L'appartement au rez-de-jardin
Je suis séparée depuis quelque temps. Ma dernière relation était très bien, elle me satisfaisait en profondeur, si vous voyez ce que je veux dire, mais le mec était un porc qui me trompait et un jour il m'a quittée sans dire 'au revoir'. Je déprimais un peu, j'avais envie de changer de vie et sur un impulse j'ai postulé pour un job dans un autre ville sur la côte méditerranéene. J'ai été acceptée et tout de suite je l'ai regrettée, mais maintenant c'était fait. Trouver un logement, déménager, ne connaître personne --- j'ai regretté mon impulsivité.
Je trouve un très petit appartement en rez-de-jardin dans une petite résidence à peu d'appartements. L'immeuble est en forme d'U, les jardins étant du côté extérieur de l'U. Du côté intérieur il y a les coursives. Mon appartement se trouve à un bout de l'U, il est le tout dernier. Après ma porte il y a une porte pour descendre aux garages et au local poubelle, mais personne ne l'utilise, tout le monde prend l'ascenseur. Il n'y a personne qui passe devant ma porte. En plus, l'orientation de la coursive, la végétation, le niveau élevé de la cour à l'intérieur de l'U fait que ma coursive est tout le temps dans l'ombre, un peu humide, un peu louche, le soir elle a l'air de l'"impasse du viol".
J'ai déménagé en hiver. Et j'ai eu raison de le regretter. Les jours monotones, pas de personne intéressante au travail avec qui flirter. La solitude s'accumulait, la déprime aussi.
J'ai recommencé mes petits jeux, mes "vices solitaires". Je me suis fait livrer de nouveaux "jouets", je prenais plaisir à me masturber longuement le soir, dans mon lit. Je prenais un plaisir vicieux à le faire à l'extérieur, au volant dans le garage de la résidence avant mon départ matinal --- je portais exprès des jupes, je la soulevais sur mes hanches, j'appuyais trois doigts sur le cotton de ma culotte et je frottais frénétiquement pour jouir le plus vite possible. Le plus vite. Tout l'invers de ce que je faisais les soirs quand je prenais un plaisir pervers de me frustrer. Les soirs je manipulais mon gode épais et veneux lascivement, très lentement je le faisais entrer, je l'extrayais et même 30 minutes après, quand mon excitation exigeait sa gratification immédiate, j'aimais perversement de le retarder, même si mon vagin commençait à spasmer, à exiger, à avaler le gode, à se pousser vers lui, même si mes hanches commençaient à faire des vas-et-viens comme la nature les a instruites sans moi.
Mais je me suis laissée emporter par ces réminiscences. Revenons aux matins: parfois un gémissement léger m'échappait au moment de l'orgamse, mais il ne sortait pas de ma voiture. Parfois mon dos se cambrait, mes hanches poussaient vers ma main, je ne touchais le dossier du siège qu'avec mes omoplates, ma tête jetée en arrière, ma vision on peu troublée fixant le plafond, ma respiration halétante. Pour quelques secondes j'oubliais que j'étais dans le garage, mon esprit se troublait, rien ne m'importait. Si quelqu'un était entré dans le garages à ces moments précis, s'en serait-il douté ?
Parfois je ne le faisais pas dans le garage de mon immeuble, j'aimais retarder cette gratification, ma petite folie, de 20 minutes et j'attendais que j'arrive au travail pour me masturber vite avant de monter aux bureaux. Je conduisais pleine d'excitation, ne pensant qu'au petit plaisir illicite que je prendrais avant de commencer la journée.
J'ai commencé à prendre de plus en plus de risques. J'ai mis mon gode dans mon sac à main et je l'utilisais dans le garage. Une fois j'ai ouvert la porte de la voiture pour planter ma jambe plus loin, pour écarter mes cuisses davantage, pour me sentir plus trash. Plus tard j'abandonnais le gode sur le siège passager avant de monter au bureaux, juste au cas où un collègue était assez pervers pour descendre au garages et "inspecter" les intérieurs des voitures des filles. Mais non, aucun billet salace laissé sur mes essuie-glace, aucune "PUTE" tracée dans la poussière des vitres latérales. L'idée qu'un pervers anonyme aperçoit le gode m'excitait. Le comble de ce fantasme était que le gode ne soit pas encore sec, que mes jus soient encore visibles quand le pervers fait sa balade honteuse dans les entrailles de l'immeuble de bureaux.
Une fois j'ai pris mon gode avec moi au bureau. Je me suis pas contentée de le garder dans mon sac à main, mais je l'ai placé dans un tiroir, comme un banal crayon. Mon plan -- réalisé -- était de rester plus tard, après que les bureaux se vident. J'incline le dossier de mon siège de bureau jusqu'à l'horizontale presque, j'hôte ma culotte que je mets dans mon sac à main, je lève mes jambes, j'enfonce la planche du bureau dans les creux entre ma semelle et mes talons hauts, enfoncée et accroupie dans le siège, les genoux presqu'au menton. Ma main saisit violamment la poignée du tiroir, j'en prends le gode qui y a attendu patiemment toute la journée et autour de qui mes pensées ont tourné sans cesse, et je l'enfonce brutalement dans ma chatte. Brutalement, mais j'étais tellement excitée ayant pensé à ce moment toute la journée qu'il est entré comme le fils prodigue dans la maison de son père. Néanmoins, un petit cri, mais pas de douleur mais de la surprise de l'intensité du plaisir, m'est échappé. Je suis folle, me suis-je dit. À tout moment une personne d'un autre bureau que j'aurais pensé partie aurait pu voir la lumière et entrer pour me dire au revoir. Ou la femme de ménage aurait pu passer. Mais rien de cela. J'étais là, comme une trainée en chaleur, les genoux au menton, la chatte exposée, manipulant un gode noir luisant, gémissant continûment à basse intensité, comme un pleur. J'ai joui fort dès que ma deuxième main a touché et fait des cercles sur mon clito affolé. J'étais trempée, le gode aussi. Il m'a fallu quelque bonnes minutes pour revenir à mes sens. Je n'ai plus remis la culotte, je suis descendue au garage la chatte libre sous ma jupe, les derniers temoins de mon péché s'écoulant encore sur ma cuisse intérieure, témoins qui le seront encore plus quand ils tacheront ma jupe une fois assise dans la voiture.
Comme dit, j'ai déménagé en hiver. Je n'avais pas compté avec la chaleur méditerrannéene. Le soleil tapait tout l'après-midi dans les baies vitrées côté jardin, le petit appartement devenait un four. Désespérée, je n'ai pas trouvé d'autre solution que de garder ma porte d'entrée ouverte toute la journée. Vu que personne ne passait sur "ma" coursive sombre, "impasse du viol" comme je le nommais l'hiver quand je retrais du boulot dans le noir, je me suis dit que mon intimité sera préservée.
Mais l'idée que quelqu'un peut passer, en occurrence un homme, qu'il voit une femme attirante, toujours seule, s'ennuyer dans la chaleur de l'été, que cela lui donne des idées, cela me chauffait intérieurement, mon esprit commençait à s'envoler, à s'imaginer des scénarios, le désir de me toucher, de me satisfaire, montait et montait. Ayant acquis le goût du risque, je me suis dit que je me mets en scène cette fois. Je ne me masturbe plus comme un gamine, en cachette, mais comme un femme exigente, consciente de ses charmes, comme une déesse devant ses adorateurs. Donc je me suis fait un scénario. J'aurais pu me masturber dans ma chambre, dans mon lit, sans qu'un passant puisse me voir. Mais je me suis mise en scène: je me suis faite belle, j'ai mis un corset blanc qui laissait mes seins libres et les poussait, comme une Artémis féconde. J'ai mis un porte-jarretelles blanc et des bas résille blancs. Sans culotte, bien-sûr. J'ai mis une paire de talons noirs, j'avais envie de provoquer mon voyeur hypothétique, qu'il me considère une roulure en chaleur. Je me suis assise sur une chaise au centre du hall de mon appartement, orientée vers la porte. J'ai également mis une autre chaise d'un côté. J'ai planté une de mes jambes sur cette chaise, l'autre talon je l'ai enfoncé sur un petit caisson bas à chaussures de l'autre côté. Tout passant aurait pu voir ma chatte modérément poilue, mes seins bronzés aux aréoles rondes bordeaux. Je minimisais le risque, je me disais qu'il n'y en a aucun, que c'est un jeu de mon imagination que quelqu'un passe. Personne ne passera.
À peine ai-je commencé à me caresser le clito, les lèvres, de passer parresseusement mes doigts dessus (je voulais jouer le plus long possible) qu'un voisin du 2ème étage, 35-38 ans je dirais, pas mal comme type, passe. Je reste figée, une main immobile entre mes jambes, le clito serré entre deux doits devrait lui sourire probablement parce que mon voisin et bientôt amant pour ce soir-là est resté lui aussi figé, avec les yeux fixés sur mon sexe, un grand sourire sur son visage. Il a dit "bonsoir", la seule chose qu'il m'a dit ce soir-là. Il laisse tomber sa poubelle, il pénètre mon appartement --- et bientôt ce ne sera pas la seule chose qu'il pénétrerait --, s'agénouille entre mes cuisses écartées, met ses mains à la base de mon cou, comme pour m'étrangler, et gobe avec gourmandise mon sein plein et en manque d'attentiontandis que ses mains caressent la peau de mon cou. Comme débloquée, je me décontracte complètement, ma main continue le travail plaisant qu'elle avait commencée. Il s'en rend compte, sa main baisse de mon cou, saisit la mienne, l'écarte et un de ses doigts parcourt ma fente de bas en haut, jusqu'à sous mon clito qu'il soutient gentiment avant de recommencer. Je commence à mouiller, ma respiration dans ces cheveux devient plus forte. Ses bras enlacent mes cuisses écartées des deux côtés de son corps, il me prend dans ses bras, me soulève de la chaise, me porte dans la cuisine au fond du hall et me dépose sur la table. Curieusement, je lui fais complètement confiance, je suis décontractée et pleine de l'excitation de l'attente. Entre le hall et la cuisine il a hôté ses shorts et la culotte, je vois un sexe très dur, pointant légèrement en haut, la peau s'étant retirée par la vigueur de l'érection et dévoilant un gland luisant et beau. J'avais envie de le serrer dans la main, de le masturber, de sentir sa dureté, de voir son plaisir dans ses yeux. J'avais envie de l'entourer de mes lèvres, de le sentir sur ma langue, de lui provoquer des tressaillements. Pourtant, cette belle bite est si loin de ma portée, vu qu'il s'est mis sur une chaise de cuisine et me lèche comme si j'étais servie comme un plat ou plutôt un dessert. Qu'est-ce que c'est bien! Comment sa langue sépare mes lèvres, comment les siennes pincent les miennes, pincent et tirent légèrement mon clito, j'ai l'impression que mes jus vont s'échapper de mon trou affamé dans sa bouche, j'ai honte pour un moment, mais ensuite j'oublie la honte, je m'abandonne aux caresses de sa langue, du doigt qui vient de pénétrer ma chatte et qui augmente mon plaisir. Mon têton est serré entre deux doigts de sa main, l'autre masse les murs de mon vagin et envoie des frissons dans mon corps à travers mon clito. J'ai envie, j'ai tellement envie, "mets-la dedans!" échappe de mes lèvres. Il se met debout à côté de la table, je n'attends plus, je lui saisis la queue, enfin je la tâte, elle sera la mienne, je le tire par la queue, je la pose sur mes lèvres, j'appuye, je me masturbe avec sa queue, brutalement. Les lèvres se séparent et l'enveloppent, pour la libérer à nouveau et la laisser torturer le clito, bien gonflé, dur, archi-sensible désormais. Le temps est venu, toujours sans lâcher ce jouet en chair, je me le mets, je me fais pénétrer. Instinctivement je lève mes jambes en bas blancs et talons noirs et je les pose sur ses épaules. Il accélère le rythme, la table tremble, mon corps est secoué, mes seins dansent, mon corps est inerte, décontracté, ma tête tourne, je n'ai plus de corps mais je suis une balle de chaleur qui envahit ma conscience. Je n'ai point pensé à son plaisir mais il entre ma conscience quand je commence à sentir les premiers jets abondants de son sperme au fond du sac de chair qu'est mon sexe. C'était comme si ces jets chauds tombaient directement sur la racine de mon clito. Une sorte de choc électrique traverse mon corps entier qui se raidit, mes deux jambes se tendent, serrent son cou, mes hanches se dressent de la table de cuisine, pour une seconde je me jette en haut et avant, mon corps rigide comme un planche, pour me laisser après retomber. L'orgasme qui m'est venu soudain continue, le plaisir s'épanche, je me sens comblée, je regrette juste de ne pas l'avoir sucé, mais je ne crois pas que ce soit la dernière fois qu'il passe désormais devant ma porte.
Je trouve un très petit appartement en rez-de-jardin dans une petite résidence à peu d'appartements. L'immeuble est en forme d'U, les jardins étant du côté extérieur de l'U. Du côté intérieur il y a les coursives. Mon appartement se trouve à un bout de l'U, il est le tout dernier. Après ma porte il y a une porte pour descendre aux garages et au local poubelle, mais personne ne l'utilise, tout le monde prend l'ascenseur. Il n'y a personne qui passe devant ma porte. En plus, l'orientation de la coursive, la végétation, le niveau élevé de la cour à l'intérieur de l'U fait que ma coursive est tout le temps dans l'ombre, un peu humide, un peu louche, le soir elle a l'air de l'"impasse du viol".
J'ai déménagé en hiver. Et j'ai eu raison de le regretter. Les jours monotones, pas de personne intéressante au travail avec qui flirter. La solitude s'accumulait, la déprime aussi.
J'ai recommencé mes petits jeux, mes "vices solitaires". Je me suis fait livrer de nouveaux "jouets", je prenais plaisir à me masturber longuement le soir, dans mon lit. Je prenais un plaisir vicieux à le faire à l'extérieur, au volant dans le garage de la résidence avant mon départ matinal --- je portais exprès des jupes, je la soulevais sur mes hanches, j'appuyais trois doigts sur le cotton de ma culotte et je frottais frénétiquement pour jouir le plus vite possible. Le plus vite. Tout l'invers de ce que je faisais les soirs quand je prenais un plaisir pervers de me frustrer. Les soirs je manipulais mon gode épais et veneux lascivement, très lentement je le faisais entrer, je l'extrayais et même 30 minutes après, quand mon excitation exigeait sa gratification immédiate, j'aimais perversement de le retarder, même si mon vagin commençait à spasmer, à exiger, à avaler le gode, à se pousser vers lui, même si mes hanches commençaient à faire des vas-et-viens comme la nature les a instruites sans moi.
Mais je me suis laissée emporter par ces réminiscences. Revenons aux matins: parfois un gémissement léger m'échappait au moment de l'orgamse, mais il ne sortait pas de ma voiture. Parfois mon dos se cambrait, mes hanches poussaient vers ma main, je ne touchais le dossier du siège qu'avec mes omoplates, ma tête jetée en arrière, ma vision on peu troublée fixant le plafond, ma respiration halétante. Pour quelques secondes j'oubliais que j'étais dans le garage, mon esprit se troublait, rien ne m'importait. Si quelqu'un était entré dans le garages à ces moments précis, s'en serait-il douté ?
Parfois je ne le faisais pas dans le garage de mon immeuble, j'aimais retarder cette gratification, ma petite folie, de 20 minutes et j'attendais que j'arrive au travail pour me masturber vite avant de monter aux bureaux. Je conduisais pleine d'excitation, ne pensant qu'au petit plaisir illicite que je prendrais avant de commencer la journée.
J'ai commencé à prendre de plus en plus de risques. J'ai mis mon gode dans mon sac à main et je l'utilisais dans le garage. Une fois j'ai ouvert la porte de la voiture pour planter ma jambe plus loin, pour écarter mes cuisses davantage, pour me sentir plus trash. Plus tard j'abandonnais le gode sur le siège passager avant de monter au bureaux, juste au cas où un collègue était assez pervers pour descendre au garages et "inspecter" les intérieurs des voitures des filles. Mais non, aucun billet salace laissé sur mes essuie-glace, aucune "PUTE" tracée dans la poussière des vitres latérales. L'idée qu'un pervers anonyme aperçoit le gode m'excitait. Le comble de ce fantasme était que le gode ne soit pas encore sec, que mes jus soient encore visibles quand le pervers fait sa balade honteuse dans les entrailles de l'immeuble de bureaux.
Une fois j'ai pris mon gode avec moi au bureau. Je me suis pas contentée de le garder dans mon sac à main, mais je l'ai placé dans un tiroir, comme un banal crayon. Mon plan -- réalisé -- était de rester plus tard, après que les bureaux se vident. J'incline le dossier de mon siège de bureau jusqu'à l'horizontale presque, j'hôte ma culotte que je mets dans mon sac à main, je lève mes jambes, j'enfonce la planche du bureau dans les creux entre ma semelle et mes talons hauts, enfoncée et accroupie dans le siège, les genoux presqu'au menton. Ma main saisit violamment la poignée du tiroir, j'en prends le gode qui y a attendu patiemment toute la journée et autour de qui mes pensées ont tourné sans cesse, et je l'enfonce brutalement dans ma chatte. Brutalement, mais j'étais tellement excitée ayant pensé à ce moment toute la journée qu'il est entré comme le fils prodigue dans la maison de son père. Néanmoins, un petit cri, mais pas de douleur mais de la surprise de l'intensité du plaisir, m'est échappé. Je suis folle, me suis-je dit. À tout moment une personne d'un autre bureau que j'aurais pensé partie aurait pu voir la lumière et entrer pour me dire au revoir. Ou la femme de ménage aurait pu passer. Mais rien de cela. J'étais là, comme une trainée en chaleur, les genoux au menton, la chatte exposée, manipulant un gode noir luisant, gémissant continûment à basse intensité, comme un pleur. J'ai joui fort dès que ma deuxième main a touché et fait des cercles sur mon clito affolé. J'étais trempée, le gode aussi. Il m'a fallu quelque bonnes minutes pour revenir à mes sens. Je n'ai plus remis la culotte, je suis descendue au garage la chatte libre sous ma jupe, les derniers temoins de mon péché s'écoulant encore sur ma cuisse intérieure, témoins qui le seront encore plus quand ils tacheront ma jupe une fois assise dans la voiture.
Comme dit, j'ai déménagé en hiver. Je n'avais pas compté avec la chaleur méditerrannéene. Le soleil tapait tout l'après-midi dans les baies vitrées côté jardin, le petit appartement devenait un four. Désespérée, je n'ai pas trouvé d'autre solution que de garder ma porte d'entrée ouverte toute la journée. Vu que personne ne passait sur "ma" coursive sombre, "impasse du viol" comme je le nommais l'hiver quand je retrais du boulot dans le noir, je me suis dit que mon intimité sera préservée.
Mais l'idée que quelqu'un peut passer, en occurrence un homme, qu'il voit une femme attirante, toujours seule, s'ennuyer dans la chaleur de l'été, que cela lui donne des idées, cela me chauffait intérieurement, mon esprit commençait à s'envoler, à s'imaginer des scénarios, le désir de me toucher, de me satisfaire, montait et montait. Ayant acquis le goût du risque, je me suis dit que je me mets en scène cette fois. Je ne me masturbe plus comme un gamine, en cachette, mais comme un femme exigente, consciente de ses charmes, comme une déesse devant ses adorateurs. Donc je me suis fait un scénario. J'aurais pu me masturber dans ma chambre, dans mon lit, sans qu'un passant puisse me voir. Mais je me suis mise en scène: je me suis faite belle, j'ai mis un corset blanc qui laissait mes seins libres et les poussait, comme une Artémis féconde. J'ai mis un porte-jarretelles blanc et des bas résille blancs. Sans culotte, bien-sûr. J'ai mis une paire de talons noirs, j'avais envie de provoquer mon voyeur hypothétique, qu'il me considère une roulure en chaleur. Je me suis assise sur une chaise au centre du hall de mon appartement, orientée vers la porte. J'ai également mis une autre chaise d'un côté. J'ai planté une de mes jambes sur cette chaise, l'autre talon je l'ai enfoncé sur un petit caisson bas à chaussures de l'autre côté. Tout passant aurait pu voir ma chatte modérément poilue, mes seins bronzés aux aréoles rondes bordeaux. Je minimisais le risque, je me disais qu'il n'y en a aucun, que c'est un jeu de mon imagination que quelqu'un passe. Personne ne passera.
À peine ai-je commencé à me caresser le clito, les lèvres, de passer parresseusement mes doigts dessus (je voulais jouer le plus long possible) qu'un voisin du 2ème étage, 35-38 ans je dirais, pas mal comme type, passe. Je reste figée, une main immobile entre mes jambes, le clito serré entre deux doits devrait lui sourire probablement parce que mon voisin et bientôt amant pour ce soir-là est resté lui aussi figé, avec les yeux fixés sur mon sexe, un grand sourire sur son visage. Il a dit "bonsoir", la seule chose qu'il m'a dit ce soir-là. Il laisse tomber sa poubelle, il pénètre mon appartement --- et bientôt ce ne sera pas la seule chose qu'il pénétrerait --, s'agénouille entre mes cuisses écartées, met ses mains à la base de mon cou, comme pour m'étrangler, et gobe avec gourmandise mon sein plein et en manque d'attentiontandis que ses mains caressent la peau de mon cou. Comme débloquée, je me décontracte complètement, ma main continue le travail plaisant qu'elle avait commencée. Il s'en rend compte, sa main baisse de mon cou, saisit la mienne, l'écarte et un de ses doigts parcourt ma fente de bas en haut, jusqu'à sous mon clito qu'il soutient gentiment avant de recommencer. Je commence à mouiller, ma respiration dans ces cheveux devient plus forte. Ses bras enlacent mes cuisses écartées des deux côtés de son corps, il me prend dans ses bras, me soulève de la chaise, me porte dans la cuisine au fond du hall et me dépose sur la table. Curieusement, je lui fais complètement confiance, je suis décontractée et pleine de l'excitation de l'attente. Entre le hall et la cuisine il a hôté ses shorts et la culotte, je vois un sexe très dur, pointant légèrement en haut, la peau s'étant retirée par la vigueur de l'érection et dévoilant un gland luisant et beau. J'avais envie de le serrer dans la main, de le masturber, de sentir sa dureté, de voir son plaisir dans ses yeux. J'avais envie de l'entourer de mes lèvres, de le sentir sur ma langue, de lui provoquer des tressaillements. Pourtant, cette belle bite est si loin de ma portée, vu qu'il s'est mis sur une chaise de cuisine et me lèche comme si j'étais servie comme un plat ou plutôt un dessert. Qu'est-ce que c'est bien! Comment sa langue sépare mes lèvres, comment les siennes pincent les miennes, pincent et tirent légèrement mon clito, j'ai l'impression que mes jus vont s'échapper de mon trou affamé dans sa bouche, j'ai honte pour un moment, mais ensuite j'oublie la honte, je m'abandonne aux caresses de sa langue, du doigt qui vient de pénétrer ma chatte et qui augmente mon plaisir. Mon têton est serré entre deux doigts de sa main, l'autre masse les murs de mon vagin et envoie des frissons dans mon corps à travers mon clito. J'ai envie, j'ai tellement envie, "mets-la dedans!" échappe de mes lèvres. Il se met debout à côté de la table, je n'attends plus, je lui saisis la queue, enfin je la tâte, elle sera la mienne, je le tire par la queue, je la pose sur mes lèvres, j'appuye, je me masturbe avec sa queue, brutalement. Les lèvres se séparent et l'enveloppent, pour la libérer à nouveau et la laisser torturer le clito, bien gonflé, dur, archi-sensible désormais. Le temps est venu, toujours sans lâcher ce jouet en chair, je me le mets, je me fais pénétrer. Instinctivement je lève mes jambes en bas blancs et talons noirs et je les pose sur ses épaules. Il accélère le rythme, la table tremble, mon corps est secoué, mes seins dansent, mon corps est inerte, décontracté, ma tête tourne, je n'ai plus de corps mais je suis une balle de chaleur qui envahit ma conscience. Je n'ai point pensé à son plaisir mais il entre ma conscience quand je commence à sentir les premiers jets abondants de son sperme au fond du sac de chair qu'est mon sexe. C'était comme si ces jets chauds tombaient directement sur la racine de mon clito. Une sorte de choc électrique traverse mon corps entier qui se raidit, mes deux jambes se tendent, serrent son cou, mes hanches se dressent de la table de cuisine, pour une seconde je me jette en haut et avant, mon corps rigide comme un planche, pour me laisser après retomber. L'orgasme qui m'est venu soudain continue, le plaisir s'épanche, je me sens comblée, je regrette juste de ne pas l'avoir sucé, mais je ne crois pas que ce soit la dernière fois qu'il passe désormais devant ma porte.
3 年 前