Une vie en passant vite

Au départ ça commençait bien, on se plaisait mutuellement et nos échanges par sms ou en réel égaillaient les fades journées de travail. De sourires complices en petites taquineries le sujets de la sexualité a fait son entrée. Et de la théorie à la pratique, on s'est enlacés.
Mais un jour cet érotique épisode de ma vie a prit un tournant inattendu.

Lorsqu'à force d'insistance, j'ai cédé à son désir de me voir porter de la lingerie féminine, du maquillage et même une perruque. Ainsi qu'une paire de menottes... Le flash de son appareil photo a surprit ma rétine et scellé mon destin.
Face à mes protestations, une paire de claque et un bâillon m'ont enseigné le silence.

Le lendemain ma journée de travail m'a semblé bien moins fade, ponctuée par des sueurs froides à l'idée qu'on ne devine la culotte, la ceinture de chasteté et le plug que je portais. Même après les deux mois où elle m'imposa un tel régime je ne pouvais m'empêcher de trembler intérieurement à l'idée d'être découvert.
Elle s'amusait de cette situation et m'envoyait des sms toute la journée auxquels j'avais l'obligation de répondre dans les 5 minutes. Une fois par semaine elle me convoquait chez elle, me donnait de nouveau sous vêtements et vérifié la cage avant de me mettre un plus à chaque fois légèrement plus gros. Chaque fois elle me rappelait qu'il ne tenait qu'à moi que "notre petit secret" (comme elle l'appelait) ne reste entre nous.
Après deux mois, elle me convoqua pour un weekend. Je voulais lui dire que j'arrêtais tout, qu'elle pouvait publier les photos et que je m'en moquais. Mais la correction qu'elle me mit brisa ma résolution, en particulier lorsqu'elle me murmura avec sadisme "Réfléchis aux conséquences si je dévoile tout. Pense à tes proches, ta famille ton boulot!". J'ai fondu en larmes. Pour la première fois elle m'a pris dans ses bras et rassuré en me disant que notre secret était bien gardé et que je n'aurais rien à craindre d'elle aussi longtemps que je serais sage.
Epilation, maquillage, habillage et punitions ont rythmé ce long weekend. Ainsi qu'un shooting photo qui lui permit de récupérer toujours plus de matière pour me faire chanter.
La nuit j'avais droit à une nuisette donc le contact électrisant me faisait frissonner dans ses bras. Parfois elle me caressait à travers l'étoffe mais je me dérobais à ces sulfureux contacts, pour son plus grand amusement.

La semaine qui suivit fut encore plus difficile que les précédentes, à ma panoplie habituelle, ma tortionnaire avait jugé bon de m'ajouter des bas. Les frissons que déclenchaient ces derniers sur ma peau lisse était un tourment. Car bien sûr, ma pilosité était devenu un vestige du passé et il m'appartenait de veiller à ce qu'elle le reste. Tous les jours je devais envoyer des photos de mes jambes lisses et de ma tenue bien apprêtée...

Puis est venu un nouveau weekend. Talons aiguilles, cravache et corset effroyablement serrés ont été mon quotidien. Sous le sifflet de sa canne il m'a fallu apprendre à marcher et à respirer de la manière qui lui convenait. Dès le samedi après midi je fondais en larmes chaque fois que le livre tombait de ma tête. Mais j'ignorais à l'époque que mes larmes pouvait attendrir celle que je voyais alors comme une sadique sans cœur.
Insatisfaite par le soin que je portais à ma pilosité, elle arracha à la pince à épilé ceux qui m'avaient échappés et je reçus un coup par poils que j'avais négligé. Après les 164 coups de cravache j'ai eu l'impression de quitter mon corps puis de petit à petit le réintégrer grâce à la chaleur de ses bras et à le douceur de la pommade qu'elle étalait sur mes fesses.
Après avoir enfoncé en moi un nouveau plug (toujours légèrement plus gros que le précédent) elle me fit don d'une crème destiné à ralentir la repousse de mes poils. Puis elle posa un baiser sur mon front dont je me souviendrais toute ma vie.

Ainsi de suite pendant un moi de plus... Mais à la fin d'un de nos désormais traditionnels weekend, en lieu et place de me rendre temporairement ma liberté elle déposa devant mes yeux une lettre de démission.
Selon ses dires la période de probation était terminée, elle souhaitait "commencer le vrai travail". J'ai catégoriquement refusé, d'abord en argumentant que j'avais besoin d'argent pour mes dépenses. Elle répondit qu'elle gagnait bien assez pour me prendre à sa charge et qu'elle était même prête à payer mon loyer le temps que je m'adapte et que je n'accepte d'emménager chez elle. J'ai explosé en rétorquant que jamais je ne vivrais avec elle. J'ai crié toute ma colère et cette fois aucune gifle ne m'a arrêté. Son regard froid me laissa entrevoir une fissure alors qu'elle m'observait me débattre inutilement dans mes chaînes. Je ne le comprenais pas encore mais je l'avais blessée.

24 heures plus tard dans une cage de cave, j'ai cédé et signé. Elle ne m'a pas libéré pour autant, je venais en réalité de signer pour bien plus qu'une simple rupture de contrat...
24 heures plus tard elle me permit enfin de retrouver la lumière du jour. Me trouvant affaiblis, elle consentit à me retirer toutes mes contraintes pour que je puisse prendre une douche seule. L'occasion était trop belle. La projetant de toutes mes forces, je l'ai éjecté contra sage et j'ai fui sa cave. Sans même prêté attention à ma nudité j'ai couru hors de son manoir. J'entendais ses pas furieux derrière moi... Elle m'a rattrapé dans le jardin et m'a roué de coup. Son visage saignait. Je l'ai supplié de me délivrer, je lui ai juré que je ne parlerais de tout ça à personne. Je lui ai proposé de prendre mon argent, ma moto, mon vélo tout. Elle m'a craché au visage, vexée par mon offre. L'argent n'avait jamais été son but.

A partir de là elle a serrée la vis à mon égard. Estimant que j'avais violé ma part du contrat elle m'expliqua qu'elle n'avait plus à faire mystère de notre secret. Elle m'a rasé la tête et m'a collé (avec de la colle chirurgicale une perruque de cheveux roux mi long). Mes suppliques n'ont rien changés. J'ai eu droit juste après à ma première injection d'hormone féminine, afin que je comprenne qu'il n'y aurait plus de retour en arrière. Elle me faisait dormir dans la cave, j'ai alors réalisé combien j'aimais dormir avec elle et que ça me manquait. Mais c'était trop tard. Elle m'en voulait et chaque jour elle le manifestait au cours des exercices de féminisations et de soumission qu'elle m'imposait.
Bien vite, j'ai voulu retrouver sa douceur alors je me suis investis autant que je pouvais pour lui plaire. J'ai redoublé d'efforts pour lui révéler ma féminité. J'ai travaillé ma démarche, j'ai appris par cœur la liste des plats qu'elle aimait et je me suis perfectionné pour les lui cuisiner.
Je ne savais même pas pourquoi je faisais ça. Mais vivre avec son indifférence et le dédain qu'elle me témoignait me paraissait pire que la plus cruelle des punitions.

Réalisant mes progrès, elle s'est petit à petit apaisé. Jusqu'au soir béni où elle me barra la route lorsque je voulu rejoindre la cave pour aller dormir. Sans un mot, elle saisit la laisse qui pendait au collier qu'elle me faisait porter et m'entraîna jusqu'à sa chambre. Là, elle me fit enfiler de nouveau la nuisette dont elle m'affublait avant.
-Ne gâche pas ton maquillage. Me sussura t'elle à l'oreille en voyant mes larmes faire couler mon mascara.
Elle goûta mes lèvres dans une étreinte brûlante et me fit goûter les siennes. Avec autant de douceur que de fermeté, elle m'allongea sur son lit. Ses mains glissaient sur mon corps, déclenchant gémissements, frissons et extase. Ses doigts caressaient, griffaient et tordaient selon notre plaisir mutuel. Sa mouille coulait sur moi alors que ses griffes caressaient mon visage.
Puis elle ouvrit des yeux étonnés avant de déclarer: "on dirait que tu viens de jouir ma jolie".
Cela faisait si longtemps que je portais cette ceinture de chasteté. J'avais oublié le plaisir... Non, comment aurais je pu oublier un plaisir que je n'avais encore jamais connu. En tous les cas, mon jus coulait bien le long des barreaux de la cage. Malgré son sourire, j'eu très peur de l'avoir déçue, mais non, elle m'aimait ainsi. Elle voulait me voir perdre la tête de plaisir et de désir. Il n'était pas encore temps de m'apprendre comment lui faire perdre la tête à elle. Alors toute la nuit et même le matin elle continua, me faisant alors découvrir des plaisirs dont je n'aurais jamais soupçonné l'existence.

Nos journées changèrent alors radicalement, désormais ponctué de baiser chaud, de câlins enivrants et de petites claques sur mes fesses. Mais le sérieux qu'elle m'était à faire de moi sa "Solange" restait inchangé. Grâce aux hormones, je pu enfiler mes premiers soutiens gorges non rembourés. Elle me présenta alors à ses amies et au cours du repas, alors que j'avais fini de faire le service, elle se mit à genoux devant moi pour me demander si je souhaitais être sa femme.
Elle devina plus qu'elle n'entendit le "oui" qui fut ma réponse à cause du sanglot qui m'étranglait. Et sous les applaudissements, elle m'embrassa en me passant la bague au doigt.

Quelques jours avant la cérémonie elle me confia qu'elle doutait... Tétanisé je lui demandais de m'expliquer. Elle me raconta que si je souhaitais l'épouser il me restait une épreuve à passer mais elle ne se sentait pas assez forte pour me l'imposer. Le plus sincèrement et naturellement du monde je lui ai répondu qu'elle n'aurait pas à me l'imposer. Que j'étais trop heureuse de vivre avec elle, de vivre pour elle et d'être amoureuse d'elle. Cette fois c'est elle qui a pleuré. Elle m'a dit que 24 heures avant les noces elle devrait partir. Elle laisserait ses amies s'occuper du reste.

C'est donc anxieuse que je me suis réveillée seule dans le lit la veille de notre mariage. Ses amies n'ont pas tardé à arriver. Elles m'expliquèrent que ça allait être une épreuve très douloureuse mais nécessaire si je voulais épouser celle que j'aimais. J'ai accepté sans réservé. Elles installèrent alors dans le salon une chaise gynécologique garnie de plusieurs sangles pour contraindre complètement la personne qui serait assise dessus.
Je pris place dessus lorsqu'elle me l'ordonnèrent, en une minute je ne pus plus que respirer et encore c'était difficile avec les sangles qui passaient sur mon torse et mon ventre pour me plaquer sur la chaise gynécologique. Mes géolières placèrent deux caméras sur deux trépieds, l'une pointant entre mes jambes vers ma cage et l'autre vers mon visage.
Un "clic" se fit entendre et mon clito fut libéré de sa ceinture de chasteté.
-Tu l'aimes?
-Bien sûr...
-Dis le!
-Je l'aime!
-Es tu prête à tout pour elle?
-Oui.
-Alors dis le pétasse!
-Je suis prête à tout pour elle!!!
-Bien... Assez de paroles, passons aux actes.
Confuse, je les ai senti tripoter mon sachet. Dans ma position je ne pouvais rien voir, mais finalement, une douleur aiguë me traversa et parut comme m'ouvrir le pénis. Des griffes se plantèrent dans mon sachet et tirèrent sur mes testicules tandis que les vas et viens brutal de la sonde urétral me labourait les chairs. Les filles accueillirent mes cris de douleurs horrifiés par des rires et des cris de jouissance endiablés. Je n'ai pas les mots pour exprimer la douleur que j'ai ressenti, c'était simplement trop. La peur et spasme de douleur paralysaient mon cœur entier et serraient mon ventre. L'une des filles s'amusait à prendre entre ses ongles mon prépuce et à le charcuter en le tordant entre ses ongles, pendant qu'une autre mordait une de mes testicules. J'ai pleuré de douleur jusqu'à ne plus avoir de larmes. Impossible pour moi de dire combien de temps ça a duré... Mais je me souviens avoir supplié aussi longtemps que j'en ai eu la force, jusqu'à subir résignée...
Je n'ai même pas pleinement réalisé lorsqu'elle cessèrent de me torturer. Mais la voix de l'amie de mon aimée m'a comme réveillée.-----Tu es prête pour le dernière étape?
Abrutie de fatigue et de douleur mais consciente de mes limites j'ai fais non de la tête.
-Je comprends Solange, nous ne sommes pas tendres avec toi. Mais tout ce qu'on fait ont le fait pour elle. Et toi aussi non?
J'ai hoché la tête, me rappelant la raison pour laquelle j'avais consenti à tout ça: elle.
-Bien, si tu nous laisses finir, tu pourras l'épouser. Tu es prête?
Après une profonde inspiration, j'ai hoché la tête.

Elles ont de nouveau tripoté mon sace en lambeau et une douleur suraiguë m'a fait pousser un cri de douleur tel que je n'en avais jamais poussé.
-C'est un elastrator. La pince permet de tendre un élastique minuscule. Mais lorsque la pince est enlevée l'élastique reprend sa taille initiale. Expliqua l'amie de mon amoureuse. Il a coupé la circulation sanguine de tes testicules. Dans moins d'une heure, tes testicules seront mort car privé d'oxygène pendant trop longtemps. Mais ça continuera à te faire mal. Jusqu'à ce que tes noisettes soient définitivement sectionnées. Ce sera le cadeau de mariage que tu feras à ton épouse. Accroches toi, si tu as besoin de courage dis toi qu'elle te regarde.
J'ai fixé l'objectif pointé sur mon visage en pensant de toutes mes forces à elle. Mon corps se tendait dans les sangles tandis que mon esprit ne pensait plus qu'à elle. Je pleurais de douleur, d'amour et de joie en même temps. Les amies de mon amoureuse m'empêchèrent de m'évanouir pour que je ne puisse pas me soustraire à la douleur. Peu après que la nuit soit tombée, mes testicules tombèrent, comme l'ultime offrande faite à mon amoureuse. J'ai à peine sentie qu'on me recousait et je n'ai que des souvenirs vague du moment où on m'a porté jusqu'au lit.

En revanche je me souviens du réveil, lorsqu'elles ont pris ma tension et ma température avant de me lever. Avec un soin tout particulier, elles entreprirent de me maquiller, de me coiffer et enfin me présentèrent la robe et le corsage dans laquelle j'allais l'épouser. Je n'ai même pas tenu compte des bracelet d'acier inoxydable qu'on vissé à mes poignets et à mes chevilles, je voyais dans le reflet de mon miroir la femme la plus heureuse du monde.
Dans le jardin, je l'ai vu elle tenait un bouquet de fleur à la main et son visage me souriait merveilleusement. Alors que mes lèvres ont enfin pu se desserrer pour clamer le "oui" qui habitait mon âme, elle m'a prise dans ses bras et sa main a plaqué mes lèvres contre les siennes m'offrant le baiser le plus puissant de ma vie.

Voilà comment a commencé ma vie.
发布者 samPandore08
3 年 前
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sethorus
sethorus 2 年 前
samPandore08 : pour rentrer dans une histoire et s'immerger , c'est toujours cool de pouvoir s'imaginer comment c'est
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samPandore08
samPandore08 出版商 2 年 前
sethorus : Ok, merci pour l'information mais je dois avouer que c'est moins mon univers
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sethorus
sethorus 2 年 前
samPandore08 : le sujet est mes balades dans des endroits ou le sexe est très présent, ciné porno, sauna gay, rencontres
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samPandore08
samPandore08 出版商 2 年 前
sethorus : Oui c'est clair que c'est peu développé

Sur quel sujeet?
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sethorus
sethorus 2 年 前
la fin est sympa, le début trop rapide pour tout comprendre et rentrer dans le récit pour ma part, mais l'ensemble est très sympa.

j'ai quelques histoires vrais sur mon profil si un jour tu as le temps et l'envie de te divertir ...
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samPandore08
samPandore08 出版商 2 年 前
encage57 : Merci :smile:
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encage57
encage57 2 年 前
Offrande ultime par amour, beau texte, j’aime
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samPandore08
samPandore08 出版商 2 年 前
nudemum : Merci beaucoup :smile:
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nudemum 2 年 前
belle histoire,bien racontée,bien écrite,en un mot,bandante
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samPandore08
samPandore08 出版商 3 年 前
Bravo aux personnes qui verront la référence :wink:
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