Jeu au sexshop
Je l'ai raconté en privé, mais autant ici, qu'avant de m'inviter les "romantiques" sachent que j'en suis une absolue.
J'avais 18 ans à peine révolus, et j'allais régulièrement à Paris, et le soir j'allais vers les anciennes Halles, dans la rue ou les sexshop, à l'époque, étaient encore nombreux. Un particulièrement me plaisait. Le plus grand. Lui existe encore.
Je mettais un jean, un sweat à capuche et une écharpe, et je rentrais, tête baissée, comme un jeune un peu honteux. Je prenais l'escalator près de l'entrée et je montais directement au 1ier étage, là ou étaient les cabines individuelles, où on regardait des vidéos. J'en cherchais une prise entre 2 autres, de celles qui, à l'intérieur, avaient des fenêtres qui donnaient sur les cabines voisines.
Et je matais les occupants qui se masturbaient. Eux ne voyaient que le haut de mon visage, a moitié dissimulé par mon foulard. Et je me caressais.
Puis je fermais les volets et je me mettais nue.
Puis je les rouvrais pour mater à nouveau, mais là ils voyaient mes seins et comprenaient. Alors j'allais m'assoir, jambes bien écartées et je me caressais, puis sortais un gode, tout en regardant un film de gays. (Les femmes comprendront pourquoi un film gay).
Je ne voyais plus leur sexe, mais ils étaient debout derrière les vitres, bien bandant c'est sur. Ils tapaient a la fenêtre, me faisant signe d'ouvrir ma porte. Je continuais, pas vraiment imperturbable. Excitée comme une folle par le film et les 2 mecs rendus fous.
Quand j'étais bien mouillée, j'essuyais ma fente avec ma petite culotte que je leur présentais, je remettais mon jean et mon sweat, en laissant ma culotte dans la cabine, et je sortais. Je faisais à peine quelques pas qu'ils sortaient, le pantalon à peine remonté, pour se précipiter dans la cabine.
Il n'y a plus ces cabines. Dommage, car je vous assure mesdames que c'était un sacré plaisir.
J'avais 18 ans à peine révolus, et j'allais régulièrement à Paris, et le soir j'allais vers les anciennes Halles, dans la rue ou les sexshop, à l'époque, étaient encore nombreux. Un particulièrement me plaisait. Le plus grand. Lui existe encore.
Je mettais un jean, un sweat à capuche et une écharpe, et je rentrais, tête baissée, comme un jeune un peu honteux. Je prenais l'escalator près de l'entrée et je montais directement au 1ier étage, là ou étaient les cabines individuelles, où on regardait des vidéos. J'en cherchais une prise entre 2 autres, de celles qui, à l'intérieur, avaient des fenêtres qui donnaient sur les cabines voisines.
Et je matais les occupants qui se masturbaient. Eux ne voyaient que le haut de mon visage, a moitié dissimulé par mon foulard. Et je me caressais.
Puis je fermais les volets et je me mettais nue.
Puis je les rouvrais pour mater à nouveau, mais là ils voyaient mes seins et comprenaient. Alors j'allais m'assoir, jambes bien écartées et je me caressais, puis sortais un gode, tout en regardant un film de gays. (Les femmes comprendront pourquoi un film gay).
Je ne voyais plus leur sexe, mais ils étaient debout derrière les vitres, bien bandant c'est sur. Ils tapaient a la fenêtre, me faisant signe d'ouvrir ma porte. Je continuais, pas vraiment imperturbable. Excitée comme une folle par le film et les 2 mecs rendus fous.
Quand j'étais bien mouillée, j'essuyais ma fente avec ma petite culotte que je leur présentais, je remettais mon jean et mon sweat, en laissant ma culotte dans la cabine, et je sortais. Je faisais à peine quelques pas qu'ils sortaient, le pantalon à peine remonté, pour se précipiter dans la cabine.
Il n'y a plus ces cabines. Dommage, car je vous assure mesdames que c'était un sacré plaisir.
3 年 前