fouetta la queue avec ses gros globes, en tortillant du torse dans un sens puis dans l'autre, par pure perversité.
Elle chassa Olivier de la salle de bains. Restée seule, elle sourit à son image avant de prendre sa douche. Elle fit mousser sa toison pubienne. Son vagin était bien humide.
En fin de matinée, Olivier heurta doucement à la porte de sa grand-mère.
On allait bientôt passer à table.
Il ferma la porte. Elle le regarda d'un air faussement réprobateur, comme si elle disait: "Incorrigible, tu ne peux pas te retenir..."





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De nouveaux, ils échangèrent un baiser humide.
- Tu ne t'es pas branlé? demanda Charlotte.
- Non...j'ai super-envie, dit le garçon.
- Trop dangereux, murmura Charlotte.
Après une hésitation, elle se retourna, releva sa robe.
- Bon, mais alors en vitesse.
Denise lança, en parlant très fort, depuis le rez-de-chaussée:
- On mange dans cinq minutes
- On arrive, répondit Charlotte, le cul à l'air, déjà positionnée pour se faire monter.
Olivier se plaça derrière sa grand-mère, saisit les hanches grasses, et l'enfila. En trois aller-et-retour, il s'était enfoncé jusqu'aux couilles. Il n'eut pas besoin de la pilonner rapidement. En quelques mouvements, son sperme montait, comme aspiré par la caresse enivrante des muqueuses de la vieille salope.
Dès qu'il sortit, il se dépêcha de se laver. Charlotte se tamponna la foune avec un mouchoir. Ils descendirent séparément l'escalier.
Charlotte s'était recoiffée, un peu maquillée...en descendant l'escalier vers la salle à manger, on ne pouvait pas deviner que cette vieille dame venait de recevoir un bon coup de bite dans la chatte.

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发布者 langauchat
4 年 前
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