Anne, je peux t'enculer une 2ème fois?

Comme convenu, j'avais prévenu Anne de mon arrivée.
Mes couilles bouillonnaient. J'avais envie d'elle.
Cette femme brune d'allure quelconque, souriante et bientôt retraitée, m'avait dit:
- Tu n'as plus besoin d'aller aux putes. C'est moi ta pute. Je veux être là pour ça, pour que tu viennes me baiser. toute ma vie, j'ai été sérieuse et coincée. Et maintenant, à 65 ans, je veux écarter les cuisses pour que tu te vides les couilles. Tu viens, tu me baises, tu peux partir tout de suite. ça m'excite que tu ne viennes que pour le sexe, tu peux pas savoir!
Extérieurement, elle n'était pas devenue plus coquette. Elle était restée féminine, mais sans plus. Banale. Sympathique, les cheveux noirs mais déjà grisonnants. Des pommettes rebondies comme des pommes, toujours prête à sourire.
Sa taille avait grossi depuis quelque temps. Les courbes de ses seins se diluaient dans la rondeur général de la sexagénaire qui se laisse un peu aller.
Elle ne se maquillait pas beaucoup. Ses vêtements restaient ternes. Mais elle s'offrir à ma bite, et à celle de Thomas.
J'avais fini par lui montrer les fakes de Thomas, qui la montraient en train de s'offrir, nue, obscène, costumée comme une vieille cochonne. Maintenant, je n'avais plus besoin de me branler en regardant ces images. Je les vivais.
Anne ne voulait pas se mettre en couple. Elle gardait ses amis, ses copines, ses sorties, ses activités. Deux fois par semaine, elle aimait ne penser à rien, offrir sa nudité grasse à nos désirs, et sourire béatement, les seins secoués par les coups de reins de Thomas, ou les joues déformées par ma bite qui se frottait sur sa langue.
En entrant chez elle, je compris qu'elle n'était pas seule.
Dans la chambre à coucher, elle était à quatre pattes, les fesses pleines de sperme. Thomas était debout, et s'apprêtait à gagner la salle de bains.
Il ne savait pas que je venais. Ce n'étais pas bien grave.
Nous la baisions ensemble quelque fois, mais préférions la fourrer chacun notre tour, lorsque nous avions le temps.
Thomas était sur le point d'officialiser une relation à trois entre sa femme et sa belle-mère. Il m'avouait ne pas résister à l'envie de tirer Anne comme s'il était allé voir une pute. C'était d'ailleurs ce qu'elle voulait.
A voir l'anus d'Anne, je compris qu'il avait déchargé dans le cratère étoilé de la ménagère.
Il devait partir. Anne se leva pour se laver le cul.
J'espère qu'elle aura encore envie de ma queue, dis-je tout haut.
Thomas était satisfait. Pour la première fois, Anne s'était laissée enculer d'un seul coup, profondément. Il ne l'avait pas ménagée. Il lui avait bourré le fion vigoureusement.
Qu'est-ce que vous me faites faire! nous dit Anne, enveloppée d'un linge de bain, en revenant dans la chambre.
Je lui touchai les fesses, en les écartant pour chercher du majeur l'entrée de son vagin, qui n'était sec qu'à l'entrée. elle s'était lavée, mais l'intérieur de sa chatte était encore gluant de cyprine.
Il t'a bien enculée....
Elle confirma.
Je crois que ça va être difficile si tu veux venir par là....il y est allé très fort.
ça m'excite que tu sois une bonne enculée...comme la vieille Brigitte. Qui l'aurait cru, il n'y a que six mois en arrière?
Anne sourit, et s'assit sur le bord du lit.
Je sortis ma queue. Je me branlai, en tirant sur mes bourses pour l'inciter à me les lécher. Je m'étais rasé, comme toutes les fois que je visitais Anne.
Je dis au revoir à Thomas, pendant que Anne me gobait les boules.
J'ai quand même envie de t'enculer, moi aussi. Mais je vais y aller doucement. Tu sais qu'avec moi, c'est toujours lent, progressif.
Rien qu'en enfonçant le bout, et en bougeant peu, ça me fait jouir.
-Oui, tu m'as assez raconté que c'était comme ça, tout en douceur, que tu te faisais le trou du cul de Brigitte tous les jours.
Je vais me mettre de la crème...et tu iras doucement.
Anne s'était tellement beurré le fion que je patinai un instant entre ses gros globes blancs écarté. Je gardai la main sur ma queue, et me branlé à l'entrée de son trou du cul encore tout rouge d'avoir fait gicler la grosse bite de Thomas.
C'est bien comme ça...pas plus loin, dit Anne, lorsque j'eus trouvé ma vitesse de croisière, en me branlant doucement dans le fion de la ménagère.
- enculée deux fois de suite dans l'après-midi! Je n'y crois pas...soupira Anne.
- Arrête, tu vas me faire gicler tout de suite. Ah! ça vient! Je t'encule, ma pute!
- Tu aimes jouir dans le cul de ta pute? Je suis contente.
发布者 langauchat
3 年 前
评论
1
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nudemum 3 年 前
tu as eu bien raison d'en profiter
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