LUCILE & LUCILE
LUCILE & LUCILE
Cette histoire ce passe en 2013, je démarre un chantier d’extension de clinique. Les marchés de travaux sont signés par toutes les entreprises et la première réunion de chantier à lieu. Réunion à laquelle tout le monde est convoqué, réunion de planification générale gérée par l’OPC mais également réunion de présentation de tous les intervenants. Nous sommes une trentaine de personnes dont trois femmes. La première est la représentante de l’entreprise de menuiseries aluminium, jeune femme toute en rondeur, et surtout pas vraiment à mon gout. Le seconde est « le bureau de contrôle technique », Lucile, une femme d’une petite quarantaine d’année, un corps plutôt harmonieux, une poitrine bien visible, des hanches étroites, des fesses légèrement rebondies sur lesquelles on laisse volontiers trainer un regard et un sourire omniprésent. La troisième, nous est présenté par le directeur de l’établissement comme étant la directrice des opérations travaux. Elle sera la représentante de la maitrise d’ouvrage pour ce chantier de 18 mois. Elle se prénomme Lucile. Deux Lucile sur un chantier ou il n’y a que trois femmes, c’est peut commun, mais bon. Elle est un peut plus jeune que la première, trente sept ou trente huit ans, plus grande, un bon mètre soixante dix, les cheveux longs et bruns, et surtout des yeux bleus Marie Brizard derrière de fines petites lunettes, lui donnant un air sévère d’institutrice. Elle est ingénieur de formation, rigide et peu souriante. Est-ce une façade pour s’imposer dans ce milieu masculin, ou sa vrai nature ? Elle est plutôt jolie, mais sa rigidité oriente tous les hommes vers l’autre Lucile, vers le sourire. Elle est dotée d’une poitrine qui me parait peu généreuse, à l’opposé de ses hanches larges et bien dessinées dans un jean noir slim des plus moulant.
Je m’abstiendrais de vous présenter le reste de l’assemblée qui est comme vous l’avez compris exclusivement masculine et qui de fait, ne m’intéresse pas.
Les semaines et les réunions se succèdent, le chantier avance bon train, le planning est tenu, la direction de l’établissement s’en réjouit, et Lucile, sa représentante toujours rigoureuse perd un peu de sa rigidité. Elle voit que le milieu du bâtiment, même s’il est quelque peu misogyne, est malgré tout respectueux des femmes, mais surtout, respectueux de ses engagements, et c’est ce qui l’importe.
Au fil des semaines, les deux Lucile deviennent comme des copines, on ne les voit plus l’une sans l’autre, toujours à caqueter, et nous voyons même les dents blanches de la directrice lorsqu’elle se et nous surprend à sourire et parfois même à rire. Elles deviennent les deux inséparables du chantier. L’ambiance générale est de plus en plus détendue, bon enfant, nous plaisantons tous ensemble, et les filles participent. Les regards des deux Lucile, à mon égard, sont un peu différents, je les trouve presque sensuels, et je ne suis pas le seul, puisque un des entrepreneurs me dit pendant une visite sur le chantier :
- « Elles vous draguent les deux copines … »
- « C’est l’impression que j’ai aussi. » répondis-je
Les visites et les réunions se succèdent, les regards, les sourires deviennent de plus en plus clair. Je suis bel et bien en train de ma faire draguer par deux des trois femmes du chantier, et elles le font ensemble. Ont-elles mis en place un plan ? Je décide de les laisser venir, sans agir, seulement en répondant à leurs regards et sourires.
Trois jours après la dernière réunion de chantier, je reçois un mail de Lucile I (pour un plus simple compréhension, Lucile I est le bureau de contrôle et donc Lucile II est la directrice des opérations), m’indiquant qu’il nous faudra parler d’un détail technique important et qu’il nous faudra le régler rapidement sous peine d’être obligé d’arrêter le chantier. Lucile II étant bien évidemment en copie, propose que nous en discutions à l’issus de la réunion hebdomadaire prochaine, à quoi je réponds par l’affirmative.
Le Mercredi suivant, visite de chantier avec l’ensemble des entreprises, puis direction les bungalows dans lesquels se trouve la salle de réunion. L’OPC s’exprime sur le planning général, félicite les entreprises pour leur efficacité et leur demande de maintenir le cap. Le SPS fait son pitch habituel, sur la sécurité des personnes. Je donne mes directives entreprise par entreprise puis libère les entrepreneurs et passe au sujet technique important.
Je suis en bout de table, les deux Lucile se lèvent et viennent s’installer une à ma droite, l’autre à ma gauche. J’étale devant nous le plan des désenfumages où semble s’être glissé une erreur ou un oubli lors de la conception. Nous vérifions tout le projet et trouvons un sujet de désaccord entre Lucile I et moi. Une interprétation différente de la réglementation, plus qu’un problème technique majeur, après quelques échanges un peu tendus, nous trouvons une solution qui convient à tout le monde et le point bloquant n’est plus qu’un mauvais souvenir, comme souvent. Pendant tout l’échange verbal entre Lucile I et moi, Lucile II n’a pas dit un mot, elle nous a laissé nous exprimer, parfois avec un peu d’autorité et même avec le verbe un peu haut. Je la regarde, ses yeux sont rivés dans les miens, le bleu lagon hypnotise. Lucile II me pose une main sur la nuque, se penche et vient poser ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues s’enlacent, s’enroulent, tournent puis se séparent.
- « J’en mourrai d’envie » dit-elle en se levant de sa chaise.
Je me lève et tout en posant ma main droite contre sa joue, je viens l’embrasser à mon tour. Ses bras s’enroulent autour de mon cou, mes mains caressent ses flans et viennent s’immobiliser sur ses larges hanches. Le baiser est interminable, et rien ne semble pouvoir, ni vouloir l’arrêter. J’aperçois Lucile I, les bras croisés, qui nous regarde en souriant. Lucile II se détache de moi, et me dit :
- « Vous embrassez divinement bien, j’irai volontiers vers plus de découverte, mais j’ai une réunion de direction qui commence dans dix minutes, je dois vous laisser et peut-être peut-on envisager une suite très vite ? »
- « Dommage que vous nous laissiez, mais c’est avec plaisir que nous pourrons reprendre là où nous nous sommes arrêté. » lui répondis-je.
Elle pose un baiser sur mes lèvres, prend son sac à mains et quitte la salle de réunion. Je regarde Lucile I, elle me sourit et me dit en s’approchant :
- « Peut-être que je pourrais prendre sa place pour aujourd’hui ? Et en plus je n’ai pas été très gentille avec vous tout à l’heure, je peux essayer de ma faire pardonner. »
- « Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, mais que va en penser notre maitre d’ouvrage préférée ? »
- « Que du bien, nous avions envisagé de nous jeter sur vous ensemble, mais elle a été plus rapide. »
- « Vous êtes deux sacrées coquines les Lucile »
- « Oui, et on a l’impression que ce n’est pas pour vous déplaire »
- « c’est clair. »
Je l’att**** par la taille et la plaque contre moi. Ses lèvres viennent à la rencontre des miennes. Le gout est différent, celui de Lucile II était d’un sucré naturel, celui là est très parfumé, certainement un gloss aromatisé. C’est un gout de fruit rouge, ou plutôt de fraises des bois. Elle est plus fougueuse, plus vive, le baiser est moins langoureux, mais pas désagréable du tout. Lucile I est très directe et rapide, nous venons de commencer à nous embrasser que ses mains sont déjà en train de dégrafer ma ceinture et déboutonner mon 501. Ses mains se glissent sous mon caleçon jusqu’à mes fesses, s’immobilisent un court instant puis font glisser mes vêtements jusque sur mes chevilles. Elle se trouve accroupie devant moi. Elle regarde mon sexe encore mou, l’att**** d’une main et dit :
- « Putain quelle bite, j’en connais une qui va être heureuse, elle a gagné son pari. »
- « Qu’avez vous parié ? »
- « J’avais parié que vous étiez normalement équipé, et elle, que vous étiez très bien monté. » puis : « Mais je pense que c’est au dessus de ses espérances »
Et sans en dire plus, elle ingurgite la totalité de ma queue et commence à me pomper. Ses sucions sont irréprochables, je sens ma queue gonfler, grandir et durcir dans sa bouche. Mon érection est grandissante, Lucile I pose une main sur la base de ma verge pour n’en sucer plus qu’une partie, puis pose la deuxième main pour ne garder que le gland qu’elle aspire comme le ferait un petit veau sur les pies de sa mère. La puissance et le cœur que met Lucile I à aspirer mon gland, c’est incroyable, je ne crois pas avoir déjà rencontré un tel aspirateur. Elle aspire sans cesse, ses mains me masturbent et me serrent la verge comme jamais.
Une minute à peine après le début de ce délicieux supplice, Lucile I lâche ma queue écarlate, et en un éclair, se relève, retire chaussures, pantalon et petite culotte, s’assied sur le bord de la table de réunion en écartant les jambes et me lance :
- « Allez, baisez moi maintenant, vite, je n’en peu plus »
Sans un mot, je me place entre ses cuisses, présente mon gland sous le petit triangle entretenu et me glisse en elle. Elle est dégoulinante et brulante. La pénétration se fait d’un trait et dans un long gémissement de plaisir. Une fois bien en elle, j’att**** son pull en coton et lui retire. Je peux enfin voir cette opulente poitrine que je lui avais deviné, encore coincée dans un magnifique dessous de dentelle bleu ciel. Je libère ses seins, ils sont lourds, mais présente encore très bien. Je les malaxe plus que je ne les caresse. Elle s’allonge sur le dos, son corps ondule, ses petits coups de reins montrent son impatience. Elle veut que je la baise, que le la fasse jouir. Je pince ses tétons, et sans arrêter de les pincer, je commence à m’activer dans son intimité. Ses gémissements accompagnent chacun de mes mouvements en elle. Lucile I me demande d’accélérer. J’obéis, libérant ses tétons rougis et attrapant ses cuisses remontées sur ma poitrine, je martèle son vagin. Ses seins s’agitent et dansent au rythme de mes coups de boutoir. Ils viennent vers moi, puis vont s’écraser sous son menton. Je suis en sueur. Je vais et je viens dans sa chatte à une vitesse intenable, ses gémissements deviennent plus profonds, plus a****l. Ses poings se serrent, sa tête passe de droite à gauche, son corps se tend, elle s’arque boute et jouit en criant. Je profite de son bonheur pour réduire la cadence pour ne pas tomber d’une crise cardiaque. Son corps est calme, les bras le long du corps, les jambes retombées de part et d’autre de mes hanches, je me retire et découvre son sexe béant, rouge cramoisi, parfaitement épilé à l’exception du triangle pubien.
Je me penche sur elle, comme pour vérifier qu’elle respire encore. Je pose un baiser sur ses lèvres douces tandis que mes mains caressent cette fois ses deux gros seins. Lucile ouvre les yeux, me sourit et me dit :
- « Putain quel pied j’ai pris, ça c’est de la baise »
- « J’ai bien cru que j’allais y laisser ma peau » répondis-je en riant
- « ça aurait été dommage de mourir maintenant, surtout sans avoir jouit » dit-elle en souriant puis rajoute :
- « Allongez vous sur la table, je m’occupe de la suite. »
Je m’exécute, allongé à ses cotés, la queue tendue et plaquée contre mon ventre. Elle s’assied puis vient me chevaucher à genoux. Elle m’embrasse, puis tout en se positionnant accroupie, les pieds de part et d’autre de mon corps, att**** d’une main ma queue et la présente devant l’entrée de son vagin. Sa vulve entrouverte frotte sur mon gland, avec de petits mouvements de la main, elle agite mon membre tendu et se caresse sur toute la longueur de sa fente vaginale. Mon gland contre son clitoris sur gonflé, elle me secoue la queue quelques fois pour que mon gland vienne cogner son bouton, puis place ma verge devant son entrée. Une fois bien positionné, elle s’empale d’un coup sec, pose ses mains sur ma poitrine et entame une cavalcade dantesque. Ses mouvements sont puissants, rapides et d’une très grande amplitude. Chaque coulissage est extrême, j’admire cette cavalière qui me chevauche et qui remonte jusqu’à le laisser apercevoir la base de mon gland, avant de redescendre pour écraser ses fesses conte mon bassin. Ses seins s’affolent devant mes yeux, ses longs tétons paraissent durs et j’aimerai les sucer, mais ma position et son rythme m’interdit tout mouvement. Je tends mes bras, pose mes mains sur ses seins agités, les malaxe brutalement, att**** ses deux tétons bandés et les presse violement entre mes doigts. Elle hurle, son corps se cambre, se rigidifie, ses ongles sont fichés sur mon torse, elle me griffe et jouit puissamment. Elle s’immobilise, tremblante et s’affale sur moi de tous son poids. Son corps est encore traversé par quelques spasmes reflexes, puis fini par se calmer. Mes mains caresse ses flancs jusqu’à ses hanches et ses fesses, elle est inanimée.
Il lui faut quelques minutes pour ce remettre de ses dernières émotions, puis elle relève la tête, me sourit et m’embrasse. Brutalement, elle s’assied, toujours emmanchée sur ma queue, et s’étire en disant :
- « Putain que c’est bon… on continu ? »
- « Bien sur, on ne va pas en rester là » lui répondis-je en passant mes bras sous ses jambes jusqu’à ce que mes coudes soient au niveau de l’intérieur de ses genoux.
Je me relève et tant bien que mal, réussi à me mettre debout. Lucile I pendant la manœuvre a enroulé ses bras autour de mon cou. Je la plaque contre le mur et commence à ramoner son vagin avec vigueur. Elle s’accroche à mon cou, tel un Koala à son arbre par jour de tempête. Sa tête contre la mienne, elle hurle de plaisir à m’en rendre sourd. Je maltraite son sexe plusieurs minutes avant de lui faire rendre les armes une nouvelle fois. Elle s’est raidie, les contractions de son sexe sur ma verge sont violentes. Elle jouit pour la troisième fois et son petit corps léger se transforme en un poids mort, elle semble sans vie.
Je m’immobilise pour la laisser ressusciter et lorsque elle ouvre les yeux, elle lance :
- « Vous allez me tuer. Et vous ? Faites moi descendre de là. »
Je la soulève, nous désaccouple et la pose assise sur la table de réunion. Elle saute immédiatement de la table et s’agenouille devant moi, att**** mon sexe visqueux à deux mains et engloutie mon gland. Elle recommence ses succions tout en me masturbant de ses mains puissamment serrées autour de mon manche. La sensation est délicieuse et après quelques minutes de ce traitement, je ressens les prémices d’une éjaculation. Des picotements dans les bourses, mes cuisses se tendent, mes poings se serrent et la lave blanche commence à monter depuis la base de ma queue. J’écarte brutalement ses mains et avec une des mienne, me branle vigoureusement jusqu’à expulser une énorme quantité de crème blanche sur son visage, dans sa bouche, sur son front et ses cheveux. Je n’arrête pas de l’arroser. Je libère enfin mon membre et Lucile gobe mon gland pour récupérer les quelques gouttes retardataires. Elle suce et lèche, puis passe un doigt à plat sur son visage pour récolter ma semence, la pousser dans sa bouche et la faire disparaître en l’avalant.
Une fois terminé, elle se lève, att**** son sac pour en sortir un paquet de mouchoir en papier et me le donne.
- « Vous pouvez me nettoyer, je crois que j’en ai jusque dans les cheveux »
- « Excusez moi »
- « Il n’y a pas de mal, au contraire, j’ai adoré, mais je ne peux pas rentrer chez moi comme ça »
- « Oui, bien sur » dis-je en sortant en mouchoir et en commençant à lui faire une toilette capillaire approfondie.
Une fois propre, nous nous rhabillons quand la sonnerie de son Smartphone retentit.
- « allo. »
- « ………… »
- « Oui, je vais quitter la salle de réunion »
- « …….. »
- « Plus d’une heure ? je n’ai pas vu le temps passer » sur un ton ironique.
- « …….. »
- « Génial, c’était génial. J’ai pris un pied d’enfer. » avec un air coquin.
- « ……. »
- « Oui, un très bon coup. Et pour ta gouverne, en plus tu as gagné ton pari »
- « …… »
- « Bien monté tu dis ? Mieux que ça, très, très bien monté et très endurant. Nous avons visé juste. » dit-elle en riant.
- « …… »
- « Oui, tu peux avoir des regrets, surtout pour une réunion de merde… »
- « ……. »
- « Oui, la prochaine fois, il est pour toi, promis. »
- « …… »
- « Ok, bises, on s’appelle. » et raccroche puis me dit sans me regarder, tout en remontant son pantalon.
- « Je ne pense pas qu’elle tienne jusqu’à la semaine prochaine »
- « Et bien si elle m’appelle, je me rendrai disponible » répondis-je
Une fois habillés, nous quittons la salle de réunion et nous séparons sur le parking.
Cette histoire ce passe en 2013, je démarre un chantier d’extension de clinique. Les marchés de travaux sont signés par toutes les entreprises et la première réunion de chantier à lieu. Réunion à laquelle tout le monde est convoqué, réunion de planification générale gérée par l’OPC mais également réunion de présentation de tous les intervenants. Nous sommes une trentaine de personnes dont trois femmes. La première est la représentante de l’entreprise de menuiseries aluminium, jeune femme toute en rondeur, et surtout pas vraiment à mon gout. Le seconde est « le bureau de contrôle technique », Lucile, une femme d’une petite quarantaine d’année, un corps plutôt harmonieux, une poitrine bien visible, des hanches étroites, des fesses légèrement rebondies sur lesquelles on laisse volontiers trainer un regard et un sourire omniprésent. La troisième, nous est présenté par le directeur de l’établissement comme étant la directrice des opérations travaux. Elle sera la représentante de la maitrise d’ouvrage pour ce chantier de 18 mois. Elle se prénomme Lucile. Deux Lucile sur un chantier ou il n’y a que trois femmes, c’est peut commun, mais bon. Elle est un peut plus jeune que la première, trente sept ou trente huit ans, plus grande, un bon mètre soixante dix, les cheveux longs et bruns, et surtout des yeux bleus Marie Brizard derrière de fines petites lunettes, lui donnant un air sévère d’institutrice. Elle est ingénieur de formation, rigide et peu souriante. Est-ce une façade pour s’imposer dans ce milieu masculin, ou sa vrai nature ? Elle est plutôt jolie, mais sa rigidité oriente tous les hommes vers l’autre Lucile, vers le sourire. Elle est dotée d’une poitrine qui me parait peu généreuse, à l’opposé de ses hanches larges et bien dessinées dans un jean noir slim des plus moulant.
Je m’abstiendrais de vous présenter le reste de l’assemblée qui est comme vous l’avez compris exclusivement masculine et qui de fait, ne m’intéresse pas.
Les semaines et les réunions se succèdent, le chantier avance bon train, le planning est tenu, la direction de l’établissement s’en réjouit, et Lucile, sa représentante toujours rigoureuse perd un peu de sa rigidité. Elle voit que le milieu du bâtiment, même s’il est quelque peu misogyne, est malgré tout respectueux des femmes, mais surtout, respectueux de ses engagements, et c’est ce qui l’importe.
Au fil des semaines, les deux Lucile deviennent comme des copines, on ne les voit plus l’une sans l’autre, toujours à caqueter, et nous voyons même les dents blanches de la directrice lorsqu’elle se et nous surprend à sourire et parfois même à rire. Elles deviennent les deux inséparables du chantier. L’ambiance générale est de plus en plus détendue, bon enfant, nous plaisantons tous ensemble, et les filles participent. Les regards des deux Lucile, à mon égard, sont un peu différents, je les trouve presque sensuels, et je ne suis pas le seul, puisque un des entrepreneurs me dit pendant une visite sur le chantier :
- « Elles vous draguent les deux copines … »
- « C’est l’impression que j’ai aussi. » répondis-je
Les visites et les réunions se succèdent, les regards, les sourires deviennent de plus en plus clair. Je suis bel et bien en train de ma faire draguer par deux des trois femmes du chantier, et elles le font ensemble. Ont-elles mis en place un plan ? Je décide de les laisser venir, sans agir, seulement en répondant à leurs regards et sourires.
Trois jours après la dernière réunion de chantier, je reçois un mail de Lucile I (pour un plus simple compréhension, Lucile I est le bureau de contrôle et donc Lucile II est la directrice des opérations), m’indiquant qu’il nous faudra parler d’un détail technique important et qu’il nous faudra le régler rapidement sous peine d’être obligé d’arrêter le chantier. Lucile II étant bien évidemment en copie, propose que nous en discutions à l’issus de la réunion hebdomadaire prochaine, à quoi je réponds par l’affirmative.
Le Mercredi suivant, visite de chantier avec l’ensemble des entreprises, puis direction les bungalows dans lesquels se trouve la salle de réunion. L’OPC s’exprime sur le planning général, félicite les entreprises pour leur efficacité et leur demande de maintenir le cap. Le SPS fait son pitch habituel, sur la sécurité des personnes. Je donne mes directives entreprise par entreprise puis libère les entrepreneurs et passe au sujet technique important.
Je suis en bout de table, les deux Lucile se lèvent et viennent s’installer une à ma droite, l’autre à ma gauche. J’étale devant nous le plan des désenfumages où semble s’être glissé une erreur ou un oubli lors de la conception. Nous vérifions tout le projet et trouvons un sujet de désaccord entre Lucile I et moi. Une interprétation différente de la réglementation, plus qu’un problème technique majeur, après quelques échanges un peu tendus, nous trouvons une solution qui convient à tout le monde et le point bloquant n’est plus qu’un mauvais souvenir, comme souvent. Pendant tout l’échange verbal entre Lucile I et moi, Lucile II n’a pas dit un mot, elle nous a laissé nous exprimer, parfois avec un peu d’autorité et même avec le verbe un peu haut. Je la regarde, ses yeux sont rivés dans les miens, le bleu lagon hypnotise. Lucile II me pose une main sur la nuque, se penche et vient poser ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues s’enlacent, s’enroulent, tournent puis se séparent.
- « J’en mourrai d’envie » dit-elle en se levant de sa chaise.
Je me lève et tout en posant ma main droite contre sa joue, je viens l’embrasser à mon tour. Ses bras s’enroulent autour de mon cou, mes mains caressent ses flans et viennent s’immobiliser sur ses larges hanches. Le baiser est interminable, et rien ne semble pouvoir, ni vouloir l’arrêter. J’aperçois Lucile I, les bras croisés, qui nous regarde en souriant. Lucile II se détache de moi, et me dit :
- « Vous embrassez divinement bien, j’irai volontiers vers plus de découverte, mais j’ai une réunion de direction qui commence dans dix minutes, je dois vous laisser et peut-être peut-on envisager une suite très vite ? »
- « Dommage que vous nous laissiez, mais c’est avec plaisir que nous pourrons reprendre là où nous nous sommes arrêté. » lui répondis-je.
Elle pose un baiser sur mes lèvres, prend son sac à mains et quitte la salle de réunion. Je regarde Lucile I, elle me sourit et me dit en s’approchant :
- « Peut-être que je pourrais prendre sa place pour aujourd’hui ? Et en plus je n’ai pas été très gentille avec vous tout à l’heure, je peux essayer de ma faire pardonner. »
- « Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, mais que va en penser notre maitre d’ouvrage préférée ? »
- « Que du bien, nous avions envisagé de nous jeter sur vous ensemble, mais elle a été plus rapide. »
- « Vous êtes deux sacrées coquines les Lucile »
- « Oui, et on a l’impression que ce n’est pas pour vous déplaire »
- « c’est clair. »
Je l’att**** par la taille et la plaque contre moi. Ses lèvres viennent à la rencontre des miennes. Le gout est différent, celui de Lucile II était d’un sucré naturel, celui là est très parfumé, certainement un gloss aromatisé. C’est un gout de fruit rouge, ou plutôt de fraises des bois. Elle est plus fougueuse, plus vive, le baiser est moins langoureux, mais pas désagréable du tout. Lucile I est très directe et rapide, nous venons de commencer à nous embrasser que ses mains sont déjà en train de dégrafer ma ceinture et déboutonner mon 501. Ses mains se glissent sous mon caleçon jusqu’à mes fesses, s’immobilisent un court instant puis font glisser mes vêtements jusque sur mes chevilles. Elle se trouve accroupie devant moi. Elle regarde mon sexe encore mou, l’att**** d’une main et dit :
- « Putain quelle bite, j’en connais une qui va être heureuse, elle a gagné son pari. »
- « Qu’avez vous parié ? »
- « J’avais parié que vous étiez normalement équipé, et elle, que vous étiez très bien monté. » puis : « Mais je pense que c’est au dessus de ses espérances »
Et sans en dire plus, elle ingurgite la totalité de ma queue et commence à me pomper. Ses sucions sont irréprochables, je sens ma queue gonfler, grandir et durcir dans sa bouche. Mon érection est grandissante, Lucile I pose une main sur la base de ma verge pour n’en sucer plus qu’une partie, puis pose la deuxième main pour ne garder que le gland qu’elle aspire comme le ferait un petit veau sur les pies de sa mère. La puissance et le cœur que met Lucile I à aspirer mon gland, c’est incroyable, je ne crois pas avoir déjà rencontré un tel aspirateur. Elle aspire sans cesse, ses mains me masturbent et me serrent la verge comme jamais.
Une minute à peine après le début de ce délicieux supplice, Lucile I lâche ma queue écarlate, et en un éclair, se relève, retire chaussures, pantalon et petite culotte, s’assied sur le bord de la table de réunion en écartant les jambes et me lance :
- « Allez, baisez moi maintenant, vite, je n’en peu plus »
Sans un mot, je me place entre ses cuisses, présente mon gland sous le petit triangle entretenu et me glisse en elle. Elle est dégoulinante et brulante. La pénétration se fait d’un trait et dans un long gémissement de plaisir. Une fois bien en elle, j’att**** son pull en coton et lui retire. Je peux enfin voir cette opulente poitrine que je lui avais deviné, encore coincée dans un magnifique dessous de dentelle bleu ciel. Je libère ses seins, ils sont lourds, mais présente encore très bien. Je les malaxe plus que je ne les caresse. Elle s’allonge sur le dos, son corps ondule, ses petits coups de reins montrent son impatience. Elle veut que je la baise, que le la fasse jouir. Je pince ses tétons, et sans arrêter de les pincer, je commence à m’activer dans son intimité. Ses gémissements accompagnent chacun de mes mouvements en elle. Lucile I me demande d’accélérer. J’obéis, libérant ses tétons rougis et attrapant ses cuisses remontées sur ma poitrine, je martèle son vagin. Ses seins s’agitent et dansent au rythme de mes coups de boutoir. Ils viennent vers moi, puis vont s’écraser sous son menton. Je suis en sueur. Je vais et je viens dans sa chatte à une vitesse intenable, ses gémissements deviennent plus profonds, plus a****l. Ses poings se serrent, sa tête passe de droite à gauche, son corps se tend, elle s’arque boute et jouit en criant. Je profite de son bonheur pour réduire la cadence pour ne pas tomber d’une crise cardiaque. Son corps est calme, les bras le long du corps, les jambes retombées de part et d’autre de mes hanches, je me retire et découvre son sexe béant, rouge cramoisi, parfaitement épilé à l’exception du triangle pubien.
Je me penche sur elle, comme pour vérifier qu’elle respire encore. Je pose un baiser sur ses lèvres douces tandis que mes mains caressent cette fois ses deux gros seins. Lucile ouvre les yeux, me sourit et me dit :
- « Putain quel pied j’ai pris, ça c’est de la baise »
- « J’ai bien cru que j’allais y laisser ma peau » répondis-je en riant
- « ça aurait été dommage de mourir maintenant, surtout sans avoir jouit » dit-elle en souriant puis rajoute :
- « Allongez vous sur la table, je m’occupe de la suite. »
Je m’exécute, allongé à ses cotés, la queue tendue et plaquée contre mon ventre. Elle s’assied puis vient me chevaucher à genoux. Elle m’embrasse, puis tout en se positionnant accroupie, les pieds de part et d’autre de mon corps, att**** d’une main ma queue et la présente devant l’entrée de son vagin. Sa vulve entrouverte frotte sur mon gland, avec de petits mouvements de la main, elle agite mon membre tendu et se caresse sur toute la longueur de sa fente vaginale. Mon gland contre son clitoris sur gonflé, elle me secoue la queue quelques fois pour que mon gland vienne cogner son bouton, puis place ma verge devant son entrée. Une fois bien positionné, elle s’empale d’un coup sec, pose ses mains sur ma poitrine et entame une cavalcade dantesque. Ses mouvements sont puissants, rapides et d’une très grande amplitude. Chaque coulissage est extrême, j’admire cette cavalière qui me chevauche et qui remonte jusqu’à le laisser apercevoir la base de mon gland, avant de redescendre pour écraser ses fesses conte mon bassin. Ses seins s’affolent devant mes yeux, ses longs tétons paraissent durs et j’aimerai les sucer, mais ma position et son rythme m’interdit tout mouvement. Je tends mes bras, pose mes mains sur ses seins agités, les malaxe brutalement, att**** ses deux tétons bandés et les presse violement entre mes doigts. Elle hurle, son corps se cambre, se rigidifie, ses ongles sont fichés sur mon torse, elle me griffe et jouit puissamment. Elle s’immobilise, tremblante et s’affale sur moi de tous son poids. Son corps est encore traversé par quelques spasmes reflexes, puis fini par se calmer. Mes mains caresse ses flancs jusqu’à ses hanches et ses fesses, elle est inanimée.
Il lui faut quelques minutes pour ce remettre de ses dernières émotions, puis elle relève la tête, me sourit et m’embrasse. Brutalement, elle s’assied, toujours emmanchée sur ma queue, et s’étire en disant :
- « Putain que c’est bon… on continu ? »
- « Bien sur, on ne va pas en rester là » lui répondis-je en passant mes bras sous ses jambes jusqu’à ce que mes coudes soient au niveau de l’intérieur de ses genoux.
Je me relève et tant bien que mal, réussi à me mettre debout. Lucile I pendant la manœuvre a enroulé ses bras autour de mon cou. Je la plaque contre le mur et commence à ramoner son vagin avec vigueur. Elle s’accroche à mon cou, tel un Koala à son arbre par jour de tempête. Sa tête contre la mienne, elle hurle de plaisir à m’en rendre sourd. Je maltraite son sexe plusieurs minutes avant de lui faire rendre les armes une nouvelle fois. Elle s’est raidie, les contractions de son sexe sur ma verge sont violentes. Elle jouit pour la troisième fois et son petit corps léger se transforme en un poids mort, elle semble sans vie.
Je m’immobilise pour la laisser ressusciter et lorsque elle ouvre les yeux, elle lance :
- « Vous allez me tuer. Et vous ? Faites moi descendre de là. »
Je la soulève, nous désaccouple et la pose assise sur la table de réunion. Elle saute immédiatement de la table et s’agenouille devant moi, att**** mon sexe visqueux à deux mains et engloutie mon gland. Elle recommence ses succions tout en me masturbant de ses mains puissamment serrées autour de mon manche. La sensation est délicieuse et après quelques minutes de ce traitement, je ressens les prémices d’une éjaculation. Des picotements dans les bourses, mes cuisses se tendent, mes poings se serrent et la lave blanche commence à monter depuis la base de ma queue. J’écarte brutalement ses mains et avec une des mienne, me branle vigoureusement jusqu’à expulser une énorme quantité de crème blanche sur son visage, dans sa bouche, sur son front et ses cheveux. Je n’arrête pas de l’arroser. Je libère enfin mon membre et Lucile gobe mon gland pour récupérer les quelques gouttes retardataires. Elle suce et lèche, puis passe un doigt à plat sur son visage pour récolter ma semence, la pousser dans sa bouche et la faire disparaître en l’avalant.
Une fois terminé, elle se lève, att**** son sac pour en sortir un paquet de mouchoir en papier et me le donne.
- « Vous pouvez me nettoyer, je crois que j’en ai jusque dans les cheveux »
- « Excusez moi »
- « Il n’y a pas de mal, au contraire, j’ai adoré, mais je ne peux pas rentrer chez moi comme ça »
- « Oui, bien sur » dis-je en sortant en mouchoir et en commençant à lui faire une toilette capillaire approfondie.
Une fois propre, nous nous rhabillons quand la sonnerie de son Smartphone retentit.
- « allo. »
- « ………… »
- « Oui, je vais quitter la salle de réunion »
- « …….. »
- « Plus d’une heure ? je n’ai pas vu le temps passer » sur un ton ironique.
- « …….. »
- « Génial, c’était génial. J’ai pris un pied d’enfer. » avec un air coquin.
- « ……. »
- « Oui, un très bon coup. Et pour ta gouverne, en plus tu as gagné ton pari »
- « …… »
- « Bien monté tu dis ? Mieux que ça, très, très bien monté et très endurant. Nous avons visé juste. » dit-elle en riant.
- « …… »
- « Oui, tu peux avoir des regrets, surtout pour une réunion de merde… »
- « ……. »
- « Oui, la prochaine fois, il est pour toi, promis. »
- « …… »
- « Ok, bises, on s’appelle. » et raccroche puis me dit sans me regarder, tout en remontant son pantalon.
- « Je ne pense pas qu’elle tienne jusqu’à la semaine prochaine »
- « Et bien si elle m’appelle, je me rendrai disponible » répondis-je
Une fois habillés, nous quittons la salle de réunion et nous séparons sur le parking.
3 年 前