Première sortie en trav
C’était en 2012. Jusqu’ici, je tenais mon jardin bien au secret en me travestissant uniquement à la maison lorsque j’étais seule. Je me regardais dans la glace, je me caressais, me godais, me photographiais et me filmais parfois pour diffuser sur les sites pornos dans l’attente de commentaires flatteurs. Cependant, l’envie de faire des rencontres grandissait et était devenue irrésistible. J’ai pris contact avec une travestie de ma région qui s’appelle Julie. Je la trouvais très sexy, très fine et une allure très féminine. Je voyais ses annonces à l'époque sur Vivastreet depuis un certain temps sans oser franchir le pas jusqu’au jour où je lui ai envoyé un message. Elle m’a répondu rapidement, m’a donné son numéro de téléphone et nous avons pu échanger avant de convenir d’un rendez-vous en extérieur car comme moi elle ne pouvait recevoir.
Le rendez-vous était pris un soir en semaine à 20h30 à l’entrée de Bourges. C’était au mois de septembre et la nuit tombait à cette heure-ci. Je suis me changé sur la route, à quelques kilomètres de notre lieu de rendez-vous. C’était la première fois que je conduisais en travesti, avec des talons, ce qui n’est pas aisé et bien qu’étant extrêmement excitée, je craignais un contrôle routier de nos amis de la maréchaussée.
Je portais une robe moulante très courte qui laissait deviner la lisière de mes bas résille, un string, une veste ajustée, une perruque brune mi- longue et des escarpins avec des talons assez hauts.
J’arrivais enfin au lieu de rendez-vous, un parking situé au bord de la route, juste avant un rond-point, et la voiture stationnée correspondait à celle décrite par Julie. Elle descendit et se présenta côté passager. Je baissais la vitre et elle me félicita pour ma tenue. Elle m’invita à la suivre en voiture. J’ai eu le temps de l’apercevoir dans mes phares avant qu’elle remonte dans son véhicule. Elle avait un manteau, une perruque blonde au carré et portait des bottes à talons qui lui arrivaient sous le genou.
Mon cœur battait très fort, partagé entre le stress et l’excitation. Nous arrivâmes au parking du lac d’Auron et nous nous sommes garées tout au fond à proximité des bosquets.
Elle descendit avant moi et me fis signe de la rejoindre alors qu’elle se dirigeait vers les bosquets. Exercice périlleux car le sol était meuble et mes talons s’enfonçaient. Je fus contraint de marcher sur la pointe des pieds ce qui n’est pas spécialement aisé et encore moins sexy !
Nous avons trouvé un coin tranquille dans la pénombre. Après s’être frotté et caressé l’une contre l’autre je m’agenouillais pour m’occuper d’elle et sortir son sexe qui était déjà bien dur. Elle avait une belle bite, de dimension très honorable et qui bandait très dur. Je ne me fis pas prier pour la sucer et la prendre bien au fond de ma bouche. Elle me prenait la tête pour mieux s’enfoncer par des mouvements de va et vient. Je lui ai proposé de me prendre ce qu’elle accepta volontiers. Je me suis mise debout, les mains en appui contre un arbre et elle m’a pénétrée sans aucune difficulté tellement j’étais ouverte. Je contractais mon cul sur sa bite pour être le plus serré possible. J’ai senti sa liqueur m’envahir la chatte. Elle venait de me féconder, c’était trop bon. Je n’en avait pas assez, j’en voulais encore, encore plus de bite. Je ne résistais pas à la reprendre en bouche pour me délecter des résidus de sa semence. Elle me demanda d’arrêter et me proposa de me sucer à son tour. Bien qu’étant passive, j’acceptais malgré tout et je dois reconnaitre qu’elle excellait dans ce domaine puisqu’elle me fit jouir très rapidement. Elle se releva et m’embrassa à pleine bouche, pour partager mon sperme. Nous étions deux belles salopes dépravées en train de se rouler une pelle bien baveuse lorsque nous avons remarqué que deux voyeurs se branlaient en profitant du spectacle. Je devinais leur silhouette et je leur proposait de se rapprocher . Seul l’un d’entre eux est venu. Je me suis à nouveau agenouillé devant lui pour le prendre en bouche. Il bandait mou mais il a joui très rapidement, m’inondant totalement, j’en avais partout. L’autre est resté à l’écart et je devinais au travers de ses gémissements qu’il avait fini en se branlant. Quel gaspillage. Dommage.
Les mecs sont partis mais Julie avait retrouvé de la vigueur et m’offrit à nouveau sa bite bien dure à sucer. Cette fois, elle a joui dans ma bouche et j’ai tout avalé sans en laissé la moindre goutte.
Le temps de reprendre mes esprits, de me réajuster et de remercier Julie en lui promettant de la revoir, je regagnais ma voiture sans trop voir où je mettais les pieds car la nuit était maintenant bien tombée. J’avais toujours les mêmes difficultés à déambuler avec mes talons et je me disais qu’une paire de ballerines aurait été mieux adaptée.
Il y avait deux voitures de garées à proximité de la mienne et elles étaient occupées. Je n’en menais pas large mais je remontais dans la mienne et je suis parti sans encombre, tellement heureuse et réjouie de ce merveilleux instant que j’espérais pouvoir renouveler…
Le rendez-vous était pris un soir en semaine à 20h30 à l’entrée de Bourges. C’était au mois de septembre et la nuit tombait à cette heure-ci. Je suis me changé sur la route, à quelques kilomètres de notre lieu de rendez-vous. C’était la première fois que je conduisais en travesti, avec des talons, ce qui n’est pas aisé et bien qu’étant extrêmement excitée, je craignais un contrôle routier de nos amis de la maréchaussée.
Je portais une robe moulante très courte qui laissait deviner la lisière de mes bas résille, un string, une veste ajustée, une perruque brune mi- longue et des escarpins avec des talons assez hauts.
J’arrivais enfin au lieu de rendez-vous, un parking situé au bord de la route, juste avant un rond-point, et la voiture stationnée correspondait à celle décrite par Julie. Elle descendit et se présenta côté passager. Je baissais la vitre et elle me félicita pour ma tenue. Elle m’invita à la suivre en voiture. J’ai eu le temps de l’apercevoir dans mes phares avant qu’elle remonte dans son véhicule. Elle avait un manteau, une perruque blonde au carré et portait des bottes à talons qui lui arrivaient sous le genou.
Mon cœur battait très fort, partagé entre le stress et l’excitation. Nous arrivâmes au parking du lac d’Auron et nous nous sommes garées tout au fond à proximité des bosquets.
Elle descendit avant moi et me fis signe de la rejoindre alors qu’elle se dirigeait vers les bosquets. Exercice périlleux car le sol était meuble et mes talons s’enfonçaient. Je fus contraint de marcher sur la pointe des pieds ce qui n’est pas spécialement aisé et encore moins sexy !
Nous avons trouvé un coin tranquille dans la pénombre. Après s’être frotté et caressé l’une contre l’autre je m’agenouillais pour m’occuper d’elle et sortir son sexe qui était déjà bien dur. Elle avait une belle bite, de dimension très honorable et qui bandait très dur. Je ne me fis pas prier pour la sucer et la prendre bien au fond de ma bouche. Elle me prenait la tête pour mieux s’enfoncer par des mouvements de va et vient. Je lui ai proposé de me prendre ce qu’elle accepta volontiers. Je me suis mise debout, les mains en appui contre un arbre et elle m’a pénétrée sans aucune difficulté tellement j’étais ouverte. Je contractais mon cul sur sa bite pour être le plus serré possible. J’ai senti sa liqueur m’envahir la chatte. Elle venait de me féconder, c’était trop bon. Je n’en avait pas assez, j’en voulais encore, encore plus de bite. Je ne résistais pas à la reprendre en bouche pour me délecter des résidus de sa semence. Elle me demanda d’arrêter et me proposa de me sucer à son tour. Bien qu’étant passive, j’acceptais malgré tout et je dois reconnaitre qu’elle excellait dans ce domaine puisqu’elle me fit jouir très rapidement. Elle se releva et m’embrassa à pleine bouche, pour partager mon sperme. Nous étions deux belles salopes dépravées en train de se rouler une pelle bien baveuse lorsque nous avons remarqué que deux voyeurs se branlaient en profitant du spectacle. Je devinais leur silhouette et je leur proposait de se rapprocher . Seul l’un d’entre eux est venu. Je me suis à nouveau agenouillé devant lui pour le prendre en bouche. Il bandait mou mais il a joui très rapidement, m’inondant totalement, j’en avais partout. L’autre est resté à l’écart et je devinais au travers de ses gémissements qu’il avait fini en se branlant. Quel gaspillage. Dommage.
Les mecs sont partis mais Julie avait retrouvé de la vigueur et m’offrit à nouveau sa bite bien dure à sucer. Cette fois, elle a joui dans ma bouche et j’ai tout avalé sans en laissé la moindre goutte.
Le temps de reprendre mes esprits, de me réajuster et de remercier Julie en lui promettant de la revoir, je regagnais ma voiture sans trop voir où je mettais les pieds car la nuit était maintenant bien tombée. J’avais toujours les mêmes difficultés à déambuler avec mes talons et je me disais qu’une paire de ballerines aurait été mieux adaptée.
Il y avait deux voitures de garées à proximité de la mienne et elles étaient occupées. Je n’en menais pas large mais je remontais dans la mienne et je suis parti sans encombre, tellement heureuse et réjouie de ce merveilleux instant que j’espérais pouvoir renouveler…
11 月 前