Chap.7: Claire fait du cinéma
Le surlendemain, je récupère ma voiture chez le garagiste. C’est là que Sophie m’appelle.
- Claire ! hurle t’elle dans mon oreille, C’est Sophie ! Je suis si heureuse de réussir à te joindre !
Quand Sophie est ‘’si heureuse de me joindre’’, c’est qu’elle a quelque chose à me demander. C’est comme ça depuis que nous nous sommes rencontrées, en sixième, au collège.
Ca peut-être un service, ça peut être un peu d’argent pour la dépanner ou bien, comme lorsque nous étions plus jeunes, elle a juste envie de passer un moment avec moi.
De préférence sous une couette.
- Claire, il faut que tu viennes chez moi, c’est urgent ! Question de vie ou de mort !
- Depuis le temps, tu es morte une bonne douzaine de fois, ma chérie…
- Je ne plaisante pas ! J’ai eu un accident !
La voix est à la fois larmoyante et limite hystérique. Je m’incline donc et j’annule mon rendez-vous chez ma gynécologue.
Claire habite dans une maison assez vaste, celle de ses parents décédés. Le jardin est à l’abandon et la façade aurait besoin d’un sérieux coup de peinture. Mais Sophie s’en fout, elle ne voit pas ce genre de choses.
Je sonne.
- Entre ! fait la voix de ma meilleure amie.
Dans le salon, c’est la pagaille la plus complète et je comprends vite pourquoi. Sophie est sur le canapé, à demi allongée. En fait, c’est sa jambe gauche qui est allongée. Et plâtrée de la cheville jusqu’au milieu de la cuisse.
- Qu’est-ce qui t’es arrivée ??
- Un accident bête !
Je ne détaillerai pas ce qui s’est passé, car Sophie a le don, parfois agaçant, de raconter en deux heures ce qui devrait pouvoir prendre dix minutes.
Je l’écoute patiemment tout en préparant du café. J’ai bien fait d’apporter des croissants, car il n’y a strictement rien à grignoter chez elle.
- Et voilà ! Du coup, je ne peux pas assurer mon rôle dans le film ! fait-elle, déconfite.
- Le film ? Quel film ?
- Ah oui, je ne t’en ai pas parlé. Je joue le rôle de Milady dans une version des Trois Mousquetaires !
- C’est super !
- Oui, mais là, c’est compromis…
- J’en suis désolée, mais… que puis-je faire pour t’aider ?
- Ben…. Reprendre le rôle à ma place ! On se ressemble tellement, personne ne s’en apercevra !
C’est vrai qu’on se ressemble physiquement. Au point qu’au lycée on nous prenait pour des sœurs jumelles.
Mais de là à tourner un film à sa place, il y a un fossé.
- Heu… fait-elle, un peu embarrassée, tiens, voilà le scénario. Lis !
Je lis. Alexandre Dumas, s’il lit par-dessus mon épaule, doit faire des loopings dans son caveau. A moins que ce bon vivant (parait-il) ne se marre de cette adaptation.
C’est le scénario d’un film porno, dans lequel les fameux mousquetaires tirent l’épée moins souvent qu’ils ne dégrafent leurs chausses et leurs pourpoints.
Même Richelieu, le terrible Cardinal, relève sa soutane pour permettre à sa nièce et à la fameuse Milady de communier ensemble autour de sa bite.
Bref, Sophie ne risque pas de décrocher l’Oscar avec ce rôle.
Elle a toujours voulu faire du cinéma, mais elle est moins douée pour jouer la comédie que pour l’amour sous touts ses formes. Je le sais, je suis sa meilleure amie, sa presque jumelle.
- Alors ? Qu’en penses-tu ? me demande-t-elle.
- Tu me demandes de te remplacer dans un film porno ?
- Ben…
- C’est payé combien ?
La somme annoncée n’a rien de comparable avec les cachets des actrices connues, mais c’est quand même pas si mal.
- Quand dois-je donner ma réponse ?
- David et Jérémie sont en route pour faire ta connaissance…
J’éclate de rire. Voilà, ça, c’est Sophie.
Je l’ai remplacée à plusieurs reprises (et réciproquement) lorsqu’elle ne pouvait pas sortir avec un garçon. On a également partagé une quantité assez appréciable de bites. Je me dis que ça ne doit pas être trop différent aujourd’hui.
On sonne à la porte. Je vais ouvrir et je me retrouve face à deux hommes. Le premier est un quinquagénaire, cheveux gris, petite moustache à la Clark Gable, plutôt bien conservé. Au fond de ses prunelles brûle une petite lueur que j’ai déjà vue souvent. Ses yeux semblent dire ‘’je suis un obsédé sexuel’’.
L’autre doit avoir la trentaine. Il est beau à damner tout un couvent. Le genre Alain Delon dans ‘’Le Guépard’’. Il est bien bâti et me regarde d’un air plutôt étonné.
- Vous ressemblez à Sophie d’une façon incroyable ! dit-il. On dirait deux sœurs !
- Oui, on nous l’a souvent dit…
Nous sommes dans le salon et j’ai refait un peu de café. Sophie est excitée comme une puce et je dois souvent la faire taire pour ne pas qu’elle fasse rater mon plan.
En deux mots, le producteur-metteur en scène, David Badcock (c’est un pseudonyme, il est né à Perpignan) est dans la mouise. S’il ne trouve pas de remplaçante à Sophie, il doit rembourser l’avance consentie par les banques (s’il s’agit bien d’une banque et non de mafieux reconverti dans le cinéma).
Donc, froidement et sans pitié, je fais monter les enchères. Pendant que je négocie, je n’oublie pas de croiser et décroiser mes jambes devant lui et, bientôt, je sais qu’il est à point.
Jérémie se contente d’observer. Il a l’air d’avoir compris mon manège et d’approuver silencieusement.
- Ma chère ! fait le producteur. Vous me sai gnez à blanc !
- C’est à prendre ou à laisser. Je cours un risque si mon mari découvre que je joue dans un film porno.
En réalité, Romain va être prodigieusement intéressé par mon nouveau petit boulot lorsque je vais lui raconter toute l’histoire.
- Je ne sais même pas si vous êtes une bonne actrice… lâche David, avec un regard en dessous.
- Eh bien, on va faire un bout d’essai ! dis-je.
Je me lève et j’entame un strip-tease à son attention. En réalité, je cherche à séduire le beau Jérémie, mais David n’a pas besoin de le savoir.
David a les yeux qui sortent de leurs orbites, comme le célèbre loup de Tex Avery. Il est à point.
Une fois nue, je m’approche de lui, assis sur le canapé, et je m’agenouille devant. Je défais sa ceinture et dégrafe son pantalon. Puis je tire dessus. Un sexe raide en jaillit. Je le saisis des deux mains et je le branle doucement.
Puis, je lèche délicatement son gland en le regardant dans les yeux. Il est au bord de l’apoplexie. Je l’avale jusqu’à la moitié et il émet une sorte de borborygme indistinct. Puis, je le recrache et ma langue parcourt toute la longueur de sa bite, sans oublier de lécher la partie de ses couilles qui m’est accessible.
Puis, je lui fais ce qui plait à tous mes amants. Je place sa bite entre mes seins et je la fais coulisser en la comprimant un peu. Il est à ma merci, désormais.
Je le suce à nouveau, avalant le plus possible de sa queue. Puis, je le branle tout en suçant et léchant son gland. Il explose dans ma bouche en grognant.
Pendant ce temps, ma chère Sophie a la main dans sa culotte. Sa jambe blessée ne semble pas la gêner pour se caresser la chatte.
Jérémie, sans autre forme de cérémonie, a sorti sa bite et il se branle doucement. Et là, je comprends soudain pourquoi il est la vedette masculine de ce film porno. Je n’ai jamais vu un engin comme le sien.
Je m’essuie la bouche et le menton. David a le regard vitreux et la bite en berne.
- Alors ? dis-je. Est-ce que vous êtes d’accord pour mes conditions ? Suis-je assez… compétente?
- Oh oui ! fait-il, soudain ragaillardi. Je vous engage, ma chère, et à vos conditions !
C’est alors que Jérémie se lève, sa bite à la main.
- Peut-être pourrait-on faire un essai avec l’acteur principal du film, non ? dit-il en me souriant.
- Bien sûr ! dis-je, ravie qu’il demande ce que je souhaitais depuis un bon moment.
- Bien sûr ! renchérit le producteur.
Jérémie se déshabille. Il est vraiment beau de partout et sa bite est… chevaline !
Il s’assied sur le canapé, entre David et Sophie. Il m’invite à le rejoindre. Je monte sur lui et je fais ce dont j’ai envie depuis que je l’ai vu : je lui roule une pelle magistrale.
Nos langues jouent et nos lèvres se dévorent.
Puis il place son sexe à l’entrée de ma chatte trempée et je m’empale avec délice dessus.
Comment décrire l’indescriptible ? Un énorme pieu entre en moi en retroussant mes chairs les plus intimes. C’est une sensation que j’ai connue lorsque j’étais très jeune et que l’entrée de mon vagin était plus étroite. Aujourd’hui, même les membres virils les mieux disposés entrent en moi assez facilement.
Je suis donc étonnée et ravie d’éprouver la même émotion qu’à quin.ze ans, lorsque Mathieu, un voisin d’une trentaine d’années, m’a débarrassée de ma virginité.
Tout en allant et venant sur sa queue, je m’accroche au cou de Jérémie en gémissant. Il me soutient en soulevant mes fesses. Je sens une chaleur énorme m’envahir et je suis couverte de sueur.
David profite de la promiscuité pour pincer mon téton. Sophie caresse ma croupe en m’encourageant. Jérémie ahane en donnant des coups de reins et je pose ma tête sur son épaule après la lui avoir mordue.
Soudain, sans prévenir, il se lève en me soulevant, empalée sur sa bite. Il me baise vigoureusement tout en me promenant dans toute la pièce. Il finit par me reposer sur la table.
Je suis allongée, les jambes pendantes et Jérémie me pilonne tout en caressant et malmenant mes seins.
Puis, dans un râle, il se retire de mon vagin et m’arrose copieusement de son sperme, du ventre jusqu’au menton.
Je reste un moment immobile, le cœur battant. Sophie applaudit et David me félicite.
- Vous êtes la meilleure actrice porno que j’ai vue de toute ma carrière ! me dit-il.
Le regard de Jérémie me confirme qu’il a pris autant de plaisir que moi. Ce sera surement un plaisir de jouer Milady avec un tel D’Artagnan.
Je rentre chez moi, des étoiles dans la tête, en pensant à Jérémie et au tournage, qui commence dans deux jours.
- Claire ! hurle t’elle dans mon oreille, C’est Sophie ! Je suis si heureuse de réussir à te joindre !
Quand Sophie est ‘’si heureuse de me joindre’’, c’est qu’elle a quelque chose à me demander. C’est comme ça depuis que nous nous sommes rencontrées, en sixième, au collège.
Ca peut-être un service, ça peut être un peu d’argent pour la dépanner ou bien, comme lorsque nous étions plus jeunes, elle a juste envie de passer un moment avec moi.
De préférence sous une couette.
- Claire, il faut que tu viennes chez moi, c’est urgent ! Question de vie ou de mort !
- Depuis le temps, tu es morte une bonne douzaine de fois, ma chérie…
- Je ne plaisante pas ! J’ai eu un accident !
La voix est à la fois larmoyante et limite hystérique. Je m’incline donc et j’annule mon rendez-vous chez ma gynécologue.
Claire habite dans une maison assez vaste, celle de ses parents décédés. Le jardin est à l’abandon et la façade aurait besoin d’un sérieux coup de peinture. Mais Sophie s’en fout, elle ne voit pas ce genre de choses.
Je sonne.
- Entre ! fait la voix de ma meilleure amie.
Dans le salon, c’est la pagaille la plus complète et je comprends vite pourquoi. Sophie est sur le canapé, à demi allongée. En fait, c’est sa jambe gauche qui est allongée. Et plâtrée de la cheville jusqu’au milieu de la cuisse.
- Qu’est-ce qui t’es arrivée ??
- Un accident bête !
Je ne détaillerai pas ce qui s’est passé, car Sophie a le don, parfois agaçant, de raconter en deux heures ce qui devrait pouvoir prendre dix minutes.
Je l’écoute patiemment tout en préparant du café. J’ai bien fait d’apporter des croissants, car il n’y a strictement rien à grignoter chez elle.
- Et voilà ! Du coup, je ne peux pas assurer mon rôle dans le film ! fait-elle, déconfite.
- Le film ? Quel film ?
- Ah oui, je ne t’en ai pas parlé. Je joue le rôle de Milady dans une version des Trois Mousquetaires !
- C’est super !
- Oui, mais là, c’est compromis…
- J’en suis désolée, mais… que puis-je faire pour t’aider ?
- Ben…. Reprendre le rôle à ma place ! On se ressemble tellement, personne ne s’en apercevra !
C’est vrai qu’on se ressemble physiquement. Au point qu’au lycée on nous prenait pour des sœurs jumelles.
Mais de là à tourner un film à sa place, il y a un fossé.
- Heu… fait-elle, un peu embarrassée, tiens, voilà le scénario. Lis !
Je lis. Alexandre Dumas, s’il lit par-dessus mon épaule, doit faire des loopings dans son caveau. A moins que ce bon vivant (parait-il) ne se marre de cette adaptation.
C’est le scénario d’un film porno, dans lequel les fameux mousquetaires tirent l’épée moins souvent qu’ils ne dégrafent leurs chausses et leurs pourpoints.
Même Richelieu, le terrible Cardinal, relève sa soutane pour permettre à sa nièce et à la fameuse Milady de communier ensemble autour de sa bite.
Bref, Sophie ne risque pas de décrocher l’Oscar avec ce rôle.
Elle a toujours voulu faire du cinéma, mais elle est moins douée pour jouer la comédie que pour l’amour sous touts ses formes. Je le sais, je suis sa meilleure amie, sa presque jumelle.
- Alors ? Qu’en penses-tu ? me demande-t-elle.
- Tu me demandes de te remplacer dans un film porno ?
- Ben…
- C’est payé combien ?
La somme annoncée n’a rien de comparable avec les cachets des actrices connues, mais c’est quand même pas si mal.
- Quand dois-je donner ma réponse ?
- David et Jérémie sont en route pour faire ta connaissance…
J’éclate de rire. Voilà, ça, c’est Sophie.
Je l’ai remplacée à plusieurs reprises (et réciproquement) lorsqu’elle ne pouvait pas sortir avec un garçon. On a également partagé une quantité assez appréciable de bites. Je me dis que ça ne doit pas être trop différent aujourd’hui.
On sonne à la porte. Je vais ouvrir et je me retrouve face à deux hommes. Le premier est un quinquagénaire, cheveux gris, petite moustache à la Clark Gable, plutôt bien conservé. Au fond de ses prunelles brûle une petite lueur que j’ai déjà vue souvent. Ses yeux semblent dire ‘’je suis un obsédé sexuel’’.
L’autre doit avoir la trentaine. Il est beau à damner tout un couvent. Le genre Alain Delon dans ‘’Le Guépard’’. Il est bien bâti et me regarde d’un air plutôt étonné.
- Vous ressemblez à Sophie d’une façon incroyable ! dit-il. On dirait deux sœurs !
- Oui, on nous l’a souvent dit…
Nous sommes dans le salon et j’ai refait un peu de café. Sophie est excitée comme une puce et je dois souvent la faire taire pour ne pas qu’elle fasse rater mon plan.
En deux mots, le producteur-metteur en scène, David Badcock (c’est un pseudonyme, il est né à Perpignan) est dans la mouise. S’il ne trouve pas de remplaçante à Sophie, il doit rembourser l’avance consentie par les banques (s’il s’agit bien d’une banque et non de mafieux reconverti dans le cinéma).
Donc, froidement et sans pitié, je fais monter les enchères. Pendant que je négocie, je n’oublie pas de croiser et décroiser mes jambes devant lui et, bientôt, je sais qu’il est à point.
Jérémie se contente d’observer. Il a l’air d’avoir compris mon manège et d’approuver silencieusement.
- Ma chère ! fait le producteur. Vous me sai gnez à blanc !
- C’est à prendre ou à laisser. Je cours un risque si mon mari découvre que je joue dans un film porno.
En réalité, Romain va être prodigieusement intéressé par mon nouveau petit boulot lorsque je vais lui raconter toute l’histoire.
- Je ne sais même pas si vous êtes une bonne actrice… lâche David, avec un regard en dessous.
- Eh bien, on va faire un bout d’essai ! dis-je.
Je me lève et j’entame un strip-tease à son attention. En réalité, je cherche à séduire le beau Jérémie, mais David n’a pas besoin de le savoir.
David a les yeux qui sortent de leurs orbites, comme le célèbre loup de Tex Avery. Il est à point.
Une fois nue, je m’approche de lui, assis sur le canapé, et je m’agenouille devant. Je défais sa ceinture et dégrafe son pantalon. Puis je tire dessus. Un sexe raide en jaillit. Je le saisis des deux mains et je le branle doucement.
Puis, je lèche délicatement son gland en le regardant dans les yeux. Il est au bord de l’apoplexie. Je l’avale jusqu’à la moitié et il émet une sorte de borborygme indistinct. Puis, je le recrache et ma langue parcourt toute la longueur de sa bite, sans oublier de lécher la partie de ses couilles qui m’est accessible.
Puis, je lui fais ce qui plait à tous mes amants. Je place sa bite entre mes seins et je la fais coulisser en la comprimant un peu. Il est à ma merci, désormais.
Je le suce à nouveau, avalant le plus possible de sa queue. Puis, je le branle tout en suçant et léchant son gland. Il explose dans ma bouche en grognant.
Pendant ce temps, ma chère Sophie a la main dans sa culotte. Sa jambe blessée ne semble pas la gêner pour se caresser la chatte.
Jérémie, sans autre forme de cérémonie, a sorti sa bite et il se branle doucement. Et là, je comprends soudain pourquoi il est la vedette masculine de ce film porno. Je n’ai jamais vu un engin comme le sien.
Je m’essuie la bouche et le menton. David a le regard vitreux et la bite en berne.
- Alors ? dis-je. Est-ce que vous êtes d’accord pour mes conditions ? Suis-je assez… compétente?
- Oh oui ! fait-il, soudain ragaillardi. Je vous engage, ma chère, et à vos conditions !
C’est alors que Jérémie se lève, sa bite à la main.
- Peut-être pourrait-on faire un essai avec l’acteur principal du film, non ? dit-il en me souriant.
- Bien sûr ! dis-je, ravie qu’il demande ce que je souhaitais depuis un bon moment.
- Bien sûr ! renchérit le producteur.
Jérémie se déshabille. Il est vraiment beau de partout et sa bite est… chevaline !
Il s’assied sur le canapé, entre David et Sophie. Il m’invite à le rejoindre. Je monte sur lui et je fais ce dont j’ai envie depuis que je l’ai vu : je lui roule une pelle magistrale.
Nos langues jouent et nos lèvres se dévorent.
Puis il place son sexe à l’entrée de ma chatte trempée et je m’empale avec délice dessus.
Comment décrire l’indescriptible ? Un énorme pieu entre en moi en retroussant mes chairs les plus intimes. C’est une sensation que j’ai connue lorsque j’étais très jeune et que l’entrée de mon vagin était plus étroite. Aujourd’hui, même les membres virils les mieux disposés entrent en moi assez facilement.
Je suis donc étonnée et ravie d’éprouver la même émotion qu’à quin.ze ans, lorsque Mathieu, un voisin d’une trentaine d’années, m’a débarrassée de ma virginité.
Tout en allant et venant sur sa queue, je m’accroche au cou de Jérémie en gémissant. Il me soutient en soulevant mes fesses. Je sens une chaleur énorme m’envahir et je suis couverte de sueur.
David profite de la promiscuité pour pincer mon téton. Sophie caresse ma croupe en m’encourageant. Jérémie ahane en donnant des coups de reins et je pose ma tête sur son épaule après la lui avoir mordue.
Soudain, sans prévenir, il se lève en me soulevant, empalée sur sa bite. Il me baise vigoureusement tout en me promenant dans toute la pièce. Il finit par me reposer sur la table.
Je suis allongée, les jambes pendantes et Jérémie me pilonne tout en caressant et malmenant mes seins.
Puis, dans un râle, il se retire de mon vagin et m’arrose copieusement de son sperme, du ventre jusqu’au menton.
Je reste un moment immobile, le cœur battant. Sophie applaudit et David me félicite.
- Vous êtes la meilleure actrice porno que j’ai vue de toute ma carrière ! me dit-il.
Le regard de Jérémie me confirme qu’il a pris autant de plaisir que moi. Ce sera surement un plaisir de jouer Milady avec un tel D’Artagnan.
Je rentre chez moi, des étoiles dans la tête, en pensant à Jérémie et au tournage, qui commence dans deux jours.
11 月 前
I’ve watched Delon in Le Cercle Rouge, L’Eclipse, and of course, Le Samourai.
Mon Dieu! It was Mathieu who took your virginity! Claire, I’m sure he has not forgotten you, meow.
Oui, j'ai toujours été fascinée par Milady. C'est un personnage bien plus intéressant que les autres personnages féminins de Dumas par, justement sa perversité mais surtout sa liberté vis à vis de l'ordre (masculin) établi.
Si Dumas vivait aujourd'hui, il nous raconterait comment elle jouait de ses charmes pour arriver à ses fins !