Voyage en train.
Elle est là, assise sur ce siège abimé, accolé à la grande vitrine ou défile le paysage. Le bruit des roues sur les rails ne parviennent pas à la bercer, à la calmer. Les étendues d'herbes et la grandeur des montagnes ne la captivent plus assez pour penser à autre chose que ce qu'elle ressent, ce dont elle a besoin, ces images qui lui tournent en tête.
Dans le train, c'est ici qu'elle sent aujourd'hui ses mamelons réclamer d'être choyés, elle les sent et les imagine durcir sous son haut, contre son soutien gorge, se dressés. Si sensibles, au moindre mouvement, frottement, elle sent cette décharge au bout de ses seins, prendre sa poitrine, son esprit et descendre là ou petit à petit des palpitations se font ressentir.
Elle s'en mord la lèvre, se retenir car même si elle est seule dans ce wagon, ce n'est pas l'endroit pour ressentir une telle excitation et se satisfaire en solitaire. Pourtant, cette idée fait monter ces sensations de quelques crans au dessus...
Alors, après un coup d'oeil pour vérifier que personne ne la voit, elle passe sa main sous son haut et abaisse son soutien gorge pour libérer ses seins de cette cage trop serrée pour sa sensibilité qui réclame d'être titillé. Son t-shirt fin laisse entrevoir la forme de ses tétons tendus, appelant le plaisir.. elle tire sur l'extrémité de son haut, écrasant ses seins, ses tétons, pour relâcher celui-ci et contempler ces deux pyramides ce redresser lentement.
La bouche entre ouverte, elle en soupire d'excitation à cette vue.. et elle cède. De ses indexes, par-dessus le tissu, elle tourne autour de ses mamelons, caressant lentement, doucement, avec légèreté cette zone qui appelle au vice. Dans ces petits cercles qui se réduisent, elle se mord la lèvre d'impatience, n'attendant qu'arriver à ce petit passage sur ces tétons dressés, lui envoyant une fine décharge de plaisir. Elle en lève la tête, le plaisir décuplé par l'interdit, le risque, peut être l'envie d'être vu.
Elle recommence son action, et se permet même de titiller ses pointes de va et viens frappant du bout des doigts ses tétons habillés.
Sa respiration se fait plus lourde.. de petites convulsions la prenne, le plaisir est là, mais pas assez. Alors elle les pince, doucement, sans grande douleur, elle soupire, tire légèrement dessus avant de les caresser avec douceur. Elle les att**** pour les faire rouler, c'est si bon, si excitant, enivrant, qu'elle remarque bien tard cette sensation entre ses jambes.. humide, épaisse, elle se sent mouiller.
Cette fois ci, c'est son sexe qui réclame, mais ses seins ne veulent en aucun cas être délaissés et se masturber est bien trop risqué.. alors elle se contente de rouler lentement du bassin, sentant ses vulves étouffées par ses cuisses frotter la rondeur du siège. Ses tétons toujours titillés, elle les guides contre la paroi qui lui fait face, celle du siège qui lui tourne le dos. Ses mamelons s'y frottent, s'y écrasent, tout comme sa joue alors que sa bouche s'ouvre, sa langue luit, sa salive menace de s'écouler vulgairement et sa respiration lourde se fait entendre.
Des pas se font entendre, la sortant de cette trans. Un mélange de honte et d'excitation la prend, elle regarde cette personne qui la fixe, les mains accrochées au dossier qui lui fait face, le dos cambré, les seins écrasés contre la paroi, elle reste silencieuse, attendant une réaction : la tienne.
Dans le train, c'est ici qu'elle sent aujourd'hui ses mamelons réclamer d'être choyés, elle les sent et les imagine durcir sous son haut, contre son soutien gorge, se dressés. Si sensibles, au moindre mouvement, frottement, elle sent cette décharge au bout de ses seins, prendre sa poitrine, son esprit et descendre là ou petit à petit des palpitations se font ressentir.
Elle s'en mord la lèvre, se retenir car même si elle est seule dans ce wagon, ce n'est pas l'endroit pour ressentir une telle excitation et se satisfaire en solitaire. Pourtant, cette idée fait monter ces sensations de quelques crans au dessus...
Alors, après un coup d'oeil pour vérifier que personne ne la voit, elle passe sa main sous son haut et abaisse son soutien gorge pour libérer ses seins de cette cage trop serrée pour sa sensibilité qui réclame d'être titillé. Son t-shirt fin laisse entrevoir la forme de ses tétons tendus, appelant le plaisir.. elle tire sur l'extrémité de son haut, écrasant ses seins, ses tétons, pour relâcher celui-ci et contempler ces deux pyramides ce redresser lentement.
La bouche entre ouverte, elle en soupire d'excitation à cette vue.. et elle cède. De ses indexes, par-dessus le tissu, elle tourne autour de ses mamelons, caressant lentement, doucement, avec légèreté cette zone qui appelle au vice. Dans ces petits cercles qui se réduisent, elle se mord la lèvre d'impatience, n'attendant qu'arriver à ce petit passage sur ces tétons dressés, lui envoyant une fine décharge de plaisir. Elle en lève la tête, le plaisir décuplé par l'interdit, le risque, peut être l'envie d'être vu.
Elle recommence son action, et se permet même de titiller ses pointes de va et viens frappant du bout des doigts ses tétons habillés.
Sa respiration se fait plus lourde.. de petites convulsions la prenne, le plaisir est là, mais pas assez. Alors elle les pince, doucement, sans grande douleur, elle soupire, tire légèrement dessus avant de les caresser avec douceur. Elle les att**** pour les faire rouler, c'est si bon, si excitant, enivrant, qu'elle remarque bien tard cette sensation entre ses jambes.. humide, épaisse, elle se sent mouiller.
Cette fois ci, c'est son sexe qui réclame, mais ses seins ne veulent en aucun cas être délaissés et se masturber est bien trop risqué.. alors elle se contente de rouler lentement du bassin, sentant ses vulves étouffées par ses cuisses frotter la rondeur du siège. Ses tétons toujours titillés, elle les guides contre la paroi qui lui fait face, celle du siège qui lui tourne le dos. Ses mamelons s'y frottent, s'y écrasent, tout comme sa joue alors que sa bouche s'ouvre, sa langue luit, sa salive menace de s'écouler vulgairement et sa respiration lourde se fait entendre.
Des pas se font entendre, la sortant de cette trans. Un mélange de honte et d'excitation la prend, elle regarde cette personne qui la fixe, les mains accrochées au dossier qui lui fait face, le dos cambré, les seins écrasés contre la paroi, elle reste silencieuse, attendant une réaction : la tienne.
1 年 前