La première fois que j'ai sucé mon maître.
Après une dizaine de jours d'échanges aussi sulfureux qu'excitants, de défis quotidiens, d'attouchements mammaires dans les vestiaires, mon maître décida enfin de me récompenser de mes bons et loyaux services.
Ce matin-là comme à mon habitude, je me levai la tête dans le cul et une nouvelle fois à la bourre. Il ne me restait tout juste une heure pour me préparer, prendre mon petit déjeuner et partir au travail.
Heureusement je ne suis qu'à cinq minutes de mon boulot, ce qui me permet de ne pas me stresser non plus.
Comme tout les matin depuis dix jours, mon premier réflexe fut de regarder mon portable, voir si mon maître avait eu la délicate attention de m'envoyer un message.
Mais à ma grande déception, rien ce matin. C'était déjà arrivé lorsqu'il passait la nuit avec sa copine et je ne lui en tenais pas rigueur. Cependant, j’étais quand-même un peu déçue car on s'habitue vite à se sentir désirée au saut du lit.
A mon arrivée au travail, il était déjà là. alors que je croisais son regard, il me dévisagea d'un œil noir. Comme s'il était fâché ou bien qu'il était de mauvaise humeur. Je compris tout de suite que je devais baisser les yeux et que j'allais sans doute bien morfler.
Je partis donc à mon poste, sans un mot de sa part et ne sachant pas ce qu'il allait me réserver ce jour-là.
Vers dix heures, alors que je m'affairais dans mes tâches quotidiennes, une vibration de mon téléphone me fit sortir de ma routine. Mon cœur s'accéléra d'un coup espérant fortement que ce soit enfin mon maître qui daigne me porter un peu d’intérêt.
Je m'isolai de mes autres collègues et découvris la notification sur mon portable. C'était lui!
vous n'imaginez pas le soulagement et les frétillements de mon corps lorsque je vois son nom. Sans même avoir lu un mot de son message, je sentais déjà des fourmis dans le bas du ventre et une sensation incroyable de laisser-aller.
Je m'empressai de lire ses mots sentant l'excitation monter au fil de la lecture.
Ses mots était secs, durs et son message très court:
"Rendez-vous à 10h30 dans les vestiaires grosse chiennasse! Et ne soit pas en retard, sinon tu vas dérouiller sévère sale putain de traînée de merde!."
Ravie et rassurée, je lui répondis que je ne manquerais aucunement son rendez-vous et que je ne serais à sa merci pour toutes ses envies.
Une demie-heure plus tard, je me dirigeais vers les vestiaires. Personne...
Enfin c'est ce que je pensais...
Les vestiaires étaient situés juste à côté des toilettes hommes et femmes. ils étaient assez isolés de l'ensemble du site où nous travaillions. C'était l'endroit idéal pour nos jeux.
Sauf que pour l'instant je me retrouvais désespérément seule, commençant à prendre peur que mon maître m'ait oublié.
Quand soudain, un bruit de chasse d'eau provenant des toilettes masculines me fit frémir.
Etait-ce lui? j'allais bientôt le savoir...
J'attendais patiemment à l'entrée, espérant le voir débouler d'une seconde à l'autre.
Mon angoisse se dissipa lorsque je le vis se dresser devant moi à la sortie des toilettes.
Il avait toujours cet air froid du matin et ne semblait pas vouloir rigoler. Je baissais donc les yeux à sa vue et m'offrait à lui en bonne soumise.
D'abord il vint vérifier que je n'avait pas de soutien-gorge. Il sortit mes grosses mamelles pour les malaxer généreusement et les claquer virulemment. Une descente incontrôlée de cyprine venait me faire mouiller ma culotte sous l'effet de ses mains viriles et fermes.
A ce moment présent, je me sentais entièrement sous son joug, prête à satisfaire ses envies les plus folles.
"A genou salope et que ça saute, j'ai encore plein de pisse sur ma bite. Tu vas me nettoyer ça comme une bonne serpillère."
Pendant qu'il dégrafait son pantalon, je m’exécutai et me retrouvai bientôt à quatre pattes, avec le plaisir de pouvoir enfin goûter à sa queue. Jusqu'à présent, je n'avais eu l'honneur de la voir qu'une seule fois en photo. Et de la voir enfin pour de vrai n'arrangeait pas mes ruissellements qui inondaient maintenant mon entre-jambe.
"Ouvre ta sale gueule de chiennasse et pompe gros tas! Tu vas voir ce que c'est que d'être une serpillère à jus!
Sans broncher, je m'exécutai une nouvelle fois à ses injonctions et pris sa bite en bouche.
J'étais tellement heureuse de goûter sa trique que je ne portais même pas attention à l'odeur de pisse qui embaumait sa verge. A ma grande surprise, je trouvais cela même appréciable. Pourtant dans un contexte différent j'aurais sans doute été écœurée.
Au gré de mes coups de langues, sa bite devenait de plus en plus grosse et dure et je ne pu m'empêcher de pousser de petits cris de jouissance tant cela m'excitait.
Ses coups de butoirs puissants au fond de ma gorge devenaient de plus en plus bruts, que je failli m'étouffer. Je voulus respirer un peu en posant ma main sur sa queue pour me laisser de la marge.
Que n'avais-je pas fait là! sans prévenir je reçu une gifle bien placée sur ma joue et qui vint me faire tourner de l’œil.
Je ne m'y attendais pas à celle-là!
En même temps c'était mérité puisque je n'avais pas à prendre cette initiative. j'espérais juste qu'il ne punisse pas davantage en rangeant sa queue sans pouvoir goûter à son nectar.
"Ne refais plus jamais ça grognasse! La prochaine fois je n'irai pas avec le dos de la cuillère, C'est compris?
J'acquiesçai toute honteuse mais rassurée de pouvoir continuer la dégustation.
La première fellation de mon maître se termina donc mains dans le dos et bouche grande ouverte, à subir ses assauts.
Cinq minutes plus tard, un râle expressif, suivi d'une giclée de sperme au fond de ma gorge vinrent ponctuer ce met délicieux.
Non habituée à avoir tant de sperme en bouche, je fut à deux doigts de déglutir. Heureusement, il sortit sa queue et je pu avaler sereinement.
Ça aurait été dommage tant son foutre est bon et je crois que ça ne lui aurait pas plu du tout.
J'aurais aimé continuer à le nettoyer pour lécher ses dernières gouttes mais ce ne fut pas sa volonté.
Il me prit par la tête et s’essuya le bout du gland sur ma joue et mes cheveux.
"voilà pour toi grosse truie, maintenant tu vas puer la pisse et le foutre. Tu ne mérites que ça espèce de sac à jus!
J'approuvai ses propos et le remerciai chaleureusement d'avoir été si généreux avec moi.
Sur ces derniers mots, il se rhabilla et sans mot-dire, sortit des vestiaires me laissant livrée à moi-même, humiliée et souillée comme un vulgaire bout de PQ qu'on jette après usage.
Malgré cela, je ressortis des vestiaires heureuse d'avoir pu servir mon maître à sa convenance et surtout, encore plus trempée qu'en y entrant!
A bientôt pour la suite de mes aventures avec mon maître.
Ce matin-là comme à mon habitude, je me levai la tête dans le cul et une nouvelle fois à la bourre. Il ne me restait tout juste une heure pour me préparer, prendre mon petit déjeuner et partir au travail.
Heureusement je ne suis qu'à cinq minutes de mon boulot, ce qui me permet de ne pas me stresser non plus.
Comme tout les matin depuis dix jours, mon premier réflexe fut de regarder mon portable, voir si mon maître avait eu la délicate attention de m'envoyer un message.
Mais à ma grande déception, rien ce matin. C'était déjà arrivé lorsqu'il passait la nuit avec sa copine et je ne lui en tenais pas rigueur. Cependant, j’étais quand-même un peu déçue car on s'habitue vite à se sentir désirée au saut du lit.
A mon arrivée au travail, il était déjà là. alors que je croisais son regard, il me dévisagea d'un œil noir. Comme s'il était fâché ou bien qu'il était de mauvaise humeur. Je compris tout de suite que je devais baisser les yeux et que j'allais sans doute bien morfler.
Je partis donc à mon poste, sans un mot de sa part et ne sachant pas ce qu'il allait me réserver ce jour-là.
Vers dix heures, alors que je m'affairais dans mes tâches quotidiennes, une vibration de mon téléphone me fit sortir de ma routine. Mon cœur s'accéléra d'un coup espérant fortement que ce soit enfin mon maître qui daigne me porter un peu d’intérêt.
Je m'isolai de mes autres collègues et découvris la notification sur mon portable. C'était lui!
vous n'imaginez pas le soulagement et les frétillements de mon corps lorsque je vois son nom. Sans même avoir lu un mot de son message, je sentais déjà des fourmis dans le bas du ventre et une sensation incroyable de laisser-aller.
Je m'empressai de lire ses mots sentant l'excitation monter au fil de la lecture.
Ses mots était secs, durs et son message très court:
"Rendez-vous à 10h30 dans les vestiaires grosse chiennasse! Et ne soit pas en retard, sinon tu vas dérouiller sévère sale putain de traînée de merde!."
Ravie et rassurée, je lui répondis que je ne manquerais aucunement son rendez-vous et que je ne serais à sa merci pour toutes ses envies.
Une demie-heure plus tard, je me dirigeais vers les vestiaires. Personne...
Enfin c'est ce que je pensais...
Les vestiaires étaient situés juste à côté des toilettes hommes et femmes. ils étaient assez isolés de l'ensemble du site où nous travaillions. C'était l'endroit idéal pour nos jeux.
Sauf que pour l'instant je me retrouvais désespérément seule, commençant à prendre peur que mon maître m'ait oublié.
Quand soudain, un bruit de chasse d'eau provenant des toilettes masculines me fit frémir.
Etait-ce lui? j'allais bientôt le savoir...
J'attendais patiemment à l'entrée, espérant le voir débouler d'une seconde à l'autre.
Mon angoisse se dissipa lorsque je le vis se dresser devant moi à la sortie des toilettes.
Il avait toujours cet air froid du matin et ne semblait pas vouloir rigoler. Je baissais donc les yeux à sa vue et m'offrait à lui en bonne soumise.
D'abord il vint vérifier que je n'avait pas de soutien-gorge. Il sortit mes grosses mamelles pour les malaxer généreusement et les claquer virulemment. Une descente incontrôlée de cyprine venait me faire mouiller ma culotte sous l'effet de ses mains viriles et fermes.
A ce moment présent, je me sentais entièrement sous son joug, prête à satisfaire ses envies les plus folles.
"A genou salope et que ça saute, j'ai encore plein de pisse sur ma bite. Tu vas me nettoyer ça comme une bonne serpillère."
Pendant qu'il dégrafait son pantalon, je m’exécutai et me retrouvai bientôt à quatre pattes, avec le plaisir de pouvoir enfin goûter à sa queue. Jusqu'à présent, je n'avais eu l'honneur de la voir qu'une seule fois en photo. Et de la voir enfin pour de vrai n'arrangeait pas mes ruissellements qui inondaient maintenant mon entre-jambe.
"Ouvre ta sale gueule de chiennasse et pompe gros tas! Tu vas voir ce que c'est que d'être une serpillère à jus!
Sans broncher, je m'exécutai une nouvelle fois à ses injonctions et pris sa bite en bouche.
J'étais tellement heureuse de goûter sa trique que je ne portais même pas attention à l'odeur de pisse qui embaumait sa verge. A ma grande surprise, je trouvais cela même appréciable. Pourtant dans un contexte différent j'aurais sans doute été écœurée.
Au gré de mes coups de langues, sa bite devenait de plus en plus grosse et dure et je ne pu m'empêcher de pousser de petits cris de jouissance tant cela m'excitait.
Ses coups de butoirs puissants au fond de ma gorge devenaient de plus en plus bruts, que je failli m'étouffer. Je voulus respirer un peu en posant ma main sur sa queue pour me laisser de la marge.
Que n'avais-je pas fait là! sans prévenir je reçu une gifle bien placée sur ma joue et qui vint me faire tourner de l’œil.
Je ne m'y attendais pas à celle-là!
En même temps c'était mérité puisque je n'avais pas à prendre cette initiative. j'espérais juste qu'il ne punisse pas davantage en rangeant sa queue sans pouvoir goûter à son nectar.
"Ne refais plus jamais ça grognasse! La prochaine fois je n'irai pas avec le dos de la cuillère, C'est compris?
J'acquiesçai toute honteuse mais rassurée de pouvoir continuer la dégustation.
La première fellation de mon maître se termina donc mains dans le dos et bouche grande ouverte, à subir ses assauts.
Cinq minutes plus tard, un râle expressif, suivi d'une giclée de sperme au fond de ma gorge vinrent ponctuer ce met délicieux.
Non habituée à avoir tant de sperme en bouche, je fut à deux doigts de déglutir. Heureusement, il sortit sa queue et je pu avaler sereinement.
Ça aurait été dommage tant son foutre est bon et je crois que ça ne lui aurait pas plu du tout.
J'aurais aimé continuer à le nettoyer pour lécher ses dernières gouttes mais ce ne fut pas sa volonté.
Il me prit par la tête et s’essuya le bout du gland sur ma joue et mes cheveux.
"voilà pour toi grosse truie, maintenant tu vas puer la pisse et le foutre. Tu ne mérites que ça espèce de sac à jus!
J'approuvai ses propos et le remerciai chaleureusement d'avoir été si généreux avec moi.
Sur ces derniers mots, il se rhabilla et sans mot-dire, sortit des vestiaires me laissant livrée à moi-même, humiliée et souillée comme un vulgaire bout de PQ qu'on jette après usage.
Malgré cela, je ressortis des vestiaires heureuse d'avoir pu servir mon maître à sa convenance et surtout, encore plus trempée qu'en y entrant!
A bientôt pour la suite de mes aventures avec mon maître.
1 年 前