Daphné
Daphné marchait sur le chemin menant vers la clairière. Elle pestait en son for intérieur. Sans doute encore un de ces fantasmeurs qui ne viendrait même pas au rendez vous qu’il avait fixé…ou qui dans le meilleur des cas lui giclerai dans la bouche au bout de trente secondes de fellation…son mari était déjà à la clairière, planqué un peu en retrait prêt à intervenir si elle tombait sur un taré…son téléphone vibra. Un SMS, mauvais signe il devait s’être dégonflé…elle le lut …
- Tourne à droite après le chêne creux, marche sur environ 50 mètres, contourne les arbres tombés pendant la tempête et attends au niveau de la table de pique-nique. Ne préviens pas ton mari, qu’on ait le temps de faire connaissance…
Elle transféra le sms à son mari et obliqua en voyant le chêne creux.
Elle arriva rapidement à la table de pique-nique. Le lieu était désert et invisible depuis le chemin…de toute façon peu de gens passaient par là…
Elle vit qu’un sac était posé sur la table. Un nouveau SMS…
- Tu m’as désobéi, tant pis…mets le bandeau sur tes yeux tes mains sur la table le dos plié et les jambes écartées…
Il la surveillait donc…un frisson d’excitation lui parcourut le dos …enfin son rêve allait aboutir…elle obtempéra donc…les bruits du bois lui semblaient plus intenses d’un coup…une voix masculine la fit sursauter…
- Ne t’avais-je pas demandé de ne pas venir accompagnée ?
- Si, mais
- On dit oui Monsieur !
- Euh, oui…Monsieur…
- De plus j’avais dit sans sous-vêtements et je vois que tu as mis une culotte sous ta jupe…
- Oui…Monsieur…
- Donne moi le code de ton téléphone…je veux qu’on soit tranquille sans ton cocu…
- 8943 Monsieur…
A présent elle prenait pleinement conscience que l’homme près d’elle n’était le genre de pseudo-maitre qu’elle avait rencontré jusque-là…elle sentit une bouffée de chaleur envahir son ventre.
Elle l’entendit tapoter sur le téléphone…
- Voilà, nous serons tranquilles, c’est ce que tu voulais, non ?
- Oh oui Monsieur…
Une main ferme souleva sa jupe…elle tressaillit. Le contact froid d’une paire de ciseaux sur sa peau…merde, une culotte à 30euros achetée l’avant-veille !
Elle sentit son odeur juste avant que l’homme ne lui fourre sa propre culotte dans la bouche…
- J’aurai pu faire pire mais je suis sympa pour notre première rencontre…ne t’avise pas de recommencer…hoche la tête pour dire que tu es d’accord…
Elle hocha la tête…une main ferme mais douce parcouru sa cuisse, la caressant délicatement…une autre main s’empara de son sein gauche…les doigts se refermèrent sur le téton érigé par l’excitation…il se mit à pincer fort…elle n’avais jamais subi cela, mais elle ne se débattit pas malgré la douleur…une larme cependant perlait au coin de ses yeux
- Tu es forte, c’est bien…
Elle aurait voulu crier quand la pince métallique se referma sur son têton , mais sa propre culotte l’en empêchait…le deuxième sein fut tout autant traité…les larmes coulaient à présent sur son visage…elle aurait pu s’enfuir, ôter rapidement le bandeau qui lui couvrait les yeux et se mettre à courir, mais quelque chose la retenait , cette soif qui la taraudait depuis des années…une main se glissa plus haut entre ses jambes, écartant ses lèvres intimes et frôlant son clitoris gorgé de désir…car oui, à présent elle voulait du sexe, du sexe brutal, violent comme elle n’en avait jamais vécu…
- Tu m’as désobéi, il est donc juste que je te châtie… tu es d’accord ?
Elle opina de la tête…
- Trois coups de cravache, ça te semble correct ? resserre les cuisses que j’enlève a jupe
Elle n’avait jamais reçu de coups de cravache mais de nouveau elle opina du chef, se disant que demain elle aurait des marques sur les fesses mais que de toute façon, personne ne les verrai…
il fit glisser sa jupe au sol…
- Ecartes bien les cuisses…
La cravache l’atteignit de plein fouet sur le clitoris…elle hurla dans son bâillon en s’effondrant sur le sol, le corps secoué de tremblements. Un bras vigoureux la releva…
- Prête pour le 2ème ?
Elle aurait voulu crier non, mais comme à son corps défendant elle hocha de la tête…
Le coup l’atteignit avec la même précision, mais si son corps fût secoué de spasmes, elle réussit à ne pas tomber au sol…dans sa tête elle se criai victoire…
- Bien, je suis fier de toi…le 3ème ?
Il lui sembla hocher la tête plus fort…mais cette fois son corps la trahit et elle se retrouva au sol…
Il la remit debout…
- C’est bien Daphné…tu as mérité le droit de me sucer…
Il lui ôta le bâillon…bien qu’aveuglé par le bandeau, elle devinait un beau membre, fièrement dressé pour elle…ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu autant envie de sucer une belle bite…
- Tourne à droite après le chêne creux, marche sur environ 50 mètres, contourne les arbres tombés pendant la tempête et attends au niveau de la table de pique-nique. Ne préviens pas ton mari, qu’on ait le temps de faire connaissance…
Elle transféra le sms à son mari et obliqua en voyant le chêne creux.
Elle arriva rapidement à la table de pique-nique. Le lieu était désert et invisible depuis le chemin…de toute façon peu de gens passaient par là…
Elle vit qu’un sac était posé sur la table. Un nouveau SMS…
- Tu m’as désobéi, tant pis…mets le bandeau sur tes yeux tes mains sur la table le dos plié et les jambes écartées…
Il la surveillait donc…un frisson d’excitation lui parcourut le dos …enfin son rêve allait aboutir…elle obtempéra donc…les bruits du bois lui semblaient plus intenses d’un coup…une voix masculine la fit sursauter…
- Ne t’avais-je pas demandé de ne pas venir accompagnée ?
- Si, mais
- On dit oui Monsieur !
- Euh, oui…Monsieur…
- De plus j’avais dit sans sous-vêtements et je vois que tu as mis une culotte sous ta jupe…
- Oui…Monsieur…
- Donne moi le code de ton téléphone…je veux qu’on soit tranquille sans ton cocu…
- 8943 Monsieur…
A présent elle prenait pleinement conscience que l’homme près d’elle n’était le genre de pseudo-maitre qu’elle avait rencontré jusque-là…elle sentit une bouffée de chaleur envahir son ventre.
Elle l’entendit tapoter sur le téléphone…
- Voilà, nous serons tranquilles, c’est ce que tu voulais, non ?
- Oh oui Monsieur…
Une main ferme souleva sa jupe…elle tressaillit. Le contact froid d’une paire de ciseaux sur sa peau…merde, une culotte à 30euros achetée l’avant-veille !
Elle sentit son odeur juste avant que l’homme ne lui fourre sa propre culotte dans la bouche…
- J’aurai pu faire pire mais je suis sympa pour notre première rencontre…ne t’avise pas de recommencer…hoche la tête pour dire que tu es d’accord…
Elle hocha la tête…une main ferme mais douce parcouru sa cuisse, la caressant délicatement…une autre main s’empara de son sein gauche…les doigts se refermèrent sur le téton érigé par l’excitation…il se mit à pincer fort…elle n’avais jamais subi cela, mais elle ne se débattit pas malgré la douleur…une larme cependant perlait au coin de ses yeux
- Tu es forte, c’est bien…
Elle aurait voulu crier quand la pince métallique se referma sur son têton , mais sa propre culotte l’en empêchait…le deuxième sein fut tout autant traité…les larmes coulaient à présent sur son visage…elle aurait pu s’enfuir, ôter rapidement le bandeau qui lui couvrait les yeux et se mettre à courir, mais quelque chose la retenait , cette soif qui la taraudait depuis des années…une main se glissa plus haut entre ses jambes, écartant ses lèvres intimes et frôlant son clitoris gorgé de désir…car oui, à présent elle voulait du sexe, du sexe brutal, violent comme elle n’en avait jamais vécu…
- Tu m’as désobéi, il est donc juste que je te châtie… tu es d’accord ?
Elle opina de la tête…
- Trois coups de cravache, ça te semble correct ? resserre les cuisses que j’enlève a jupe
Elle n’avait jamais reçu de coups de cravache mais de nouveau elle opina du chef, se disant que demain elle aurait des marques sur les fesses mais que de toute façon, personne ne les verrai…
il fit glisser sa jupe au sol…
- Ecartes bien les cuisses…
La cravache l’atteignit de plein fouet sur le clitoris…elle hurla dans son bâillon en s’effondrant sur le sol, le corps secoué de tremblements. Un bras vigoureux la releva…
- Prête pour le 2ème ?
Elle aurait voulu crier non, mais comme à son corps défendant elle hocha de la tête…
Le coup l’atteignit avec la même précision, mais si son corps fût secoué de spasmes, elle réussit à ne pas tomber au sol…dans sa tête elle se criai victoire…
- Bien, je suis fier de toi…le 3ème ?
Il lui sembla hocher la tête plus fort…mais cette fois son corps la trahit et elle se retrouva au sol…
Il la remit debout…
- C’est bien Daphné…tu as mérité le droit de me sucer…
Il lui ôta le bâillon…bien qu’aveuglé par le bandeau, elle devinait un beau membre, fièrement dressé pour elle…ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu autant envie de sucer une belle bite…
3 年 前