Les bourgeoises (5)

C'est aujourd'hui que la belle Léa passe son entretien d'embauche. Quand la Boîte l'a appelée, elle a très vite compris qu'elle devrait donner de sa personne, ce qui n'est pas pour lui déplaire. C'est même une chose totalement naturelle pour elle. Léa s'est donc préparée en conséquence, comme elle le fait tous les jours. Après avoir orné son décolleté avec de multiples colliers de perle, elle a revêtu un chemisier violet en soie. Sous le délicat tissu, ses tétons pointent déjà. Sous la jupe fendue, en l'absence d'une culotte ou d'un string, il y a un porte-jarretelles de dentelle rouge, des bas coutures gris qu'elle n'a pas trop tendus. Léa aime que ses bas fassent des plis aux genoux et aux chevilles. Elle adore les regards des hommes sur ses bas de véritable pute bourgeoise. D'ailleurs, à sa cheville droite, on peut aussi remarquer l'éclat d'une épaisse chaîne de cheville. Enfin, ses pieds sont parés de très élégants escarpins Ernest. Ses talons aiguilles de quatorze centimètres ne vont pas tarder à claquer sur le bitume. Pour terminer, ses longs ongles sont vernis d'un rouge profond, ses yeux sont maquillés d'un noir charbonneux et ses lèvres sont peintes d'un rouge particulièrement intense qui ne laisse pas de doute sur ses intentions.
D'un pas affirmé, Léa quitte son appartement du quinzième arrondissement pour rejoindre l'arrondissement voisin. Le siège de la Boîte se trouve à proximité de la Porte d'Auteuil. En une dizaine de minutes, la ligne 10 du métro l'emmènera à destination. Ses talons aiguilles claquent sur le trottoir. Une musique régulière qui fait se retourner les hommes et lui vaut quelques sifflements admiratifs. Elle peut aussi deviner les regards sur sa croupe moulée de très près par la jupe de cuir.
Plus elle avance vers l'entrée de la station Charles Michels, plus elle sent que ses bas plissent. Elle ne cherche pas à les retenir. Léa n'ignore pas que cela va attirer encore plus les regards sur elle. À cette seule pensée, sa chatte bien lisse commence à s'inonder. Son jus de pute ne va pas tarder à couler jusqu'à la lisière de ses bas. Elle aimerait remonter sa jupe et se caresser. Ce n'est ni le lieu, ni le moment mais l'envie est forte. Inutile de serrer les cuisses pour espérer progresser, sa cyprine sera plus forte. Elle gagne la station, s'engouffre dans l'escalier et va attendre la prochaine rame sur le quai.
Léa reste debout afin qu’on puisse bien voir ses jambes. Le quai n’est pas trop bondé mais elle sent déjà des regards appuyés sur sa chaîne de cheville. Elle surprend même des commentaires sur ses bas, sur ses escarpins, sur ce que sa jupe laisse suggérer. Elle y devine les mots pute, salope. À ses yeux, ce sont des compliments. Des éloges qui la font mouiller encore plus. La cyprine coule le long de ses cuisses musclées. Elle n’ignore pas que son jus de putain rejoint progressivement le haut de ses bas. Bien calée sur ses talons aiguilles, Léa se retient, se mord les lèvres. Son désir de se toucher, de se caresser, de s’enfoncer la main profondément dans la chatte se fait encore plus fort. Elle aimerait se branler, prendre un de ses godes, notamment celui aux épaisses veinures, et ramoner son minou violemment, comme elle l’a encore fait ce matin.
La rame arrive. Presque par miracle, Léa trouve une place sur un carré. Face à elle, un vieux qui ne manque pas de laisser ses yeux traîner sur ses jambes et sur ses cuisses. Sans attendre, elle décide de jouer un peu avec lui. D'un geste faussement négligeant, elle réussit à faire remonter un peu sa jupe de cuir. Le vieux écarquille les yeux. Avec une exquise lenteur, elle parvient à croiser les jambes. Délicat crissement du nylon. À la station Javel, elle recroise les jambes. Un peu plus haut cette fois-ci. En face de Léa, le bonhomme a chaud. Il s'éponge le front avec un mouchoir et desserre sa cravate. Le métro passe dessous la Seine avant de rejoindre la station Mirabeau.
De plus en plus excitée, sans lâcher le vieux du regard, Léa passe un doigt sur ses lèvres pleines avant de se l'enfoncer lentement dans la bouche, comme si elle suçait tranquillement une bonne bite. Pour elle, le plus dur, c'est de se retenir de gémir. À la station Michel-Ange-Auteuil, elle constate que le bonhomme est à point. Une belle bosse déforme son pantalon. S'il n'y avait pas tout ce monde, elle se serait mise à genoux et aurait entrepris de la gober à pleine bouche.
Léa suit son regard mais aussi ses mains. Les doigts du vieux sont à quelques millimètres de ses bas. Il hésite à toucher, à caresser la maille ultra-fine. Elle se penche vers lui et dit :
- N'hésitez surtout pas. Faites-vous plaisir.
Le bonhomme acquiesce en silence. Sa main s'avance vers le nylon, commence à jouer avec les plis déjà bien formés au niveau du genou. Léa réprime un gémissement. Elle se sent chienne, perverse mais elle adore ça. Elle ne peut rien contre ses envies de salope avilissante. Léa écarte même les cuisses, autant que le lui permet le cuir de sa jupe, afin de faciliter la progression du vieux. Celui-ci s'enhardit et, même les autres voyageurs le voient, il prend un plaisir fou à caresser les bas de la putain. Sous son maquillage épais, Léa ferme les yeux. Le contact charnel de la main du vieux suffit à la faire chavirer. Sa cyprine se fait nettement plus conséquente et, pour un peu, elle se sentirait capable d’écarter encore un peu plus les cuisses afin de lui montrer les dégâts sur sa chatte humide. Le bonhomme, yeux exorbités et la bave aux lèvres, continue de jouer avec le fin nylon alors que la station Porte d’Auteuil. Léa ne veut pas interrompre ce moment mais elle n’a pas le choix. Elle remercie le vieux et se met debout. Ses bas font encore plus de plis. A ce rythme, on va presque apercevoir l’ourlet. Sans jeter un dernier regard au bonhomme qui ne doit pas s’être remis de sa contemplation érotique, Léa quitte la rame.
L'immeuble où se trouve le siège de la Boîte se situe à la sortie de la station de métro. La jeune putain n'a plus que quelques mètres à parcourir.
À l'entrée, les deux agents d'accueil ne se montrent guère soupçonneux par rapport à sa tenue. Des salopes, des putains, des chiennes, des catins, des garces, l'entreprise ne recrute que ce genre de femmes. Ils sont aux claquement des talons aiguilles sur les dalles de marbre du hall, à la vue furtive des bas couture.
Léa gagne l'ascenseur. Dans la cabine, il y a un homme, dénommé Bruno, qui ne se prive pas de la détailler, même s'il est habitué aux va-et-vient des putes bourgeoises qui bossent ici.
- Vous montez ?
- Au deuxième étage, merci.
Le jeune homme s'empresse d'appuyer sur le bouton correspondant puis, à nouveau, observe Léa avec insistance.
- C'est bon signe, fait-il.
- De quoi ?
- Vos bas font déjà pas mal de plis. C'est entre autres à ça qu'on reconnaît les vraies salopes. Ça va leur plaire.
Léa sourit. Elle aime être complimentée. Elle regarde l'entrejambe de son interlocuteur. Visiblement, celui-ci est bien monté.
- Je vois que ça vous plaît aussi. Je peux ?
Bruno n'a pas le temps d'acquiescer. Léa, qui ne pense plus à son entretien, plaque sa main sur le jean, évalue la marchandise et entreprend de masser la bite qui ne demande que ça. De l'autre main, elle appuie sur le bouton pour bloquer la course de l'ascenseur.
Puis, après avoir relevé sa jupe, elle se met à genoux et entreprend de mettre la queue à l'air libre. Sans attendre, elle lèche le gland avec avidité. Elle s'attarde sur la moindre zone, descend le long de la hampe avant d'enfourner le chibre tendu. Léa progresse centimètre par centimètre, jusqu'à arriver aux couilles bien gonflées. Elle ferme les yeux, savoure ce moment. La bite pleine vient de forcer l'accès de sa gorge. Elle garde ainsi la queue épaisse plusieurs secondes avant de la recracher avec un gros filet de salive qui atterrit sur le sol de la cabine.
- Bien. Très bien... Continue comme ça...
Léa ne compte pas s'arrêter là. Elle poursuit son œuvre avec envie, avec plaisir. Elle intensifie le rythme, bavant de plus en plus. L'homme qu'elle pompe tente de se retenir aux parois de la cabine afin de ne pas défaillir. Léa, en chienne avisée, suce avec gourmandise, accélère la cadence, marque quelques pauses pour reprendre sa respiration. Elle sent que l'homme est au bord de l'explosion.
- Remplis ma bouche.
Bruno ne se fait pas prier et lâche sa semence. Une dose chaude, épaisse. De longs jets de foutre qui viennent tapisser sa bouche et sa gorge. Léa se relève, essuie un peu sa bouche, profite de l'occasion pour remettre une couche de rouge sur ses lèvres pleines puis se tourne vers l'homme qui vient débloquer la cabine.
- Si je suis engagée, on sera amenés à se revoir, glisse-t-elle avec un grand sourire.
Parvenue à l'étage, sans avoir cherché à remonter ses bas, elle quitte l'ascenseur pleinement satisfaite et se dirige vers le bureau des Ressources humaines. La porte en est ouverte. Sofia l'attend. La nouvelle DRH, qui a obtenu son poste à l'efficacité de sa bouche, de sa gorge et à la sueur de sa croupe, n'est pas seule. Dans la pièce, il y a aussi Fanny, Laurie et Mary. Deux hommes se tiennent en retrait : David et Guillaume. Dans un espace dédié aux entretiens, les quatre femmes font face à Léa. Des cafés et des petits gâteaux ont été servis.
- Bonjour Léa. Soyez la bienvenue.
- Bonjour, merci de votre accueil.
- Approchez, que je vous fasse les présentations.
Léa s'exécute. Ses talons vertigineux claquent sur le parquet.
- Voici Laurie, elle s'occupe des importations.
La postulante prend le temps de l'observer. Laurie porte ces fameuses mules rouges. Elle ne s'en sépare presque jamais et elle a remarqué combien les hommes en sont fous. Le regard de Léa remonte un peu plus haut. Sur l'épaisse chaîne de cheville, sur les bas couture noirs qui plissent aux genoux, sur la jupe rouge, sur le chemisier blanc qui dévoile un décolleté tentateur et sur un maquillage très
affirmé.
- Je vous présente Fanny, elle gère toute la partie litiges.
Fanny est une brune dont la tenue intégralement noire laisse apparaître des bas couture gris, une chaîne de cheville argentée, des escarpins vernis. Elle n'a pas croisé les jambes et sa chatte est offerte aux regards des deux hommes.
- Enfin, voici Mary. Notre responsable export.
Le regard de Léa se porte sur les Louboutin vernis, aux talons de treize centimètres, sur les jambes mises en valeur par les bas résille. Sous la jupe, un observateur averti trouvera un string de dentelle noire ainsi que les attaches d'une guêpière de dentelle rouge qui peine à retenir deux magnifiques obus. Mary joue à fond la carte de la prédatrice sexuelle, ce qu'elle est, avec un vernis bordeaux sur ses longs ongles, un rouge à lèvres immanquable ainsi que des paupières rehaussées de teintes sombres.
Pour terminer, Léa, déjà bien émoustillée par ces trois salopes, pose ses yeux sur Sofia. À quelques éléments près, c'est une copie confirme des trois autres. On y retrouve des escarpins vertigineux, des bas couture noirs, une jupe qui révèle une bonne part de cuisse, un maquillage de chienne.
À l'exception des deux hommes, il n'y a donc que des putains dans ce bureau. Léa se sent dans son milieu.
- Installez-vous.
Léa prend place sur une chaise sans accoudoir. Sans qu'on le lui dise, elle a compris quelle posture elle doit tenir. Garder les jambes écartées autant que possible. En face d'elle, les femmes peuvent deviner que sa chatte coule d'un jus délicat. Léa est pressée de questions. Comment elle compte gérer le poste qui lui est promis ? Comment équilibre-t-elle sa vie professionnelle et sa vie privée ? Quelles sont ses ambitions et ses envies ? Les questions sont de plus en plus centrées sur des aspects moins professionnels. Les deux hommes se sont rapprochés d'elle. Léa se sent troublée et une excitations grandissante gagne son esprit. Inconsciemment ou pas, elle écarte encore un peu plus les cuisses. Elle constate aussi que Mary a remonté sa jupe. Le haut de ses bas résille apparaît nettement. La main de la responsable export s'aventure déjà vers son string.
- J'ai envie de bites, Léa. Pas vous ?
La candidate n'ignore pas que tout cela fait partie de l'entretien. Au moment d'envoyer son CV, elle s'est renseigné sur la réputation de la Boîte. Les avis allaient tous dans le même sens. Une entreprise où les femmes les plus salopes, les plus avides de bites, les plus chiennes étaient forcément engagées.
Guillaume s'avance vers Mary. À cause de tous ses voyages à l'étranger, elle n'a pas encore eu l'occasion de goûter à sa queue. Elle sait qu'elle va y mettre du cœur à l'ouvrage. Qu'elle soit à Los Angeles, Berlin ou Tokyo, Mary trouve toujours des mecs capables de la satisfaire. Elle espère que Guillaume saura la faire baver.
D'une gestuelle experte, elle commence par le branler. Le chibre qu'elle tient dans la main grossit à vue d'oeil. En même temps, elle observe, comme les autres filles, ce que fait Léa. La candidate s'est attaquée à la bite de David et, de la langue, ne manque pas d'en flatter le gland. Cette vision suffit à la faire mouiller encore un peu plus. Son string est inondé.
La bite de Guillaume est désormais à point. Sous le regard inspiré de Sofia, Fanny et Laurie, Mary commence par lui lécher les couilles. Elle les aspire, y laisse une bonne part de salive. Puis elle remonte le long de la hampe avec une lenteur calculée, avant de parvenir au méat. Guillaume pousse un soupir d'aise. La Boîte ne s'y est pas trompée en recrutant Mary.
Les regards sont aussi braqués du côté de Léa. La postulante, après s'être activée sur le gland, entreprend de gober la queue de David. Elle imprime un mouvement régulier, terriblement excitant, qui lui fait lâcher d'énormes paquets de salive. Sofia n'y tient plus et commence par doigter profondément son minou, bien aidée en cela par Fanny et Laurie. Les deux salopes brunes ont, elles aussi, remonté leurs jupes, dévoilant des croupes régulièrement sodomisées. Chacune leur tour, elles viennent coller leurs langues expertes sur la chatte baveuse de Sofia, laquelle pousse déjà de profonds gémissements.
- Bouffez-moi bien la chatte mes salopes !
Mary part enfin à l'abordage de la queue de Guillaume. Elle le gobe en entier, sa langue roule avec passion le long du membre tendu, et reste de longues secondes avec sa bite au cœur de sa gorge. C'est un exercice qu'elle adore et qu'elle pratique quotidiennement, soit au sous-sol, soit au hasard des rencontres. Quand elle retire le chibre de sa bouche, elle crache au passage une bonne masse de bave.
Léa n'est pas en reste. Elle aussi pompe avec avidité. Elle s'active furieusement sur la queue de David, éjectant violemment sa salive sur le parquet. Sa chatte coule aussi abondamment. Un jus épais et régulier qui commence à former une mare conséquente sur le bois. Sa pipe particulièrement intense est loin d'être discrète, tout comme celle de Mary. Les deux putains ne se privent pas d'émettre d'imposants bruits de succion.
Ça suce, ça pompe, ça gobe. Toutes s'y mettent et alternent d'une queue à l'autre. Léa, Mary, Fanny, Laurie et Sofia se partagent les deux bites et rivalisent de salive. Et Bruno, le gars de l'ascenseur qui s'occupe aussi des stocks, n'est pas en reste quand il pénètre dans le bureau. Sa queue est déjà prête à l'emploi. Alors que Mary continue de s'activer sur Guillaume, que Léa pompe David avec bonheur, les trois putains restantes se jettent sur le nouvel arrivant. C'est un nouveau concours de salive qui commence. La bave épaisse continue de se répandre sur le parquet et se mêle, en plusieurs endroits, à leurs jus de pute.
De son côté, Guillaume est aux anges. Mary ne lâche pas sa bite, elle laisse une quantité conséquente de salive sur ses gros seins. L'homme n'hésite pas à la retourner sur le bureau pour qu'elle ait la tête dans le vide. La bave épaisse ravage son maquillage expert. David, avec Léa, a décidé d'appliquer le même régime. Les deux putains sont côte à côte sur le bureau, le make up complètement détruit, la gorge totalement prise. Les hommes leur laissent peu de répit, quelques secondes seulement avant d'enfourner leurs bites au fond des bouches brûlantes. Tempo intense. La salive toujours plus épaisse coule sur leurs visages. Leurs chattes sont en feu et dégoulinent d'un jus très abondant.
- On va essayer autre chose, maintenant, chienne à bites.
Guillaume conserve la direction des opérations. Il contourne le bureau et vient se placer entre les cuisses de Léa. Ses bas continuent de plisser de façon presque obscène. David fait de même avec Mary. Quelques coups de langues bien placés suffisent à raviver l'incendie. Pendant qu'il s'exécute sur la postulante, il ne manque quelques doigts dans sa rondelle déjà bien dilatée.
- Pas de doutes ! Tu aimes ça, toi !
Sans plus attendre, il introduit sa queue dans l'anus bouillonnant, arrachant des cris de plaisir à la jeune femme. Très rapidement, David constate que Mary est à point. Son cul est totalement ouvert et prêt à être pilonné.
De leur côté, Fanny, Laurie et Sofia se sont positionnées à quatre pattes, à même le parquet. Croupes tendues, reins creusés, bas plissés. Elles sont offertes aux regards mais aussi à la lubricité des mâles présents. Bruno a l'embarras du choix.
Il commence par pilonner Fanny. Sa queue ferme s'enfonce bien au fond de son cul joliment dilaté. Très vite, cette putain commence à gémir.
- Défonce-moi ! Encore plus fort !
Bruno, excité par la vision de ce cul mais aussi par Laurie et Sofia se bouffant mutuellement la chatte, s'active et se cale sur un tempo intense. Dans le bureau des Ressources Humaines, c'est un concert de cris de plaisir, de gémissements. Sodomies rythmées, du jus de pute qui s'écoule en cadence.
Les cinq putains réunis se font défoncer à tour de rôle par les trois hommes. Dans un joyeux et savant pêle-mêle, leurs gorges et leurs trous sont savamment ramonés. Les bas couture plissent à fond. À même le sol, c'est un déluge de cyprine. Ce sont surtout Léa et Mary, les deux nouvelles participantes de ces orgies quasi quotidiennes, qui reçoivent les plus vibrants hommages.
Des sodomies intenses où les cinq culs offerts ne sont pas ménagés. À tour de rôle, Fanny, Sofia, Léa, Mary et Fanny sont sodomisées par les trois hommes. Leurs culs écartelés, leurs chattes dégoulinantes d'un jus abondant. Des gémissements à faire trembler les murs de la bâtisse. Et quand ce ne sont pas leurs anus, ce sont leurs gorges qui sont ravagées. Ces putains éprouvent le besoin d'être traitées de cette façon. Elle sont prêtes à recevoir leurs doses de foutre.
De concert, elles s'alignent et s'agenouillent sur le parquet. Langues sorties, prêtes à boire le jus d'homme, prêtes à avoir leur visage inondé. Guillaume est le premier à décharger et ne manque d'asperger les cinq chiennes. Puis c'est au tour de Bruno de procéder avant de céder sa place à David. C'est un déluge de sperme. Il y a tellement de semence qu'elles ne parviennent pas à tout avaler. Le foutre dégouline sur leurs seins, sur leurs bas plissés. Ces salopes ne sont pas rassasiées. Jamais. Il faudra remettre ça dans la journée.
发布者 devintaylor
3 年 前
评论
11
账户以发表评论
devintaylor
devintaylor 出版商 1 年 前
Hand98 : Merci !!
回答 原始评论
devintaylor
devintaylor 出版商 2 年 前
Hand98 : Merci !
回答 原始评论
Hand98
Excellent récit merci
回答
devintaylor
devintaylor 出版商 2 年 前
encage57 : Merci !!
回答 原始评论
encage57
encage57 2 年 前
Magnifique recit
回答
devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
nudemum : Merci !
回答 原始评论
nudemum 3 年 前
je bande en lisant çà
回答
devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
T'aimerais ça, hein...
回答
ccandau
ccandau 3 年 前
devintaylor : merci à toi de nous faire plaisir
回答 原始评论
devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
ccandau : Merci Christian !
回答 原始评论
ccandau
ccandau 3 年 前
super ton histoire c'est exact ces bourgeoises sont des chiennes intenables
回答
Cookie能够帮助我们更好地提供服务。使用本网站即表示您同意我们使用Cookie。 了解详情