14 - Le futur mari de ma meilleure amie
Mots-clefs : Blacks, amis, forêt.
Mercredi dernier, ma meilleure amie Valérie m’invite à déjeuner le dimanche midi car elle a une grande nouvelle à m’annoncer. Le dimanche arrive, il fait beau mais pas très chaud, je décide donc de mettre une jupe longue et un gros pull à col roulé. J’enfile mon manteau et mes bottes, j’embrasse mon mari et me voilà partie chez Valérie. Elle habite une jolie maison en bordure d’un bois, je me gare devant chez elle et je vais sonner. Elle vient m’ouvrir et m’enlace avec un grand sourire, elle me fait rentrer et arrivée au salon elle tend le bras et me dit :
- «Je te présente Adam, mon futur mari.»
J’aperçois un grand black d’un mètre quatre-vingt-dix, plutôt svelte. Il se dirige vers moi et me tend la main. Valérie lui dit qu’il peut me faire la bise, il se penche et m’embrasse sur les deux joues. Je suis médusée, du haut de mon mètre cinquante, j’ai l’impression de voir un géant. Valérie me prend mon manteau et nous nous dirigeons vers le canapé. En servant l’apéritif, elle m’explique qu’elle revient d’un séjour au Sénégal, et c’est là qu’elle a rencontré Adam, qu'elle est tombée folle amoureuse de lui et qu’elle l’a ramené pour l’épouser ! Je lui demande son âge et elle me dit qu’il a 25 ans. Je lui demande alors si la grande différence d'âge était un problème (Valérie a 42 ans ), elle me répond que non.
Nous passons ensuite à table et nous discutons avec Valérie de son séjour, mais je n’entends pas le son de la voix d’Adam. Quand je lui demande pourquoi, elle m’explique qu’il n’a pas encore pris ses repères. Nous finissons le repas mais je suis fascinée par ce beau black et j’essaye de ne pas y penser. Après le repas, Valérie m’entraîne dans la cuisine et me demande d’aller me promener avec Adam, le temps qu’elle fasse la vaisselle. Nous retournons au salon et Valérie fait la même proposition à Adam. Il accepte et nous partons pour notre promenade.
Ne sachant où aller, nous prenons la direction du bois. Je suis gênée pour discuter avec lui, je suis obligée de lever la tête et cela m’impressionne. Je lui demande d’où il vient et s’il se plaît ici. Il me répond qu’il vient d’un petit village et qu’il est très effrayé par ce nouvel endroit. Nous nous enfonçons dans les bois, et bientôt je ne vois plus de sentier. Nous continuons à discuter et à un moment je le vois s’éloigner de quelques mètres. Arrivé devant un arbre, il ouvre son pantalon et sort son sexe pour uriner. Il fait cela comme si je n’étais pas là. De mon côté, je le vois de profil et je vois cette bite au repos qui mesure 15 bons centimètres, et bien épaisse. Je suis sidérée. Une fois fini, il se tourne vers moi tout en se rhabillant et là, il voit mon regard qui ne quitte pas son pénis. Il arrête de se rhabiller et se dirige vers moi, et me dit avec son accent :
- «Tu aimes les bites noires ?»
Je balbutie quelques mots :
- «Mais tu es avec Valérie.»
Et au même moment il me fait mettre à genoux et me met son sexe devant ma bouche. Je ne peux résister plus longtemps, je gobe son sexe et me mets à le sucer. Son sexe prend vite du volume et rapidement je ne peux plus le prendre tout entier dans ma bouche. Mais je sens deux mains me maintenir la tête sur son sexe, j’ai un haut-le-cœur, je crois que je vais vomir, la pression se relâche et je peux de nouveau respirer. Il me relève et je constate que son pantalon est sur ses chevilles. Il me retire mon pull, m’arrache mon soutien-gorge, et attr.ape mes deux seins pour les pétrir. Je suis tétanisée par cette brutalité, je croise son regard fou et je l’entends me dire :
- «J’adore baiser les petites blanches.»
Je sens sa bouche sur mes mamelons, il les aspire et les mordille, cela me rend folle, je sens ma culotte trempée entre mes cuisses. Puis il me retourne, soulève ma jupe sur mes fesses, m’arrache aussi la culotte et sans ménagement, il m’enfile son pieu dans la chatte. Je suis comme soulevée de l’intérieur, je suis sur la pointe des pieds, penchée en avant et je me tiens au tronc devant moi. Il me laboure littéralement la chatte, je n’en peux plus, je gémis et je me laisse aller à une grande jouissance. Mon orgasme est puissant, et Adam continue à me défoncer de plus belle. Je le supplie d’arrêter pour changer de position.
Il me retire ma jupe, s’allonge dans les feuilles et me demande de m’empaler sur son sexe. Je constate alors qu’il doit au moins faire 25 cm. Je me positionne au-dessus et je sens ses deux mains sur mes hanches qui m’obligent à descendre sur son pieu. Je me sens écartelée, quand mes fesses arrivent en contact avec ses couilles. Accroupie sur sa queue, je commence un va-et-vient tout en me tenant à ses cuisses. Je n’en peux plus, je suis en transe, mon plaisir est immense, Adam martèle la cadence en me donnant des claques sur les fesses. Il me fait mal, mais le plaisir prend le dessus, j’ai un nouvel orgasme encore plus puissant que le premier. Je crie, je n’en peux plus, je tombe en arrière sur Adam, je suis au bord de l’évanouissement. Adam, déçu de l’arrêt brutal, me repousse sur le côté. Je me retrouve accroupie, nue, en bottes, avec les fesses en l’air et la tête dans les feuilles. Je suis épuisée, je n’en peux plus, j’essaye de reprendre mon souffle. Adam se relève, me regarde et me dit :
- «Petite blanche, ce n’est pas fini et j’adore ton cul.»
Il s’agenouille derrière moi et me pénètre le sexe encore une fois. A chaque va-et-vient, je sens ses couilles claquer sur mes fesses. Je suis comme une poupée de chiffon, je suis épuisée, ma tête et mes seins frottent par terre à chaque fois qu’il me pénètre. Au bout de dix minutes, voyant que je n’ai plus de réactions, il se retire. J’ai du mal à me mettre sur mes genoux. Il se lève et me regarde en me disant :
- «Tes gros seins vont me servir à me vider.»
Il s’approche de moi et me soulève. Une fois que mes seins sont à la hauteur de son sexe, je l’enferme à l’intérieur et je commence à le masturber avec ma poitrine. Cela doit lui plaire puisque 5 minutes plus tard, je sens du sperme couler sur ma poitrine. Sa semence est épaisse, mes seins sont couverts de sperme.
Adam se rhabille puis il me tend mon pull et ma jupe. Vu l'état de ma culotte et de mon soutien-gorge, je ne peux espérer les remettre. Je me rhabille à mon tour, je n’ai pas de quoi m’essuyer, ce qui fait que mon pull me colle avec le sperme et je remets ma jupe sans culotte. Nous repartons chez Valérie. Arrivés chez elle, elle s’empresse de me demander ce que j’en pense (si elle savait !). Je lui dis que c’est un garçon charmant et qu’elle a de la chance. Puis je prétexte une fatigue pour me retirer, je vais pour quitter la maison. Valérie m’embrasse et Adam aussi en me pinçant les fesses. Il me dit : «A très bientôt.»
Je suis fatiguée mais heureuse, je n’ai même pas honte de coucher avec le mec de mon amie. Je suis accro au black, vivement une nouvelle visite.
Auteur : une certaine "Cécile42".
Mercredi dernier, ma meilleure amie Valérie m’invite à déjeuner le dimanche midi car elle a une grande nouvelle à m’annoncer. Le dimanche arrive, il fait beau mais pas très chaud, je décide donc de mettre une jupe longue et un gros pull à col roulé. J’enfile mon manteau et mes bottes, j’embrasse mon mari et me voilà partie chez Valérie. Elle habite une jolie maison en bordure d’un bois, je me gare devant chez elle et je vais sonner. Elle vient m’ouvrir et m’enlace avec un grand sourire, elle me fait rentrer et arrivée au salon elle tend le bras et me dit :
- «Je te présente Adam, mon futur mari.»
J’aperçois un grand black d’un mètre quatre-vingt-dix, plutôt svelte. Il se dirige vers moi et me tend la main. Valérie lui dit qu’il peut me faire la bise, il se penche et m’embrasse sur les deux joues. Je suis médusée, du haut de mon mètre cinquante, j’ai l’impression de voir un géant. Valérie me prend mon manteau et nous nous dirigeons vers le canapé. En servant l’apéritif, elle m’explique qu’elle revient d’un séjour au Sénégal, et c’est là qu’elle a rencontré Adam, qu'elle est tombée folle amoureuse de lui et qu’elle l’a ramené pour l’épouser ! Je lui demande son âge et elle me dit qu’il a 25 ans. Je lui demande alors si la grande différence d'âge était un problème (Valérie a 42 ans ), elle me répond que non.
Nous passons ensuite à table et nous discutons avec Valérie de son séjour, mais je n’entends pas le son de la voix d’Adam. Quand je lui demande pourquoi, elle m’explique qu’il n’a pas encore pris ses repères. Nous finissons le repas mais je suis fascinée par ce beau black et j’essaye de ne pas y penser. Après le repas, Valérie m’entraîne dans la cuisine et me demande d’aller me promener avec Adam, le temps qu’elle fasse la vaisselle. Nous retournons au salon et Valérie fait la même proposition à Adam. Il accepte et nous partons pour notre promenade.
Ne sachant où aller, nous prenons la direction du bois. Je suis gênée pour discuter avec lui, je suis obligée de lever la tête et cela m’impressionne. Je lui demande d’où il vient et s’il se plaît ici. Il me répond qu’il vient d’un petit village et qu’il est très effrayé par ce nouvel endroit. Nous nous enfonçons dans les bois, et bientôt je ne vois plus de sentier. Nous continuons à discuter et à un moment je le vois s’éloigner de quelques mètres. Arrivé devant un arbre, il ouvre son pantalon et sort son sexe pour uriner. Il fait cela comme si je n’étais pas là. De mon côté, je le vois de profil et je vois cette bite au repos qui mesure 15 bons centimètres, et bien épaisse. Je suis sidérée. Une fois fini, il se tourne vers moi tout en se rhabillant et là, il voit mon regard qui ne quitte pas son pénis. Il arrête de se rhabiller et se dirige vers moi, et me dit avec son accent :
- «Tu aimes les bites noires ?»
Je balbutie quelques mots :
- «Mais tu es avec Valérie.»
Et au même moment il me fait mettre à genoux et me met son sexe devant ma bouche. Je ne peux résister plus longtemps, je gobe son sexe et me mets à le sucer. Son sexe prend vite du volume et rapidement je ne peux plus le prendre tout entier dans ma bouche. Mais je sens deux mains me maintenir la tête sur son sexe, j’ai un haut-le-cœur, je crois que je vais vomir, la pression se relâche et je peux de nouveau respirer. Il me relève et je constate que son pantalon est sur ses chevilles. Il me retire mon pull, m’arrache mon soutien-gorge, et attr.ape mes deux seins pour les pétrir. Je suis tétanisée par cette brutalité, je croise son regard fou et je l’entends me dire :
- «J’adore baiser les petites blanches.»
Je sens sa bouche sur mes mamelons, il les aspire et les mordille, cela me rend folle, je sens ma culotte trempée entre mes cuisses. Puis il me retourne, soulève ma jupe sur mes fesses, m’arrache aussi la culotte et sans ménagement, il m’enfile son pieu dans la chatte. Je suis comme soulevée de l’intérieur, je suis sur la pointe des pieds, penchée en avant et je me tiens au tronc devant moi. Il me laboure littéralement la chatte, je n’en peux plus, je gémis et je me laisse aller à une grande jouissance. Mon orgasme est puissant, et Adam continue à me défoncer de plus belle. Je le supplie d’arrêter pour changer de position.
Il me retire ma jupe, s’allonge dans les feuilles et me demande de m’empaler sur son sexe. Je constate alors qu’il doit au moins faire 25 cm. Je me positionne au-dessus et je sens ses deux mains sur mes hanches qui m’obligent à descendre sur son pieu. Je me sens écartelée, quand mes fesses arrivent en contact avec ses couilles. Accroupie sur sa queue, je commence un va-et-vient tout en me tenant à ses cuisses. Je n’en peux plus, je suis en transe, mon plaisir est immense, Adam martèle la cadence en me donnant des claques sur les fesses. Il me fait mal, mais le plaisir prend le dessus, j’ai un nouvel orgasme encore plus puissant que le premier. Je crie, je n’en peux plus, je tombe en arrière sur Adam, je suis au bord de l’évanouissement. Adam, déçu de l’arrêt brutal, me repousse sur le côté. Je me retrouve accroupie, nue, en bottes, avec les fesses en l’air et la tête dans les feuilles. Je suis épuisée, je n’en peux plus, j’essaye de reprendre mon souffle. Adam se relève, me regarde et me dit :
- «Petite blanche, ce n’est pas fini et j’adore ton cul.»
Il s’agenouille derrière moi et me pénètre le sexe encore une fois. A chaque va-et-vient, je sens ses couilles claquer sur mes fesses. Je suis comme une poupée de chiffon, je suis épuisée, ma tête et mes seins frottent par terre à chaque fois qu’il me pénètre. Au bout de dix minutes, voyant que je n’ai plus de réactions, il se retire. J’ai du mal à me mettre sur mes genoux. Il se lève et me regarde en me disant :
- «Tes gros seins vont me servir à me vider.»
Il s’approche de moi et me soulève. Une fois que mes seins sont à la hauteur de son sexe, je l’enferme à l’intérieur et je commence à le masturber avec ma poitrine. Cela doit lui plaire puisque 5 minutes plus tard, je sens du sperme couler sur ma poitrine. Sa semence est épaisse, mes seins sont couverts de sperme.
Adam se rhabille puis il me tend mon pull et ma jupe. Vu l'état de ma culotte et de mon soutien-gorge, je ne peux espérer les remettre. Je me rhabille à mon tour, je n’ai pas de quoi m’essuyer, ce qui fait que mon pull me colle avec le sperme et je remets ma jupe sans culotte. Nous repartons chez Valérie. Arrivés chez elle, elle s’empresse de me demander ce que j’en pense (si elle savait !). Je lui dis que c’est un garçon charmant et qu’elle a de la chance. Puis je prétexte une fatigue pour me retirer, je vais pour quitter la maison. Valérie m’embrasse et Adam aussi en me pinçant les fesses. Il me dit : «A très bientôt.»
Je suis fatiguée mais heureuse, je n’ai même pas honte de coucher avec le mec de mon amie. Je suis accro au black, vivement une nouvelle visite.
Auteur : une certaine "Cécile42".
3 年 前