Fakes cochons...soudain, la réalité

Combien de fois ne me suis-je pas branlé en pensant à cette quasi-retraitée discrète et joviale, au physique banal?
Anne, dame brune maintenant grisonnante, dame active et souriante, engagée dans de nombreuses associations pieuses et culturelles.
Et moi, comme un cochon, j'ai commencé de me secouer le membre en pensant à elle, pour voir...voir si l'excitation monterait...par transgression...
Une femme si discrète, si honnête...à la foufoune purement décorative, ignorée...une touffe au chômage...
J'imaginais mon gland franchissant les premiers millimètres de son vagin...
Cette grotte oubliée, je l'explorais du bout du gland, je poussais avec mon membre, les yeux fermés, les couilles pressées, la main active...Du coup, le sourire d'Anne, ses pommettes hautes, un peu rondes, me paraissaient coïncider avec la joie purement physique d'un acte sexuel libérateur
Mon sperme bouillonne, j'apprécie cette branlette en pensant à cette dame
Je recommence. Vicieusement, j'ai envie de la voir à poils, j'ai envie de la fourrer, je voudrais prolonger son sourire dans une version nouvelle, rougissante, pendant que je lancerais ma langue comme une pine raidie dans son con
J'ai envie de sa vulve, je me vois aspirer son jus de moule comme on gobe une huître
Bénédiction, Thomas, mon ami vicieux de hamster, me la montre à poil, cette brave Anne.
C'est bien elle, offerte, les seins un peu tombants, le corps légèrement affaissé, dans une opulence délicieusement grasse de vieille ménagère qui ne prend plus tellement soin d'elle, qui n'ose plus imaginer qu'un homme puisse la désirer, que dis-je, puisse se vider les burnes avec enthousiaste en rêvant de lui injecter son sperme
Pendant le confinement, les fantasmes se sont multipliés
Comme un camp de base avant l'assaut d'un sommet, je pars depuis les fakes de Thomas non pas pour monter, mais pour descendre dans le vice
Anne devient ma pute, elle porte parfois du cuir, du latex, elle branle, elle m'attend à quatre pattes, elle m'offre son gros fessier que j'écarte, ma langue a plein de choses à dire à son anus<div>Et soudain, j'ai l'occasion de la revoir...sans grande proximité, mais assez longtemps
(j'écris surtout pour Thomas). eh bien...elle est devenue un peu moche...plus grisonnante, elle a pris du poids.
Elle était habillée de manière plus relâchée, en jeans délavés, qui moulaient ses grosses cuisses de jeune retraitée, qui devraient s'ouvrir largement pour que m'enfonce en elle. Sa chemise terne, au tissu quelconque , ne mettait pas en valeur ses gros seins mous.
Cette allure décevante allait elle éteindre mon envie de m'enfoncer en elle?
Justement non. Je l'imaginais relâchée, peu séduisante, comme une femme qui ne séduit plus, non pas par manque d'intérêt pour une relation, mais justement parce qu'elle aurait assumé sa vraie nature: rester indépendante, active, avec ses amies, et se lâcher comme une chienne avec des amants, jouir pour jouir, se faire fourrer, sucer, rayonnante de vice...une matrone espiègle comme une gamine, qui veut déguster de la bite, qui assume les joies sans lendemain que peuvent lui donner ses chairs flasques, ravie de voir ces bites qui frémissent pour elle
Anne ternie, grossie, devenait Anne la grosse salope décomplexée
Je voyais son visage un peu amolli, ses paupières mi-closes, recevant un jet oblique de foutre, après que je me sois branlé entre ses nichons.
Elle est toujours aussi souriante, mais avec un lueur blasée et cochonne dans l'oeil...
Elle sait que son vagin, qui a peu servi dans son étui de crin grisonnant, est un gant délicieux pour y faire coulisser de la bite
Alors elle nous accueille, Thomas et moi, et de manière informelle, on la grimpe à tour de rôle, autant qu'on en a envie.
au milieu du repas, que Anne nous sert en peignoir ouvert, elle se couche sur une table, cuisses ouvertes, et je m'enfonce en elle jusqu'aux couilles
Debout face à elle, je me fais du bien en labourant le vagin d'Anne, mais je m'arrête, car la soirée est encore longue
Je sors du con, le gland tout luisant
- Super, ça fait du bien, me dit Anne, qui se relève sur ses coudes.
Elle s'apprête à revenir à table, mais se ravise
- Thomas, tu voudrais peut-être...?
Celui-ci s'approche, sa grosse bite bien dressée, et s'enfonce en elle comme je l'avais fait.
Anne laisse retomber sa tête. Les yeux fermés, son sourire s'épanouit, ses joues toutes rondes rougissent.
Ses gros seins flasques tremblotent à chaque coup de reins de Thomas.
- Elle va me faire juter, avec sa chatte de velours.
- non, les garçons. Il y a encore un dessert qui vous attend, et j'aimerais qu'on fasses ça sur le lit, j'ai décoré la chambre tout exprès.
Avant de se rendre à la chambre à coucher, nous ne résisterons pas au plaisir de nous mettre debout devant Anne, toujours assise. Ah! le sourire d'Anne quand elle balaye les glands rapprochés avec une grande langue taquine.
On dirait que ça l'amuse, à 65 ans, de faire gémir des hommes avec les mêmes gestes qu'elles ne connaissait qu'en léchant des glaces, pendant ses années raisonnables.
Dans la chambre, pendant que l'un de nous la baise, l'autre s'avance à genoux sur le lit pour se faire sucer.
Mais c'est aussi agréable de regarder...se retirer de la scène, s'associer sur le fauteuil, regarder l'autre qui baise profondément, lentement, le vagin profond d'Anne.
La queue épaisse de Thomas fait des merveilles en clapotant rythmique ment dans le vagin d'Anne.
Je ne suis pas pressé, mais si cela dure...je me branlotte tranquillement. De toute façon, ce sera ensuite mon tour.
La grosse bite de Thomas dégorge son foutre dans la chatte de la retraitée. Mais celle-ci me fait place, cuisses écartées, toute contente de recevoir une autre queue. Elle va vite se laver à la salle de bains.
Son vagin est toujours mouillé, seulement un peu sec vers l'entrée. C'est bon, comme ça je dois un peu forcer, le gland étranglé à l'entrée...et soudain, après avoir fait céder une barrière, je me retrouve d'un coup enfoncé jusqu'aux couilles.
Jusque tard dans la soirée, après nous avoir servi un café, et nous avoir sucé en disant des cochonneries, nous continuons de bander pour Anne. Nous nous baladons à poils dans l'appartement.
nous regardons Anne qui passe dans le salon, qui revient, toute nue, décomplexée, avec son gros cul blanc qui nous excite quand on la voit s'affaire à la cuisine.
Elle suce de mieux en mieux. On doit les rappeler de temps en temps de ne pas oublier de nous gober les couilles, ce qu'elle fait volontiers.
Thomas veut l'enculer. C'est moi qui la prépare. Je les graisse l'oignon avec de la vaseline.
Anne suce encore Thomas, elle prépare la bite qui va l'enculer.
Le cul d'Anne ne se laisse pas facilement pénétrer. J'aime bien la voir se faire enculer. son sourire se mélange avec une expression de concentration. Ce n'est qu'à la fin qu'elle retrouve une expression vraiment extatique.
Une image m'obsède, juste après l'acte: Anne qui reste à quatre pattes, l'anus rougi, humide, d'où s'écoule très lentement un long filet de sperme.

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发布者 langauchat
3 年 前
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langauchat
langauchat 出版商 3 年 前
nudemum : sincèrement, merci! tous mes récits VECUS avec des femmes très mûres ont disparu du site...en indiquant où certains se retrouvent, le site a tout de suite censuré mes phrases. si on tape "Mûres, Brigitte 73 aime le sperme", ou "Brigitte 73 cuir et film x" ou "fruits mûrs - comment j'ai baisé Monique, 75 ans" tu trouves quelque chose". Tes remarques me donnent envie de me remettre à me confier- c'est très cochon. j'adore échanger sur des sujets bien obscènes. Je suis bon public pour lire des témoignages ou fantasmes- ne serait-ce que des visites chez les putes. A bientôt
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nudemum 3 年 前
Anne ne vois tu rien venir
回答
jmarc73
jmarc73 3 年 前
Très bien écrit !
回答
thx21
thx21 3 年 前
Oh merci !
回答
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