BUS
DANS LE BUS.
Tout ceci est en partie vraie et en partie romancer.
Cela se passe dans les années quatre-vingt.
J’avais une quinzaine d’année.
Un début d’après-midi, après les cours, je devais aller chez le dentiste.
À cette époque, c’était au centre école dentaire.
Donc pour m’y rendre je devais prendre le bus.
Il faisait froid, on était en décembre.
J’avais, comme souvent, mis un collant sans culotte sous mon pantalon…
J’adore le contact du nylon sur moi et surtout sur mon sexe…
Ça m’excite !
Me voilà parer pour prendre le bus et me rendre chez le dentiste.
Une fois les soins terminer, je reprends le bus pour le retour.
Il y a du monde à l’arrêt et le bus arrivant, il est déjà bien bondé.
Je réussi à me trouver une place et je suis coincé contre une barre de maintien…
Sachant que je serais dans les derniers à descendre, allant au terminus et de plus la circulation est en partie bloquer.
À un moment, je sens quelque chose de dur sur mes fesses…
Et des à-coups comme si l’on me baisait.
Je commence à bander et apprécie ses petits à-coups.
Soudain une main se pose sur ma bite et me palpe le sexe.
Pris d’excitation et de peur je laisse le type continuer.
En dégrafant mon bouton et baissant légèrement mon pantalon, Il arrive à glisser sa main et à me caresser à travers mon collant.
Il apprécie surement car il me murmure avec un léger accent maghrébin que je suis une salope pour porter des collants.
Il me prend la main et la pose sur sa bite.
Je la trouve grosse et bien dure.
Il me l’a fait sortir et je le branle discrètement…
Pendant ce temps sa main caresse mon sillon et il glisse un doigt dans mon rectum qui rentre sans peine.
Il me doigte.
Rebaisse encore un peu mon pantalon et glisse sa bite entre mes fesses et se frotte contre jusqu’au moment où je sens un liquide chaud se rependre…
Il vient de juter ce salaud !
Ça coule dans mon collant, le long de mes jambes.
Je suis si excité que je n’ai même pas peur que quelqu’un remarque notre attitude.
Il me donne son mouchoir pour m’essuyer un peu.
Il continue quand même à me caresser la bite et les fesses.
Il reprend ma main…
Il bande encore et me dit :
- « Je descends au prochain arrêt. Viens chez moi, tu pourras te nettoyer comme il faut. »
Je me réajuste tant bien que mal.
Je ne sais pas si c’est par curiosité ou autre, je le suis chez lui.
Une fois dans son appartement, il me dit de quitter mon pantalon et rester en collant.

Une fois en collant, il s’approche de moi…
Sort à nouveau sa grosse bite et me la met dans la main.
Je le branle…
Il m’appuie sur les épaules…
Je me mets à genoux et je le suce pendant un bon moment.
Il sort de ma bouche, me retourne et ce met derrière moi…
Baisse mon collant et présente sa bite sur mon petit trou.
Il me pénètre d’un coup, sans préparation…
Il me baise en me traitant de pute !
Il me sodomise avec v******e et j’ai un peu mal…
Heureusement que j’ai l’habitude.
D’un coup je le sens jouir…
Il se vide en moi.
Il me met la dose.
On dirait qu’il n’a pas baisé depuis un moment.
Il ne s’occupe pas de mon plaisir et après c’être retirer de mon cul, il me montre la salle de bain pour me nettoyer.
Après m’être rhabillé…
Il me raccompagne à la porte et me demande de revenir le voir et qu’il me baisera encore.
Je suis vite rentré chez moi…
Pendant la nuit j’ai repensé à cet homme et je me suis branlé et j’ai de nouveau joui.
Quelques jours on passer…
Un dimanche, je trainais vers chez lui.
Il m’aperçoit et vient vers moi.
Il me demande si je veux bien monter pour discuter et boire quelque chose.
Je suis tenté…
Me voilà à nouveau chez lui.
À peine rentré, je le suce et il me baise à même le sol.
Ce coup-ci, il me fait jouir.
Depuis ce jour, je viens le voir une fois par semaine et il exige que je porte des collants ou des bas avec des petites culottes sexy.
Il m’en a même acheté.
Quand je viens le voir je mets ce qu’il a envie et je deviens sa pute !
J’adore me faire prendre par mon vieil Arabe.
Le mercredi, on n’a pas école et je prends plaisir à être baisé par Ali.
Je suis devenue une vraie salope, une pute.
Cela à durer quelques mois, puis je ne l’ai plus revu.
Sans me prévenir, il a dû retourner chez lui au pays.
C’était la fin d’un épisode de ma vie.
Tout ceci est en partie vraie et en partie romancer.
Cela se passe dans les années quatre-vingt.
J’avais une quinzaine d’année.
Un début d’après-midi, après les cours, je devais aller chez le dentiste.
À cette époque, c’était au centre école dentaire.
Donc pour m’y rendre je devais prendre le bus.
Il faisait froid, on était en décembre.
J’avais, comme souvent, mis un collant sans culotte sous mon pantalon…
J’adore le contact du nylon sur moi et surtout sur mon sexe…
Ça m’excite !
Me voilà parer pour prendre le bus et me rendre chez le dentiste.
Une fois les soins terminer, je reprends le bus pour le retour.
Il y a du monde à l’arrêt et le bus arrivant, il est déjà bien bondé.
Je réussi à me trouver une place et je suis coincé contre une barre de maintien…
Sachant que je serais dans les derniers à descendre, allant au terminus et de plus la circulation est en partie bloquer.
À un moment, je sens quelque chose de dur sur mes fesses…
Et des à-coups comme si l’on me baisait.
Je commence à bander et apprécie ses petits à-coups.
Soudain une main se pose sur ma bite et me palpe le sexe.
Pris d’excitation et de peur je laisse le type continuer.
En dégrafant mon bouton et baissant légèrement mon pantalon, Il arrive à glisser sa main et à me caresser à travers mon collant.
Il apprécie surement car il me murmure avec un léger accent maghrébin que je suis une salope pour porter des collants.
Il me prend la main et la pose sur sa bite.
Je la trouve grosse et bien dure.
Il me l’a fait sortir et je le branle discrètement…
Pendant ce temps sa main caresse mon sillon et il glisse un doigt dans mon rectum qui rentre sans peine.
Il me doigte.
Rebaisse encore un peu mon pantalon et glisse sa bite entre mes fesses et se frotte contre jusqu’au moment où je sens un liquide chaud se rependre…
Il vient de juter ce salaud !
Ça coule dans mon collant, le long de mes jambes.
Je suis si excité que je n’ai même pas peur que quelqu’un remarque notre attitude.
Il me donne son mouchoir pour m’essuyer un peu.
Il continue quand même à me caresser la bite et les fesses.
Il reprend ma main…
Il bande encore et me dit :
- « Je descends au prochain arrêt. Viens chez moi, tu pourras te nettoyer comme il faut. »
Je me réajuste tant bien que mal.
Je ne sais pas si c’est par curiosité ou autre, je le suis chez lui.
Une fois dans son appartement, il me dit de quitter mon pantalon et rester en collant.

Une fois en collant, il s’approche de moi…
Sort à nouveau sa grosse bite et me la met dans la main.
Je le branle…
Il m’appuie sur les épaules…
Je me mets à genoux et je le suce pendant un bon moment.
Il sort de ma bouche, me retourne et ce met derrière moi…
Baisse mon collant et présente sa bite sur mon petit trou.
Il me pénètre d’un coup, sans préparation…
Il me baise en me traitant de pute !
Il me sodomise avec v******e et j’ai un peu mal…
Heureusement que j’ai l’habitude.
D’un coup je le sens jouir…
Il se vide en moi.
Il me met la dose.
On dirait qu’il n’a pas baisé depuis un moment.
Il ne s’occupe pas de mon plaisir et après c’être retirer de mon cul, il me montre la salle de bain pour me nettoyer.
Après m’être rhabillé…
Il me raccompagne à la porte et me demande de revenir le voir et qu’il me baisera encore.
Je suis vite rentré chez moi…
Pendant la nuit j’ai repensé à cet homme et je me suis branlé et j’ai de nouveau joui.
Quelques jours on passer…
Un dimanche, je trainais vers chez lui.
Il m’aperçoit et vient vers moi.
Il me demande si je veux bien monter pour discuter et boire quelque chose.
Je suis tenté…
Me voilà à nouveau chez lui.
À peine rentré, je le suce et il me baise à même le sol.
Ce coup-ci, il me fait jouir.
Depuis ce jour, je viens le voir une fois par semaine et il exige que je porte des collants ou des bas avec des petites culottes sexy.
Il m’en a même acheté.
Quand je viens le voir je mets ce qu’il a envie et je deviens sa pute !
J’adore me faire prendre par mon vieil Arabe.
Le mercredi, on n’a pas école et je prends plaisir à être baisé par Ali.
Je suis devenue une vraie salope, une pute.
Cela à durer quelques mois, puis je ne l’ai plus revu.
Sans me prévenir, il a dû retourner chez lui au pays.
C’était la fin d’un épisode de ma vie.
3 年 前