Ma première double pénétration anale
J’avais rendez-vous avec une copine trav avec qui j’avais fait connaissance sur Coco.fr depuis un certain temps. Pour des raisons personnelles, elle n’a pu me recevoir comme convenu et m’a demandé de reporter.
J’étais forcément déçue, car j’avais soigneusement pris le temps de me préparer et j’étais très excitée à l’idée de me gouiner avec une consœur. Je décidai cependant d’appeler un ami, Jean-Marc, la soixantaine, qui me reçoit assez régulièrement et qui aime bien jouer avec ma chatte anale. Il ne bande pas, ou peu, mais il prend plaisir à me travailler le cul avec des jouets avant de me fister.
Rendez-vous était pris pour 14 heures.
Comme d’habitude, dès mon arrivée, nous avons papoter de choses diverses, bu un café puis je me suis orientée vers la salle de bain pour me changer et me préparer.
Je portais une perruque brune au carré, je me suis maquillée légèrement avec un peu de fond de teint et du rouge à lèvres, quelques bijoux, une nuisette transparente avec un string, des bas plumetis noirs et des escarpins noirs. Ma petite nouille était encagée et mon anus pluggé.
Jean-Marc m’a félicité pour ma tenue et s’est immédiatement approché de moi pour me caresser la quasi-totalité du corps. Il était déjà nu et m’invita à sucer sa bitte molle. Je me mis à genoux et m’exécutai. Ses gémissements révélaient son plaisir. Il me demanda de lui lécher les couilles bien lisses et de lui pincer les tétons. Je les gobais entièrement tout en lui étirant le bout des seins et je commençais à ressentir une terrible envie de me faire travailler la chatte.
A ce moment précis, il me demanda si j’accepterais que deux de ses potes nous rejoignent. En vérité j’avais très envie, mais je lui posais malgré tout quelques questions afin de me rassurer.
J’en connaissais déjà un, David, qui est bien monté et qui est très endurant.
Ayant mon aval, il les appela et ils étaient disponibles ce qui me fit dire qu’il avait préparé son coup. Peu importe, je savais que trois bittes seraient à ma disposition, un rêve pour une salope comme moi.
En attendant, il commença à s’occuper de mon trou en chaleur après avoir retiré mon plug. Il me fouilla avec ses doigts, il m’enfonça un gode de belle dimension après m’avoir fait mettre à quatre pattes. Il m’avait bien lubrifiée et il l’enfonça en totalité sans difficulté.
Je commençais à mouiller et il me fit lécher l’écoulement de liquide séminal qui s’échappait de ma cage de chasteté.
Soudain, j’entendis la sonnette. Nous étions à l’étage dans la chambre et ils montèrent directement sans que Jean-Marc descende pour leur ouvrir. J’avais le cœur battant, partagée entre l’appréhension et l’excitation, un peu le même sentiment lorsque je sors en extérieur habillée en salope.
J’étais toujours en position de levrette pendant que Jean-Marc faisait des va-et-vient dans ma chatte avec son gode. Je sentis des mains me toucher et caresser diverses parties de mon corps et mon excitation se décupla.
Je relevai et tournai la tête pour voir ce qui se passait, je saluai mes partenaires totalement nus qui me dévoraient du regard et qui bandaient déjà. Prometteur !
Je connaissais déjà David qui a une belle bitte de 20 cm et faisais connaissance avec John dont j’évaluais le sexe à 17 ou 18 cm mais qui était plus épais que son compère.
Je ne pouvais résister à les prendre toutes les deux en bouche. Je devenais complètement folle. Pendant ce temps, Jean-Marc continuait de me travailler la chatte.
John se retira et se mit à l’écart quelques instants car il était sur le point de jouir. Je continuais de me régaler avec la grosse bitte bien dure de David en l’enfonçant dans ma gorge jusqu’à provoquer des hauts de cœur.
Il aimait ça le cochon car il me prenait la tête pour encore mieux l’enfoncer dans ma bouche de pute.
Jean-Marc retira le gode pour le remplacer par la bite de John qui avait récupéré semble-t-il. Il me pénétra sans difficulté mais je sentais bien sa bitte me fouiller les entrailles. Il me fessait, ce que j’adore et disait des choses que je ne comprenais pas ou mal, mais qui ne devait pas être très valorisante à mon égard, mais comme j’adore être humiliée et insultée, ça me rendait encore plus folle. Ses coups de butoirs étaient de plus en plus vigoureux, je sentais son bassin et le bas de son ventre claquer contre mes fesses.
Il se retira subitement pour laisser sa place à David et me demanda de lui lécher les couilles et l’anus, qui était propre et rasé de près, ce que j’adore.
David me baisait comme un dieu. Je sentais monter le plaisir, je commençais à être envahie par les spasmes et les frissons, tellement proche du lâcher prise et de l’orgasme.
Le gland de David frottait contre ma prostate et un long filet de sperme s’écoulait du bout de mon gland enfermé dans sa cage.
J’étais aux anges avec la sensation d’être une femelle dépravée abandonnée aux vices de mâles en rut.
David laissa sa place à John qui reprit du service. J’adore la sensation qu’il me procure quand il me pénètre. Son gland est petit mais sa bitte est en forme d’ogive et au plus large il doit bien faire 5,5 ou 6 cm de diamètre. Il rentrait et ressortait complètement jusqu’à ce que mon cul soit béant et en quête de plus gros encore.
Pendant que John m’enculait, David jouait avec mon clito encagé et suçait mon petit sexe emprisonné. La sensation était merveilleuse.
Jean-Marc qui n’en perdait pas une miette se branlait en regardant la scène.
Je n’ai plus trop la notion du temps et j’oublie certainement quelques détails, mais une idée me traversa l’esprit, une aubaine à laquelle je n’avais pas pensé, me faire double pénétrer.
Je le suggérais à mes partenaires et ils acceptèrent. Le plus difficile fût de trouver la position idéale et il a fallu s’y prendre en plusieurs fois pour le confort de tous.
Finalement, je me suis mise à quatre pattes avec en dessous David et John à l’arrière. David m’a pénétré en premier. Après plusieurs tentatives John a réussi à mettre son gland et à s’enfoncer dans mes entrailles où David prenait déjà beaucoup de place !
Ce n’est pas aussi aisé que ça en a l’air mais quel pied. Je continuais de sucer Jean-Marc qui après une grosse rasade de poppers m’a jouit dans la bouche. C’était divin !
Mes deux amants étaient parfaitement synchrones, ils coordonnaient leurs mouvements et me procuraient un plaisir rarement ressenti. Les râles de John m’indiquèrent qu’il avait jouit dans mon cul. David continua seul pendant plusieurs minutes puis se retira pour m’asperger le visage et la bouche de son sperme épais. J’aurais voulu que cela dure éternellement mais après avoir nettoyé le sexe de David jusqu’à la moindre goutte, je m’effondrais dans un état d’extase totale.
Je revenais à la réalité tout doucement et récupérais physiquement pendant plusieurs minutes.
J’étais trop bien, détendue comme jamais et j’aurais volontiers recommencé si mes amants du jour n’avaient pas eu des obligations. Mon seul regret est que la scène n’ait pas été filmée pour la partager.
Ce sera la prochaine fois…
J’étais forcément déçue, car j’avais soigneusement pris le temps de me préparer et j’étais très excitée à l’idée de me gouiner avec une consœur. Je décidai cependant d’appeler un ami, Jean-Marc, la soixantaine, qui me reçoit assez régulièrement et qui aime bien jouer avec ma chatte anale. Il ne bande pas, ou peu, mais il prend plaisir à me travailler le cul avec des jouets avant de me fister.
Rendez-vous était pris pour 14 heures.
Comme d’habitude, dès mon arrivée, nous avons papoter de choses diverses, bu un café puis je me suis orientée vers la salle de bain pour me changer et me préparer.
Je portais une perruque brune au carré, je me suis maquillée légèrement avec un peu de fond de teint et du rouge à lèvres, quelques bijoux, une nuisette transparente avec un string, des bas plumetis noirs et des escarpins noirs. Ma petite nouille était encagée et mon anus pluggé.
Jean-Marc m’a félicité pour ma tenue et s’est immédiatement approché de moi pour me caresser la quasi-totalité du corps. Il était déjà nu et m’invita à sucer sa bitte molle. Je me mis à genoux et m’exécutai. Ses gémissements révélaient son plaisir. Il me demanda de lui lécher les couilles bien lisses et de lui pincer les tétons. Je les gobais entièrement tout en lui étirant le bout des seins et je commençais à ressentir une terrible envie de me faire travailler la chatte.
A ce moment précis, il me demanda si j’accepterais que deux de ses potes nous rejoignent. En vérité j’avais très envie, mais je lui posais malgré tout quelques questions afin de me rassurer.
J’en connaissais déjà un, David, qui est bien monté et qui est très endurant.
Ayant mon aval, il les appela et ils étaient disponibles ce qui me fit dire qu’il avait préparé son coup. Peu importe, je savais que trois bittes seraient à ma disposition, un rêve pour une salope comme moi.
En attendant, il commença à s’occuper de mon trou en chaleur après avoir retiré mon plug. Il me fouilla avec ses doigts, il m’enfonça un gode de belle dimension après m’avoir fait mettre à quatre pattes. Il m’avait bien lubrifiée et il l’enfonça en totalité sans difficulté.
Je commençais à mouiller et il me fit lécher l’écoulement de liquide séminal qui s’échappait de ma cage de chasteté.
Soudain, j’entendis la sonnette. Nous étions à l’étage dans la chambre et ils montèrent directement sans que Jean-Marc descende pour leur ouvrir. J’avais le cœur battant, partagée entre l’appréhension et l’excitation, un peu le même sentiment lorsque je sors en extérieur habillée en salope.
J’étais toujours en position de levrette pendant que Jean-Marc faisait des va-et-vient dans ma chatte avec son gode. Je sentis des mains me toucher et caresser diverses parties de mon corps et mon excitation se décupla.
Je relevai et tournai la tête pour voir ce qui se passait, je saluai mes partenaires totalement nus qui me dévoraient du regard et qui bandaient déjà. Prometteur !
Je connaissais déjà David qui a une belle bitte de 20 cm et faisais connaissance avec John dont j’évaluais le sexe à 17 ou 18 cm mais qui était plus épais que son compère.
Je ne pouvais résister à les prendre toutes les deux en bouche. Je devenais complètement folle. Pendant ce temps, Jean-Marc continuait de me travailler la chatte.
John se retira et se mit à l’écart quelques instants car il était sur le point de jouir. Je continuais de me régaler avec la grosse bitte bien dure de David en l’enfonçant dans ma gorge jusqu’à provoquer des hauts de cœur.
Il aimait ça le cochon car il me prenait la tête pour encore mieux l’enfoncer dans ma bouche de pute.
Jean-Marc retira le gode pour le remplacer par la bite de John qui avait récupéré semble-t-il. Il me pénétra sans difficulté mais je sentais bien sa bitte me fouiller les entrailles. Il me fessait, ce que j’adore et disait des choses que je ne comprenais pas ou mal, mais qui ne devait pas être très valorisante à mon égard, mais comme j’adore être humiliée et insultée, ça me rendait encore plus folle. Ses coups de butoirs étaient de plus en plus vigoureux, je sentais son bassin et le bas de son ventre claquer contre mes fesses.
Il se retira subitement pour laisser sa place à David et me demanda de lui lécher les couilles et l’anus, qui était propre et rasé de près, ce que j’adore.
David me baisait comme un dieu. Je sentais monter le plaisir, je commençais à être envahie par les spasmes et les frissons, tellement proche du lâcher prise et de l’orgasme.
Le gland de David frottait contre ma prostate et un long filet de sperme s’écoulait du bout de mon gland enfermé dans sa cage.
J’étais aux anges avec la sensation d’être une femelle dépravée abandonnée aux vices de mâles en rut.
David laissa sa place à John qui reprit du service. J’adore la sensation qu’il me procure quand il me pénètre. Son gland est petit mais sa bitte est en forme d’ogive et au plus large il doit bien faire 5,5 ou 6 cm de diamètre. Il rentrait et ressortait complètement jusqu’à ce que mon cul soit béant et en quête de plus gros encore.
Pendant que John m’enculait, David jouait avec mon clito encagé et suçait mon petit sexe emprisonné. La sensation était merveilleuse.
Jean-Marc qui n’en perdait pas une miette se branlait en regardant la scène.
Je n’ai plus trop la notion du temps et j’oublie certainement quelques détails, mais une idée me traversa l’esprit, une aubaine à laquelle je n’avais pas pensé, me faire double pénétrer.
Je le suggérais à mes partenaires et ils acceptèrent. Le plus difficile fût de trouver la position idéale et il a fallu s’y prendre en plusieurs fois pour le confort de tous.
Finalement, je me suis mise à quatre pattes avec en dessous David et John à l’arrière. David m’a pénétré en premier. Après plusieurs tentatives John a réussi à mettre son gland et à s’enfoncer dans mes entrailles où David prenait déjà beaucoup de place !
Ce n’est pas aussi aisé que ça en a l’air mais quel pied. Je continuais de sucer Jean-Marc qui après une grosse rasade de poppers m’a jouit dans la bouche. C’était divin !
Mes deux amants étaient parfaitement synchrones, ils coordonnaient leurs mouvements et me procuraient un plaisir rarement ressenti. Les râles de John m’indiquèrent qu’il avait jouit dans mon cul. David continua seul pendant plusieurs minutes puis se retira pour m’asperger le visage et la bouche de son sperme épais. J’aurais voulu que cela dure éternellement mais après avoir nettoyé le sexe de David jusqu’à la moindre goutte, je m’effondrais dans un état d’extase totale.
Je revenais à la réalité tout doucement et récupérais physiquement pendant plusieurs minutes.
J’étais trop bien, détendue comme jamais et j’aurais volontiers recommencé si mes amants du jour n’avaient pas eu des obligations. Mon seul regret est que la scène n’ait pas été filmée pour la partager.
Ce sera la prochaine fois…
3 年 前