Dominique, bourgeoise blonde

Dominique pourrait être ma mère. Elle est mariée mais adore prendre du bon temps avec des mecs plus jeunes qu’elle. Nous avons un peu plus de vingt ans d’écart. Blonde, les yeux verts, un joli 90C, de beaux ongles longs et vernis, elle a dispose de tout ce que j’aime. Mais, cerise sur le gâteau, elle est d’une classe folle. Je l’ai toujours vêtue d’un tailleur, de véritables bas couture (sauf en cas de canicule), de talons aiguilles ainsi que d’une chaîne de cheville.
Avec Dominique, ça fait déjà deux ans que ça dure. Deux ans à goûter, à lécher, à dévorer, à ramoner, à ravager tous ses trous, sans aucune modération. Ma pute bourgeoise sait se montrer insatiable et n’hésite pas à en redemander dès que l’occasion le lui permet. Je ne suis pas le seul mec à user et abuser de ses envies.
Cette bourgeoise, je l’ai défoncé dans son appartement, à l’arrière de sa voiture, dans la réserve du magasin de meubles où elle bossait. C’est d’ailleurs dans ce lieu que je l’ai rencontré la première fois. Un jour d’été, j’y était allé pour acheter un petit buffet. Elle était vêtue d’un tailleur bleu ciel et de sandales à talons aiguilles. L’éclat de la chaînette qui enserrait sa cheville avait aussi attiré mon regard. Une vraie bourgeoise, avais-je pensé.
Au fil des saisons, je repassais régulièrement au magasin. Je faisais un tour sans forcément acheter quoi que ce soit. Mais je ne manquais pas de lui parler et de constater l’élégance de ses tenues. À chaque fois, je la complimentais à ce sujet.
Un soir, elle m’a invité à rester à la fermeture du magasin pendant que ces collègues quittaient les lieux. En deux temps, trois mouvements, nous nous sommes retrouvés dans la réserve du magasin. La chienne était avide.
Après avoir relevé sa jupe jusqu’à la taille, elle s’est mise à genoux et a entrepris de me pomper avec une v******e non contenue. Dominique a gobé l’intégralité de ma bite, sans manquer de laper mes couilles et de cracher le surplus de bave sur le sol de béton brut. Je l’ai ensuite dirigé vers un établi. Dans une posture naturelle, elle a écarté les cuisses. Ses bas couture ont commencé à plisser. Son jus de pute bourgeoise avait totalement imbibé son string de dentelle noire. Je n’avais plus qu’à y plonger la langue. J’ai bu, avalé sa cyprine épaisse, léché sa rondelle frétillante. Son anus était bouillant.
Dominique s’est alors mise à quatre pattes, à même le sol, le nez dans sa salive. Les reins creusés, la croupe offerte. J’ai introduit ma bite d’une seule poussée dans son fondement incendiaire. Je me suis efforcé d’imprimer un tempo régulier avec quelques pauses pour passer de son cul à sa bouche. La pute bourgeoise en redemandait et c’est finalement au fond de son cul que j’ai balancé mon foutre.

Tout ça pour vous dire combien Dominique était à point. Elle prenait de plus en plus goût à la luxure. La dépravation était son moteur et elle m’a confié qu’elle voulait se faire défoncer par plusieurs mecs dans un lieu inédit.
Un soir d’avril, nous voilà partis du côté du Bois de Saint-Pierre. J’ai dit à ma putain de mettre le paquet. Un tailleur noir, un chemisier blanc sous lequel elle ne porte pas de soutien-gorge. Un porte-jarretelles rouge sang, des bas couture noirs, des escarpins au talon aiguille vertigineux et, bien sûr, sa chaîne de cheville. Sur le maquillage et le vernis, elle n’a pas lésiné non plus. Elle était parfaite. Ultra bandante, tout simplement.
Tout le long du trajet, elle a laissé sa jupe relevée sur le revers de ses bas. De temps à autre, sa main descendait vers sa chatte, nullement entravée par une quelconque pièce de lingerie. Nous sommes arrivés les premiers au Bois. La nuit était tombée. Nous avons attendu une dizaine de minutes avant qu’un second véhicule ne vienne se garer. Un laps de temps que Dominique a mis à profit pour me sucer avec délectation. Dans l’éclat des phares, j’ai deviné que son jus arrosait la terre environnante.
D’autres voitures nous ont rejoint dans cet endroit bien connu des pervers du département. Des hommes uniquement. De tous âges et de toutes conditions. Peu importe pour ma pute bourgeoise. Plus il y a de queues pour la remplir, mieux elle saura se montrer chienne. Elle disposera de six hommes pour cette nuit qui s’annonce débridée.
J’invite Dominique à s’avancer au milieu du cercle masculin qui s’est naturellement formé. Les queues ont jailli des pantalons. Sur une zone plane, j’ai étalé une couverture afin que Dominique, qui vient de relever sa jupe, soit plus à l’aise. Tandis que son visage lourdement maquillé trahit son avidité, elle s’accroupit. Déjà six bites se tendent vers elle.
Ma pute bourgeoise s’évertue à pomper, à bien baver, à recracher des paquets conséquents de salive. Je me suis installé à l’écart du cercle. Je serai le dernier à remplir ses trous de truie. Je l’admire en train de sucer avec une énergie folle. Sa gorge malmenée et bruyante n’est pas en reste. Son chemisier est vite taché. Les mecs, bien excités, se relaient dans sa bouche en feu.
Un des gars s’affaire néanmoins sur son cul. Il joue avec sa rondelle, la masse consciencieusement afin de retirer le plug chromé que je lui ai installé il y a deux heures. Ma truie dépravée gémit, grogne de plaisir. Elle absorbe les queues offertes avec une belle vivacité. Entre ses cuisses, sur la couverture, une mare de salive et de jus de pute s’est formée. Pour son premier gangbang, elle prend un immense pied. C’est beau de la voir ainsi.
Elle suce, elle pompe, elle gobe, sans manquer de lécher les couilles, avec une envie décuplée pendant une bonne vingtaine de minutes. Son chemisier, qu’un des mecs a ouvert, est totalement imbibé de sa salive épaisse. Ses seins orgueilleux, aux tétons arrogants, sont dans le même état.

Dominique vient de se mettre à quatre pattes. Un des hommes vient de s’agenouiller face à son visage et entreprend de ramoner sa gorge. En arrière, deux mâles insèrent leurs doigts dans sa chatte ainsi que dans sa rondelle qui s’élargit. Elle gémit toujours, commence à gueuler comme une truie. Son minou gicle fort, libérant des jets d’une puissance inouïe. Je me décale afin de mieux apercevoir sa croupe tendue. Elle est luisante de jus.
Ma pute bourgeoise cambre encore plus les reins, prête à être saillie. Une bite bien épaisse vient s’y installer avec une certaine douceur pendant qu’une autre vient prendre dans sa chatte dégoulinante de jus. Les deux mâles trouvent tout de suite le bon rythme et Dominique se fait secouer comme jamais. Tant bien que mal, tout en se prenant des claques sur le cul, elle continue de sucer les bites qui s’offrent à elle, dont la mienne, désormais. Comme les autres, je ne lui offre aucun répit. Elle ne se prive pas de baver comme une truie pendant que ses bas couture plissent aux genoux et aux chevilles.
Un instant, je retire ma queue lustrée de sa bouche. Son maquillage est détruit. Elle hurle, ravie de son plaisir, de son bonheur d’être prise comme la dernière des traînées.
- Tu en veux plus, n’est-ce pas ?
- Oui !!!!
Je me déplace alors vers les deux mecs qui sont en train de la besogner. Le plus simplement du monde, je leur propose d’enculer doublement ma catin. Ils reprennent bien leurs appuis et, centimètre par centimètre, voilà une seconde queue qui s’installe dans le fondement béant de ma putain. Elle crie de plus belle, à en faire trembler les arbres de la forêt. Ainsi défoncée, elle change plusieurs fois de position, se retrouvant à cheval sur l’un de ses tourmenteurs, les cuisses bien écartées, ses bas plissant terriblement.
Les six hommes ont pu goûter, ramoner, ravager, déchirer, détruire l’ensemble de ses trous. Les uns après les autres, alors qu’elle s’est mise à genoux, ils se vident sur son visage de putain extatique. Le sperme est copieux.
Les mecs me remercient puis repartent chacun de leur côté. Ravie de son traitement, elle sait qu’elle doit encore s’offrir à moi.
- À quatre pattes, grosse traînée !
Son divin cul est une offrande pour ma queue. Je m’y enfonce avec une grande facilité, ravage ses dernières résistances. Elle est plus qu’à point. Je me colle à ses hanches, n’offre aucun ménagement à sa croupe, je la fourre de toute la longueur de ma bite. Le moment de décharger mon foutre approche.
Je me retire de sa rondelle, l’invite à s’accroupir et ma semence vient rejoindre le foutre qui s’agglomère sur sa gueule de truie...
发布者 devintaylor
3 年 前
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devintaylor
devintaylor 出版商 8 月 前
dhl69 : Merci !
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dhl69 8 月 前
Très beau récit 
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devintaylor
devintaylor 出版商 1 年 前
alexlesex63 : Merci !!
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alexlesex63 1 年 前
Tres excitante cette histoire.
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devintaylor
devintaylor 出版商 1 年 前
kahecate : Merci !
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kahecate
kahecate 1 年 前
Superbe récit xxx
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devintaylor
devintaylor 出版商 2 年 前
encage57 : :wink:
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encage57
encage57 2 年 前
devintaylor : C’est très agréable de vous lire
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devintaylor
devintaylor 出版商 2 年 前
encage57 : Merci, encore une fois !!
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encage57
encage57 2 年 前
J’adore
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devintaylor
devintaylor 出版商 2 年 前
Yep !
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ccandau
ccandau 3 年 前
devintaylor : normal c'est vraiment une belle affaire
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devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
ccandau : Merci Christian !
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ccandau
ccandau 3 年 前
de la bourge pute qui aime la double anale super
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devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
trumanc13 : Merci !!
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devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
caso29 : Yes !!!
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caso29
caso29 3 年 前
Une sacrée cochonne de bourgeoise !!!
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trumanc13
trumanc13 3 年 前
Superbe récit! 
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devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
sebx666 : Yes !!
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sebx666
sebx666 3 年 前
Sacrée chienne cette femme
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devintaylor
devintaylor 出版商 3 年 前
Merci à toi !!!!
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