JOSY 1ière Etape

Une bien drôle de robe à vrai dire. En jean délavé, souple, toute droite boutonnée de haut en bas, avec un genre de col Claudine. Heureusement elle était assez courte, très courte. Elle arrivait juste sous les fesses. Mais bon, pour rester derrière les rideaux de la couchette. A peine la robe enfilée, je sentis le camion manoeuvrer et s'arreter, moteur tournant. La porte claqua. J'écartais un peu les rideaux: oui, on était bien sur le parking d'un entrepôt. Josy réapparu presqu'aussitôt.
"On se met à quai dans pas longtemps. J'ai quand même le temps de t'offrir un nouveau cadeau.
- Tu vas m'en faire un à chaque étape?
- ouvre on a peu de temps."
J'ai oté le papier cadeau et ouvert la boite.
"- He bien Josy, je ne me serai pas attendu à ça. Tu veux faire quoi?
- Surprise.. Pose tes pieds sur mes genoux"
Elle a attaché un bracelet de cuir à chacune de mes chevilles, puis à chacun de mes poignets. Chaque bracelet avait un anneau en métal.
"-Mets-toi à 4 pattes sur la banquette."
Je n'avais pas encore remarqué qu'il y avait des anneaux en différents points des montants de la banquette. En quelques gestes, j'avais les poignets et les chevilles attachés au montants par un mousqueton.
"-Ca va ma chérie, tu n'es pas trop mal? Ah oui, j'ai un autre cadeau. Je l'ouvre pour toi.
Elle était assise au bout de la couchette, J'étais appuyée sur mes mains, les bras tendus. De la boite elle a sorti une cagoule en skaï, m'a-t'il semblé., sans yeux, avec un trou pour le nez et une fermeture éclair devant l'ouverture pour la bouche.
"-Tu vas être bien et belle avec ça.
-Mais je vais rien voir
-C'est le but ma jolie."
A peine la tête couverte, elle a redémarré le camion, et a fait ses manoeuvres de mise à quai.
"-Je descends, soit sage ma chérie. Elle m'a donné un baiser sur les lèvres, à tiré la fermeture éclair devant ma bouche, m'a glissé un coussin, pour poser ma tête si je voulais et remonté le peu de robe qui restait sur mes fesses.
La porte a claqué.
J'étais seule, attachée, fesses en l'air nues, baillonnée et aveugle. Mais pas le temps de penser à ma situation, la porte s'est rouverte, le rideau légèrement tiré, et une main a caressé mes fesses.
Mais pas la main de Josy, je la connaissait trop.
La main s'est collée entre mes jambes et a remonté le long de ma fente, puis entre mes fesses et avant que j'aie vraiment compris, un sexe était à l'entrée de mon anus, et sans prévenir, sans préparation, une poussée et il est rentré d'un coup, jusqu'au fond. Je me suis cabrée sous l'assaut, en comprenant pourquoi Josy m'avait fait porter un plug toute la matinée. Sinon j'aurai pu être déchirée par cette brute. Il avait retroussé ma robe encore plus haut, il avait accroché ses 2 mains à mes hanches et me ramonait comme un perdu. Ca n'a pas trainé. En quelques minutes, il a giclé, mais sans se retirer. J'ai tout pris dans moi. Son truc fait, il est parti, sans un mot.
J'étais interloquée, même si la surprise me plaisait assez. Prise comme une lapine en somme.
Mais pas le temps de penser. Une autre main était sur ma fente, mais plus doucement, en entrant un doigt puis 2, sans brutalité.
J'ai bien senti son sexe se mettre en place et pénetrer lentement. Heureusement qu'il n'avait pas choisi la sodomie. Parce que je crois que je n'avais jamais connu une chose aussi grosse et longue. J'ai cru à un gode surdimensionné, mais c'était bien une bite. et lui ne se pressait pas trop. Il faisait ses longs va et viens avec calme. Ca commençait à me faire du bien et j'ai un peu remué du bassin pour lui faire comprendre de continuer comme ça.
J'ai reçu une énorme claque sur les fesses, sa main était comme son sexe, demesurée.et il a aboyé "tiens-toi tranquille sac à foutre".
Je me suis immobilisée, mais la claque ou sa façon de me parler, ou les 2, je me suis mise à couler. je sentais mon jus atteindre l'intérieur de mes cuisses. Lui a donné 3 ou 4 secousses rapides et il a craché son sperme sur mon dos. Le premier jet a atteint le creux de mes reins. Et les 2 autres moins violents il les a lachés sur chacune de mes fesses, puis a bien étalé sa sauce avec sa bite. Même moins tendue, elle était encore étonnante. J'aurai tant aimé la voir.
J'avais l'anus plein de foutre, les fesses souillées.... mais ça n'a pas dérangé le suivant. Ni les autres. les uns c'était une sodomie, les autres ma chatte. Mais aucun plus de 5 mn. Ils se secouaient comme des types privés de sexe depuis des mois. j'avais les cuisses trempées de ma mouille, de jute pour ceux qui avaient pas le temps de se retirer complètement, et le cul dilaté et débordant,
Il y a eu quelques minutes de tranquilité. Pas très longtemps.
La fermeture éclair devant ma bouche s'est ouverte, et j'ai ouvert grand la bouche pour remplir mes poumons d'air.
je n'ai pas eu le temps de la refermer.
j'ai commencé à sucer, puis je l'ai gardée aussi profond que possible dans ma bouche, en creusant les joues pour ne faire bouger que mes lèvres au plus près de ses couilles, et remplir ma bouche de salive et j'ai recommencé à sucer, gardant ma bouche pleine de salive.
Il a repoussé ma tête d'un coup.
"-Tu veux me faire jouir dans ta bouche la pute. Crois pas ça. Tu vas la prendre partout."
Il s'est mis derrière moi, et comme le premier m'a pénetrée d'un coup. mais ça n'a pas duré longtemps.
"-Grosse truie pleine de foutre. Ca déborde de ton cul de vache. Pas la peine de t'enculer on sent plus rien. On croirait baiser un tuyau d'arrosage. Je vais prendre ta chatte, mais je vais la nettoyer avant"
Je ne sais pas ce qu'il a pris, un mouchoir, un chiffon au bout de je ne sais quoi, il me l'a enfoncé dans le vagin , il l'a fait tourné, puis ressortit,
"-tu vas gouter seau a merde"
Et il me l'a mis dans la bouche .
Quand il m'a pénétrée, avant même qu'il commence à bouger, j'ai joui. Il s'en est rendu compte, ça l'a galvanisé. Il s'est mis à me chevaucher comme un sprinter, en me traitant de tous les noms qui lui passaient par la tête. Truie, salope, poufiasse, ramassis de fausse couche, mange cul....
J'ai joui une 2ieme fois, avant qu'il se retire et se vide sur mes fesses.
J'étais haletante, malgré le chiffon dans la bouche. Je secouais la tête pour le cracher, mais j'ai quand même entendu:
"-Merci du cadeau, Josy, on te revaudra ça".
Le camion a démarré, mais on n'a pas roulé longtemps.
Josy est venue près de moi, m'a enlevé le mouchoir et la cagoule.
"-Ca t'a plu, je t'ai entendu jouir.
- tu étais là
-Ben ma chérie, j'allais pas te laisser seule, je devais contrôler.
- y'en a eu combien?
- tous les gars des quais, 14.
-Et le dernier, il a eu droit à plus, pourquoi?
- c'était le chef, c'est normal."
Je ne pensais même pas à lui demander de me détacher
Elle m'a regardé intensément, a pris mon visage entre ses mains et m'a embrassée avec une telle fougue que nos dents se sont touchées. Sa langue a investi ma bouche, en s'appuyant sur la mienne, comme pour me dire de ne pas la bouger et de la pointe elle a caressé mon palais. Ca m'a fait passer des frissons dans tout le corps. Puis elle a aspiré ma langue et l'a tétée. En même temps sa main glissait sur mes seins, les caressait tendrement, très doucement, en en faisant le tour, puis elle a pris mes tétons encore durs entre 2 doigts et les a branler lentement, comme si c'était des micro pénis. Sa main a continué ses caresses jusqu'à ma fente qu'elle a parcouru, comme pour vérifier son état. Un doigt, un seul a trouvé tout de suite mon clito gonflé. Il l'a juste effleuré, fait bouger de droite gauche, puis s'est reculé, comme si c'était fini, mais non, le doigt tendu l'a frotté plus vite, plus fort, en appuyant, comme pour l'écraser, puis en l'effleurant à nouveau.
J'ai rejeté la tête en arrière, mon corps s'est raidi d'un bloc, j'avais le souffle coupé. Je crois que j'ai crié.
Je me suis affalée à plat ventre sur la couchette, la tête sur les cuisses de Josy.
Elle me caressait les cheveux et me parlait doucement.
Je n'entendais plus.
Je crois que je me suis endormie.