Mûres121/Cécile26/quand tout bascule
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-D'accord, je te suce un peu, mais pas jusqu'au bout. Josiane ne va pas tarder. Je ne veux pas la faire attendre, dit Cécile au jeune étudiant qui n'arrêtait pas de la palper, de la frôler comme un caniche en rut.
Aurélien était habillé très correctement pour ce premier souper avec Josiane. Il était presque intimidé à l'idée de se retrouver au restaurant en compagnie de ces deux dames, Cécile sa vieille logeuse, plutôt mince et assez grande, d'allure austère, distinguée, et Josiane, petite dame rousse et trapue, énergique et vulgaire.
Cécile s'était mise sur son trente et un, tout en noir, avec un chemisier et une robe plissée qui la rendait curieusement très excitante. Aurélien pensait à une institutrice tirée d'une scène de sado-maso, prête à s'asseoir sur ses élèves, à se frotter la vulve sur leur bouche en les insultant.
Comme si rien n'était plus naturel pour une dame de 73 ans qui loge un étudiant de 18 ans, Cécile se mit à le sucer à la cuisine, assise sur un tabouret.
Debout, le garçon avait gardé son pantalon. Sa queue sortait de sa braguette. Il avait beau être debout, en train de se faire tirer une pipe par la retraitée, c'était lui le soumis. Il était prisonnier des sensations fortes que lui procurait sa relation érotique avec Cécile.
Cécile était en train de lui donner de petits coups de langue affolants sur le gland déjà luisant de salive, lorsque la sonnette retentit.
Comme pris en faute, Aurélien rangea sa bite dans son pantalon. Cécile se leva prestement, enfila son manteau.
Ils prirent l'ascenseur, et se dirigèrent vers la porte d'entrée.
Aurélien distingua une petite silhouette qui faisait les cent pas devant la porte d'entrée. La figure ronde de la maquerelle aux grosses lunettes se tourna vers lui. Comme ses cheveux courts flamboyaient! Ils étaient presque rouges.
Aurélien se sentit happé par une vague de chaleur sexuelle lorsqu'il toucha les épaules de Josiane à travers son manteau en peluche écarlate pour lui faire la bise.
Il sentit un parfum lourd, une haleine de fumeuse. Le fond de teint de Josiane lui laissa un goût de pâtisserie sur la bouche, tandis que les lèvres épaisses de la grosse salope lui effleuraient les joues.
"Une bouche de pipeuse", ne put-il s'empêcher de penser.
Soudain, il se rappela que Cécile l'avait filmé avec son téléphone tendit qu'il se faisait jouir. C'était pour Josiane, avait-elle dit. Il n'y croyait pas, il pensait que c'était une manière de lâcher quelque propos outrancier, pour faire monter l'excitation.
Ces quelques mots lâchés gentiment par Josiane le clouèrent dans son rôle de petit vicieux soumis:
- En tout cas, il a une belle queue. J'ai bien aimé regarder. Tu ne dois pas t'ennuyer, dit la salope à son amie cérébrale et distinguée.
"Elle aurait pu s'adresser à moi en disant cela", pensa Aurélien.
-Cela me gêne que vous ayez vu cela...c'était un moment intime...
- Mais non, pourquoi se gêner, lança Josiane en prenant Aurélien par le bras. Le sexe, c'est naturel. Et moi, j'aime bien voir un homme qui jute. Tu vois, Cécile, il ne veut pas que je voie...il veut te garder pour toi. Ah! les amoureux! vous devez vous en payer du bon temps...cela me fait plaisir de voir ma copine s'éclater avec une jeune...je te trouve très sympa, Aurélien, je suis bien contente qu'on se retrouve tous les trois...depuis le temps que Cécile me parle de toi.
Aurélien commençait de se sentir plus à l'aise. Il se sentait même d'humeur légère lorsqu'il poussa la porte du restaurant, suivi de ces deux dames, dont l'une, très âgée, lui pompait son foutre juvénile quotidiennement, et l'autre transpirait le vice par tous les pores de son corps épanoui
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Olivier tenait sa grand-mère par la taille en regardant la voiture de ses parents s'éloigner dans l'allée. Il allait rester tout un week-end avec cette salope, dont il n'avait fait la connaissance que dernièrement, puisque sa mère avait refusé pendant toutes ces années de revoir cette mère indigne et dévergondée.
Charlotte était devenue une adorable petite mamie grassouillette, blonde et souriante, dont Olivier palpait maintenant la croupe charnue. Sa main ne pouvait pas rester inactive. Depuis cinq minutes, le corps chaud et rond de Charlotte, blotti contre lui, lui transmettait une chaleur qui le brûlait jusque dans les couilles.
Depuis dehors, les parents d'Olivier ne pouvaient voir que les têtes d'un garçon fluet et celle d'une mamie souriante, qui visiblement s'entendaient à merveille, et se réjouissaient de garder l'appartement pendant que papa et maman prendraient des vacances chez leurs amis.
- Déjà! Petit vicieux, tu ne perds pas de temps.
Il se tourna vers elle. Il avait faim de cette bouche brûlante et trop maquillée. Plaqué contre Charlotte, enivré par l'élasticité des gros nichons de la vieille dame, il colla sa bouche contre la sienne, ouvrit les lèvres pour encourager la vieille cochonne à lui enfoncer la langue dans la bouche.
-Pas ici....on est en pleine lumière, on pourrait nous voir depuis dehors.
Ils marchèrent enlacés, titubants, jusqu'au salon, et s'affalèrent sur le canapé. La salle de séjour familiale s'emplit de bruits de succion, de soupirs, de mots crus.
-Où est-ce que je l'aurai cette petite bite, pendant ces deux jours, hmm? haleta Charlotte en pinçant la bosse qui déformait l'entrejambe d'Olivier.
-Partout, partout, promit Olivier, qui aurait signé son arrêt de mort, tant il était hors de lui. Mais d'abord entre les seins, j'adore...
Fébrile, il déboutonnait déjà le chemisier de la mamie, au risque de l'abîmer en plonger ses mains impatientes vers le soutien-gorge. Il avait déjà sorti un gros sein tout mou qu'il suçotait goulûment.
- D'accord, chéri...tu les aimes, mes gros nichons? Mais...tu ne me jutes pas dessus tout de suite, ce serait trop dommage. On a toute la soirée, toute la nuit. Et puis je voulais nous faire un bon petit souper en amoureux.
Le frêle jeune homme blond, tout nerveux, enlève ses lunettes, baisse son pantalon. Il sort le deuxième nichon de la grand-mère, se place devant elle, et commence à se branler entre les melons de la vieille salope.
Il donne des coups de reins puissants, pour que le gland, qui disparaît entre les seins, se retrouve le plus loin possible, vers la bouche de Charlotte.
Cela veut dire: suce-moi! par pitié! en langage des sourds-muets.
Comme c'est une gentille mamie, Charlotte lui donne une petit coup de langue sur le bout, mais le repousse gentiment, et remballe ses gros nichons.
-Viens, chéri, je vais préparer le souper. Sois raisonnable.
Pendant qu'elle coupe des légumes, Olivier s'est agenouillé comme un petit chien en rut sous les jupes de la grand-mère. Il lui baisse sa culotte.
- Tu es terrible, toi...quand tu as une idée en tête...
Elle soulève les jambes légèrement, pour qu'Olivier puisse lui enlever sa culotte. Il pétris le gros cul de mamie, et fourre son museau le plus loin possible, pour bâfrer de la mouille de vieille pute. Il pousse sa langue au hasard, et rencontre un tapis feutré de poils.
quand Olivier cherche à écarter les grosses fesses de Charlotte, celle-ci s'interrompt dans son travail, et se prend elle-même une fesse dans chaque main, afin de s'écarter la raie.
Putain! Le garçon lui offre exactement ce qu'elle voulait: il lui lèche le trou du cul.
Elle adore ça, la vieille pute, se faire bouffer l'oignon par un petit jeune. Elle n'a pas fini de lui demander de lui faire ça, elle va le faire travailler de la langue pendant toute la nuit.
Après bien des efforts, elle écarte Olivier de son fessier. Après la luxure, la gourmandise.
La mamie vicieuse et le jeunet passent à table, et ne lésinent pas sur les vins.
-On sera mieux à l'étage pour baiser, dit-elle, dans un langage complètement relâcher.
J'aimerais tu tu continues de me faire comme tout à l'heure. viens....
Olivier s'apprête à conduire mamie dans sa chambre.
- J'ai une idée..on va faire de petites cochonneries dans la chambre à coucher de papa et maman. tu ne trouves pas cela plus excitant? Mais on ne baise pas là, il ne faudrait pas faire des taches....
ils entrent dans la chambre à coucher bien rangée. L'atmosphère y est paisible, très sage, comme endormie.
- Non, pas la grande lumière. Juste une lampe de chevet, c'est plus joli.
Ils se déshabillent. Ils adorent déambuler dans la maison vide en se tenant la main...le garçon fluet, et la vieille salope aux gros nichons qui tombent.
Charlotte a perdue toute retenue.
- Fais moi comme tout à l'heure à la cuisine. Couche-toi, je m'assaille sur toi...bouffe-moi le cul, j'adore ça!
Allongé, la queue tendue comme une antenne, Olivier se laisse submerger par une grosse lune qui s'écrase sur lui. Charlotte s'écarte les fesses. Il lèche l'anus de la mamie.
- Ah, putain, c'est trop bon. J'aime qu'on me bouffe le cul. Oui, oui....avec toute ta langue...vas-y, lèche moi toute la raie. Maintenant, reste sur le cul, juste des petits coups de langue. Ah putain, tu m'encules avec ta langue.
Olivier ne voit rien. il lèche.
- Bouffe moi le cul, petite pute! hurle Charlotte.
Soudain, le cul de la mamie se raidit d'un seul coup. Elle pousse un cri qui n'a rien d'érotique.
Enivré par le vin et par la mouille, les yeux mi-clos, Olivier repousse le gros cul de la vieille. Il croise un regard incrédule, horrifié. Paralysé par la stupeur, il reconnaît sans y croire la silhouette de son père dans l'encadrement de la porte.
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4 年 前