À la piscine
Elle a les hormones en ébullition..
C'est allongée sur sa serviette, à la piscine municipale qu'elle se sent brûlante d'envies. Son corps exposé, si finement habillé d'un maillot en deux pièces révélateur. Elle se sent belle, séduisante, mais surtout bouillante. Après un moment à se détendre sur l'herbe, en combattant envies et pensées, à lutter contre les désirs de son corps palpitant contre son gré, elle se lève pour rejoindre l'eau.
Elle y plonge, espérant calmer les hardeurs de son corps qui réclame.. elle nage, elle tourne en rond.. Mais rien n'y fait. Même échanger avec ses amis, jouer, rien ne calme ses mamelons tendus et désireux de caresses ainsi que sa taille qui frissonne sous les regards, l'envie qu'on lui serre l'a tant traverser.. et son sexe.. rasé, choyé, ne demande qu'a être comblé, appelant par de douces palpitations le besoin de se remplir de plaisir.
Elle essaie de se calmer, par des méthodes qu'elle espère discrètes, dans un desespoir.. elle colle alors parfois ses seins au muret de la piscine : permettant quelques frottements sur ses tétons.. elle se plonge dans le jacuzzi tout en feignant avoir besoin d'un massage. De divine pression contre ses seins ou son clitoris tout en espérant que personne ne remarque le plaisir qu'elle en tire sans jamais en atteindre la jouissance..
Puis elle craque.
Elle s'élance dans une traversée, longeant chaque bassin à petites enjambées. Le corps réclamant chaque regard, la moindre caresse, une brise de v******e à finir plaquer au mur et bien empalé.. voilà une des nombreuses pensées qui l'envahi. Elle arrive aux toilettes et s'empresse de s'y enfermer : enfin seule. Elle n'attend pas, non, elle n'a fait que ça, elle ne veut plus attendre.
Le monde, elle l'entend, si proche. Des enfants, des parents, des ados, tous, ils continuent a s'amuser, bronzer, manger, se doucher.. ignorant totalement qu'un corps presque nu, trempé, se tient dans ces toilettes partagées aux publics.. des seins nus aux tétons si durs collés à la porte. Un dos cambré, une joue appuyé à cette porte, la langue sortie, parfois les dents mordant sa lèvre.. elle a la main dans sa culotte, son doigt enfoncé en elle.. elle se doigte lentement, comme si elle n'avait pas attendu une demi journée déjà..
Elle glisse son doigt jusqu'à son clitoris, pince l'un de ses tétons et se masturbe en respirant sans retenu contre le bois de la porte.. putain que c'est bon, ce plaisir si facilement atteignable par toute cette frustration cumulé, ce danger qui se trouve derrière la porte : sa voix ne se fait pas entendre, mais les bruits de mouille l'inquiète autant qu'ils l'excitent. Et sa respiration lui semble si forte, certainement dû à sa crainte d'être entendue. Mais c'est trop bon.. elle se masturbe ainsi, quelques secondes, quelques minutes jusqu'à sentir ses jambes tremblées, ses seins frottés au bois, sa respiration saccadées.. elle jouit en léchant presque cette porte en se disant intérieurement être une sacrée perverse...
Et elle rejoindra, après avoir remi correctement son joli maillot deux pièces correctement, ses amis, comme si de rien n'était.. la chatte bouillante et dégoulinante d'un orgasme passé.
C'est allongée sur sa serviette, à la piscine municipale qu'elle se sent brûlante d'envies. Son corps exposé, si finement habillé d'un maillot en deux pièces révélateur. Elle se sent belle, séduisante, mais surtout bouillante. Après un moment à se détendre sur l'herbe, en combattant envies et pensées, à lutter contre les désirs de son corps palpitant contre son gré, elle se lève pour rejoindre l'eau.
Elle y plonge, espérant calmer les hardeurs de son corps qui réclame.. elle nage, elle tourne en rond.. Mais rien n'y fait. Même échanger avec ses amis, jouer, rien ne calme ses mamelons tendus et désireux de caresses ainsi que sa taille qui frissonne sous les regards, l'envie qu'on lui serre l'a tant traverser.. et son sexe.. rasé, choyé, ne demande qu'a être comblé, appelant par de douces palpitations le besoin de se remplir de plaisir.
Elle essaie de se calmer, par des méthodes qu'elle espère discrètes, dans un desespoir.. elle colle alors parfois ses seins au muret de la piscine : permettant quelques frottements sur ses tétons.. elle se plonge dans le jacuzzi tout en feignant avoir besoin d'un massage. De divine pression contre ses seins ou son clitoris tout en espérant que personne ne remarque le plaisir qu'elle en tire sans jamais en atteindre la jouissance..
Puis elle craque.
Elle s'élance dans une traversée, longeant chaque bassin à petites enjambées. Le corps réclamant chaque regard, la moindre caresse, une brise de v******e à finir plaquer au mur et bien empalé.. voilà une des nombreuses pensées qui l'envahi. Elle arrive aux toilettes et s'empresse de s'y enfermer : enfin seule. Elle n'attend pas, non, elle n'a fait que ça, elle ne veut plus attendre.
Le monde, elle l'entend, si proche. Des enfants, des parents, des ados, tous, ils continuent a s'amuser, bronzer, manger, se doucher.. ignorant totalement qu'un corps presque nu, trempé, se tient dans ces toilettes partagées aux publics.. des seins nus aux tétons si durs collés à la porte. Un dos cambré, une joue appuyé à cette porte, la langue sortie, parfois les dents mordant sa lèvre.. elle a la main dans sa culotte, son doigt enfoncé en elle.. elle se doigte lentement, comme si elle n'avait pas attendu une demi journée déjà..
Elle glisse son doigt jusqu'à son clitoris, pince l'un de ses tétons et se masturbe en respirant sans retenu contre le bois de la porte.. putain que c'est bon, ce plaisir si facilement atteignable par toute cette frustration cumulé, ce danger qui se trouve derrière la porte : sa voix ne se fait pas entendre, mais les bruits de mouille l'inquiète autant qu'ils l'excitent. Et sa respiration lui semble si forte, certainement dû à sa crainte d'être entendue. Mais c'est trop bon.. elle se masturbe ainsi, quelques secondes, quelques minutes jusqu'à sentir ses jambes tremblées, ses seins frottés au bois, sa respiration saccadées.. elle jouit en léchant presque cette porte en se disant intérieurement être une sacrée perverse...
Et elle rejoindra, après avoir remi correctement son joli maillot deux pièces correctement, ses amis, comme si de rien n'était.. la chatte bouillante et dégoulinante d'un orgasme passé.
1 年 前