Le train Paris-Lisbonne
A 19 ans, j'étais devenu ami avec un portugais qui faisait ses études en France. Après m'avoir vanté la beauté de son pays, il m'avait invité à passer 2 semaines dans sa famille à côté de Lisbonne. Parti depuis début juillet, il m'attendais là-bas pour la fin du mois.
J'ai pris le train de nuit Gare d'Austerlitz à Paris, sans couchettes car elles étaient réservées.
Je me retrouvais donc dans un vieux compartiment sur une place assise lorsque le train quitta la capitale vers 22h.
Nous étions trois dans le compartiment. Une dame d'une soixantaine d'années et un homme d'environ 75 ans.
Le vieux monsieur me sourit et engagea la conversation. Il était face à moi côté fenêtre. La dame occupait une place coté couloir.
Il s'appelait Serge et se rendait à Hendaye voir ses enfants. Il connaissait bien l'Espagne et le Portugal, et il me renseigna sur une multitude de choses à visiter sur place. Il portait un costume brun, le crâne dégarni avec une couronne de cheveux blancs, et ses yeux ne cessaient de me détailler de la tête aux pieds tandis que nous discutions.
Au bout de deux heures, tout le monde dormait à poings fermés, bercés par le bruit régulier du train sur les rails.
J'entrouvris un oeil et je vis que Serge ne dormait pas. Il me regardait en se caressant à travers le pantalon, au niveau de sa braguette. Je fis mine de continuer à dormir.
Il ouvrit doucement sa braguette, après avoir vérifié que la dame côté couloir était toujours endormie.
Il extirpa son sexe encore recroquevillé.
Ma respiration s'accentua légèrement en voyant cela. Je maintenait mes yeux plissés pour continuer de l'observer.
Son sexe était court, mais je devinait un gland de bonne taille sous son prépuce.
Il le décalotta et commença de lents va et vient avec son pouce au-dessus et son majeur et son index dessous. Il regardait mon visage et descendait son regard vers mes jambes écartées et ma braguette.
La lumière alternait au fil du voyage, et je voyait la surface de sa tige qui brillait de plus en plus.
N'en pouvant plus, je descendis ma main sur mon entrejambe et me frottai doucement sur la bosse qui commençait à se former.
Il se pinça les lèvres et soupirant à ce spectacle. Son sexe durcit et devint beaucoup plus visible dans la pénombre du compartiment.
Il se pencha en avant et posa sa main libre sur un de mes genoux. Puis il le caressa en remontant sur ma cuisse.
J'ouvris les yeux. Il me sourit en continuant de se masturber. Il me fit signe d'approcher.
Je me redressais et il appuya sur mon épaule pour que je m'agenouille devant lui. D'une légère pression de la main, il tira ma nuque et mon visage se retrouva devant son membre déjà très humide.
Je léchai le bout de son gland puis l'enfonçai dans ma bouche. Il gémit doucement.
Puis il souleva ses fesses pour faire glisser d'une main son pantalon et son slip sur ses cuisses, tout en maintenant son autre main sur ma nuque.
Je découvris ses couilles entourés de poils blancs. Je me mis à le sucer plus fort, très excité par cette situation inédite pour moi. Il ondulait légèrement du bassin pour me donner le tempo qui lui convenait. Je sentais son gland palpiter dans ma bouche tout en caressant ses couilles.
Il ouvrit sa chemise et son ventre couvert de poils blancs m'excita de plus belle.
Il se pencha et glissa à mon oreille :
- Ouiii, je viens , tu veux dans ta bouche ?
Je lui soupirais que oui.
Il fut pris de spasmes et éjacula de longs jets chauds dans ma bouche. Je décidai de tout avaler au fur et à mesure en lui caressant le ventre. Il retomba au fond de son siège en gémissant de plaisir.
Je dirigea mon regard vers la femme endormie. Elle n'avait rien raté du spectacle et me fixai, me semble t-il, avec envie.
J'ai pris le train de nuit Gare d'Austerlitz à Paris, sans couchettes car elles étaient réservées.
Je me retrouvais donc dans un vieux compartiment sur une place assise lorsque le train quitta la capitale vers 22h.
Nous étions trois dans le compartiment. Une dame d'une soixantaine d'années et un homme d'environ 75 ans.
Le vieux monsieur me sourit et engagea la conversation. Il était face à moi côté fenêtre. La dame occupait une place coté couloir.
Il s'appelait Serge et se rendait à Hendaye voir ses enfants. Il connaissait bien l'Espagne et le Portugal, et il me renseigna sur une multitude de choses à visiter sur place. Il portait un costume brun, le crâne dégarni avec une couronne de cheveux blancs, et ses yeux ne cessaient de me détailler de la tête aux pieds tandis que nous discutions.
Au bout de deux heures, tout le monde dormait à poings fermés, bercés par le bruit régulier du train sur les rails.
J'entrouvris un oeil et je vis que Serge ne dormait pas. Il me regardait en se caressant à travers le pantalon, au niveau de sa braguette. Je fis mine de continuer à dormir.
Il ouvrit doucement sa braguette, après avoir vérifié que la dame côté couloir était toujours endormie.
Il extirpa son sexe encore recroquevillé.
Ma respiration s'accentua légèrement en voyant cela. Je maintenait mes yeux plissés pour continuer de l'observer.
Son sexe était court, mais je devinait un gland de bonne taille sous son prépuce.
Il le décalotta et commença de lents va et vient avec son pouce au-dessus et son majeur et son index dessous. Il regardait mon visage et descendait son regard vers mes jambes écartées et ma braguette.
La lumière alternait au fil du voyage, et je voyait la surface de sa tige qui brillait de plus en plus.
N'en pouvant plus, je descendis ma main sur mon entrejambe et me frottai doucement sur la bosse qui commençait à se former.
Il se pinça les lèvres et soupirant à ce spectacle. Son sexe durcit et devint beaucoup plus visible dans la pénombre du compartiment.
Il se pencha en avant et posa sa main libre sur un de mes genoux. Puis il le caressa en remontant sur ma cuisse.
J'ouvris les yeux. Il me sourit en continuant de se masturber. Il me fit signe d'approcher.
Je me redressais et il appuya sur mon épaule pour que je m'agenouille devant lui. D'une légère pression de la main, il tira ma nuque et mon visage se retrouva devant son membre déjà très humide.
Je léchai le bout de son gland puis l'enfonçai dans ma bouche. Il gémit doucement.
Puis il souleva ses fesses pour faire glisser d'une main son pantalon et son slip sur ses cuisses, tout en maintenant son autre main sur ma nuque.
Je découvris ses couilles entourés de poils blancs. Je me mis à le sucer plus fort, très excité par cette situation inédite pour moi. Il ondulait légèrement du bassin pour me donner le tempo qui lui convenait. Je sentais son gland palpiter dans ma bouche tout en caressant ses couilles.
Il ouvrit sa chemise et son ventre couvert de poils blancs m'excita de plus belle.
Il se pencha et glissa à mon oreille :
- Ouiii, je viens , tu veux dans ta bouche ?
Je lui soupirais que oui.
Il fut pris de spasmes et éjacula de longs jets chauds dans ma bouche. Je décidai de tout avaler au fur et à mesure en lui caressant le ventre. Il retomba au fond de son siège en gémissant de plaisir.
Je dirigea mon regard vers la femme endormie. Elle n'avait rien raté du spectacle et me fixai, me semble t-il, avec envie.
3 年 前