Partouze sur le tard (Brigitte,75ans)

Authentique: Brigitte, blonde et sévère petite dame à chignon, qui fut mon amante pendant 3 ans, m'a accompagné dans un club échangiste
Elle n'a fait que me sucer et se faire baiser dans la pénombre
Je raconterai tout à nouveau, méthodiquement, puisque toutes les histoires sont supprimées
Le dernier fake de Thomas, un vrai cadeau: agrippée des deux mains aux crochets d'un vestiaire de gym, Brigitte se fait bouffer la moule par un petit jeune, assis sur le banc
La vieille dame a chaussé de longues bottes de cuir noir, un corps de pute, une tête de préceptrice anglaise de la belle époque
Elle goûte cette nouvelle façon de se masturber: ancienne sportive, la voilà qui retrouve de la souplesse en ondulant son corps svelte encore ferme pour se frotter la vulve contre la bouche du garçon, dont la belle queue se dresse désespérément dans l'air
Ce qui me rend dingue en voyant cette photo, bien que fake, n'est pas irréelle
Tout d'abord, la vieille dame avait réellement pris goût à porter les vêtements sm que je lui apportais. Au risque de me répéter, je ne me lasserai pas de redire à quel point j'adore voir une vieille dame très digne habillée comme une pute, ses seins fatigués éclatant de blancheur obscène hors du scintillement noir du vinyle, ses tétons fragiles mis en valeur par la brutalité du cuir, comme si elle suppliait: ils ne sont plus aussi frais qu'avant, mais je t'en prie, dis-moi qu'ils te plaisent, tète-les moi, suce les nichons de la grand-mère pute, qui veut te faire bander
Ensuite, elle aimait jouir, s'exhiber devant les miroirs de sa maison cossue
Elle aimait pisser sur moi dans la baignoire
Elle se relevait sur ses coudes pour voir ma grosse bite pistonner sa vieille moule toute rasée, comme une petite fille de quatre vingt ans
Elle avait accepté de parler à une hôtesse de téléphone rose pendant que la léchais
La femme au bout du fil n'entendait pas grand chose, mais devait se branler en imaginant que la petite dame à la voix fluette, âgée, se ferait bourrer la vulve par un jeune, se faisant lécher l'anus au lieu de faire du tricot
Quand je me branlais, assis au-dessus de Brigitte, couchée dans son lit, mes genoux des deux côtés de son oreiller, elle me bouffait les couilles comme une salope
-ça te gêne, ce qu'on fait? avais-je demandé ( c'était au début de notre relation)
- non, j'adore, ça m'excite
Et la grand-mère raffinée recommençait de faire balancer mes burnes comme des cloches à la volée, avec sa langue de pute
Si elle avait pu franchir le pas, Brigitte aurait adoré se retrouver à genoux devant deux ou trois queues tendues
Enivrée par le vice, Brigitte introduisant deux glands dans sa bouche fine, sa langue passant d'un gland à l'autre
Du sperme qui dégouline sur ses petits nichons discrets, sur son collier de perles
Alors, le fake de Thomas me rend dingue, je vois le potentiel de Brigitte
Une partouze avec de vieilles bourgeoises raffinées
Brigitte ayant basculé dans le vice, prête à faire quelques acrobaties pour mettre en évidence son corps bien entretenu
Ses petites fesses blanches qui ondulent, tandis qu'elle se suspend aux crochets du vestiaires
Elle ondule pour se faire chatouiller là où elle veut, à la vitesse qu'elle veut, sur la langue tendue de l'étudiant qui bande
Moi je regarde Brigitte se branler sur les lèvres du garçon, je regarde, debout, pendant qu'une dame qui ne me plaît pas, avec de longs cheveux gris filasses et des lunettes, s'est glissée entre mes jambes. A genoux, elle fait tout ce qu'elle peut pour m'exciter en léchant mes couilles
une dame mûre aux gros seins, petite, probablement portugaise, me cligne de l'oeil
Je laisse la lécheuse éperdue pour répondre à l'invitation de la portugaise, qui me regarde par-dessus son épaule, après s'être mise à quatre pattes
Je vois que Brigitte n'est plus la femme jalouse et moraliste que j'ai connue, car, lorsque j'encule la petite dame en levrette, Brigitte vient me lécher le trou du cul, aussi gentiment que lorsque nous sommes seuls tous les deux