Chap.8: Claire fait du cinéma (suite)
Le tournage était programmé pour la semaine suivante. Il me tardait, autant par curiosité que pour revoir le beau Jérémie.
J’ai raconté toute l’histoire à Romain. Il était amusé et très curieux. Il a voulu assister au tournage, bien sûr, mais les maris (ou les femmes) n’étaient pas les bienvenus.
Il a fallu ruser. Officiellement, Romain est donc le cousin de Sophie et, comme elle a des difficultés pour se déplacer, elle lui a demandé de l’accompagner.
David, le producteur, n’a pas pu refuser, surtout lorsque je lui ai fait mes yeux de biche. Je crois qu’il s’est souvenu d’une certaine petite gâterie et, malgré son expérience de producteur porno, je lui ai laissé un bon souvenir.
Je suis arrivée assez tôt. J’aime bien savoir où je mets les pieds. A ma grande surprise, l’adresse donnée par David est celle d’un très joli château du XVIIème siècle, le château de la Mothe-Fourrée.
Sur le perron, un monsieur très âgé, habillé comme un aristocrate, discute avec un jeune homme d’environ sei.ze ans.
Lorsque je monte les marches, il s’avance vers moi. Je lui tends la main.
- Milady de Winter ! dis-je avec un sourire.
- Enchanté ! J’ai tellement lu de choses sur vous, très chère, j’ai toute l’œuvre de Dumas ! Je suis Jean-Adhémar de la Mothe-Fourrée et voici mon petit-fils, Gabriel !
De près, il fait encore plus vieux que de loin. Il a au moins 85 ans, surement plus. Il prend ma main et la baise. C’est la première fois de ma vie que l’on me fait le baisemain.
Le jeune Gabriel semble timide et il m’adresse simplement un ‘’bonjour’’ du bout des lèvres.
- Tout le monde n’est pas arrivé, m’explique le châtelain. Il n’y a que Gérard, dans le salon.
- Gérard ?
- Oui, euh, enfin, David. C’est son nom, maintenant, mais je n’arrive pas à m’y habituer.
- David Bad Cock… fait Gabriel, en détachant bien les syllabes.
Au moins, ce jeune homme semble comprendre l’anglais.
Le hall d’entrée est superbe. Il est mis en valeur par un très bel escalier et une toile de deux mètres de haut, représentant, justement, un mousquetaire !
- Je vous présente Charles , mon ancêtre. C’était un authentique mousquetaire, bien qu’il ait plus souvent dégainé son pénis que sa rapière. Il est mort jeune, à quarante ans…
- Au combat ?
- Non. Selon la chronique de la Cour, il serait mort de la même façon que le regretté Félix Faure, Président de la République.
- ‘’Il se voulait César et il est mort Pompée’’ déclame Gabriel, sous l’œil amusé du vieil homme.
Gabriel me sourit et dit à son grand-père qu’il doit monter dans sa chambre pour réviser les maths.
Nous entrons dans le salon ou deux hommes conversent. Il s’agit de Gérard, alias David Badcock, et d’un autre homme, dans la quarantaine.
Il s’agit d’un dénommé Jacques. Il est Athos dans le remake improbable que nous allons tourner.
J’interpelle Gérard.
- Est-ce que je peux avoir le scénario ?
- Il n’y a pas vraiment de scénario, répond-il. Je l’invente au fur et à mesure, comme Godard !
Très vite, les autres acteurs sont arrivés. Puis Sophie, aidée par Romain. Je ne dévoilerais pas le scénario parce qu’il n’y en a pas vraiment. Tout est simplement prétexte à des scènes de sexe.
Par contre, je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de techniciens. Ils sont cinq : un preneur de son, deux éclairagistes, deux cameramen. Il y a aussi deux maquilleuses qui aident aussi les acteurs à s’habiller.
Monsieur de la Mothe-Fourrée s’est assis à côté de Sophie. Sous prétexte de s’enquérir de sa jambe cassée, il lui caresse l’autre cuisse. Sophie n’a pas l’air de s’offusquer.
J’assiste tranquillement à la scène entre la Reine et le Cardinal (je parle, bien sûr, des acteurs qui jouent le rôle de ces personnages historiques). Le Cardinal se sacrifie pour donner un héritier au royaume (c’est dans le texte) et baise la Reine par tous les orifices possibles.
La Reine est une belle brune d’environ quarante ans, très typée espagnole. Elle doit aussi avoir une scène avec le Duc de Buckingham, son amant.
Problème, l’acteur qui doit jouer le Duc brille par son absence.
- Ce crétin va nous faire louper le film ! râle David
- C’est pas grave ! clame Sophie depuis la méridienne ou elle assiste au tournage. Romain peut le remplacer.
Je reste sans voix. Elle est gonflée, la copine, de proposer les services de mon homme sans même m’en parler !
Romain s’avance. David le toise et lui demande de se déshabiller. Même s’il n’est pas aussi bien pourvu par Dame Nature que Jérémie-D’Artagnan, Romain séduit tout de suite David par sa virilité. Il est donc accepté pour le rôle.
Je ne m’attendais pas à ce rebondissement et j’assiste avec intérêt à la scène de sexe entre Romain et la Reine. Cette dernière n’est pas indifférente à mon chéri.
- Il est bien mieux que Jules pour ce rôle, lance-t-elle à David.
- Silence ! On tourne !
J’ai omis de dire que tous les acteurs sont en costume d’époque. Enfin, au début…
La Reine est donc vêtue d’une superbe robe en velours et Romain d’une tenue digne d’un lord anglais.
Il pose ses mains sur les épaules de la Reine et, lentement, fait glisser la robe de la belle brune. Puis il la fait tourner afin de se retrouver dans son dos. Elle est nue et lui encore habillé.
- Vous n’êtes qu’une putain ! dit-il. Je vais donc vous baiser comme une putain !
Il pousse la Reine contre un bureau, se débraguette rapidement et en deux coups de reins, s’enfonce dans son vagin. Il la possède brutalement, comme il est dit dans le script, lui mordant, au passage, l’épaule. Elle crie.
Mais Romain (ou le Duc) n’en a cure, il continue à la baiser vigoureusement pendant de longues minutes. Elle essaie de se dégager, mais il la tient bien aux hanches. La Reine jouit bruyamment.
Pour finir, il sort de son vagin et éjacule sur ses reins.
- Parfait ! lance David. Tu es parfait, Romain ! Et toi, Flo, c’était génial ce cri de jouissance ! Belle initiative !
- Ce n’était pas simulé, il m’a vraiment fait jouir ! répond la brune. Et elle se pend au cou de mon Romain pour lui rouler une galoche de remerciement.
Arrive ma grande scène. Milady a été démasquée et elle est interrogée par les trois mousquetaires qui, comme chez Dumas, sont en réalité quatre.
- Espèce de garce ! me lance Athos, avoue que tu es Milady, l’espio.nne et la putain du Cardinal !
- Va au diable ! dis-je, en me dégageant.
Mais, en me dégageant, une partie de ma robe se déchire et reste entre les mains d’Athos.
Je me retrouve dépoitraillée, avec une robe qui glisse dangereusement vers le sol.
- Tudieu ! s’exclame Porthos, quelle belle catin ! Je lui fourrerais bien mon braquemart dans le con!
- En effet, approuve Aramis, elle mérite d’être punie par où elle a péchée !
- J’approuve ! dit D’Artagnan. Mais nous devons tirer au sort qui va la baiser en premier !
S’ensuit une dispute entre les quatre mousquetaires pour savoir celui qui aura l’honneur de mes faveurs le premier. Je prends un air outragé et je tourne désespérément la tête pour trouver une issue pour m’enfuir.
- Puisque nous ne trouvons pas de solution, dit le sage Athos, je propose que nous la baisions ensemble !
- Mais la gueuse n’a que trois trous ! proteste Porthos.
- Nous échangerons les rôles régulièrement ! explique Athos.
Je reste sidérée. Ce n’est pas dans le script. Je jette un œil vers David, mais il incite ses acteurs à continuer.
- C’est bien, c’est bien ! Pas de temps morts ! s’exclame t’il.
Le reste du plateau est assez dissipé. Les deux maquilleuses s’occupent de Romain, assis sur une banquette. L’une est à genoux et le suce tandis que l’autre, debout sur la banquette, lui offre sa chatte à lécher.
Le pseudo Cardinal est à poil et il lèche la chatte de Sophie, toujours alanguie sur sa méridienne, pendant que la Reine lui suce la bite.
Porthos me saisit et, d’un air plus comique que méchant, arrache ce qu’il reste de ma robe.
- Tudieu ! Elle a un cul à damner le Pape !
- Je vais le lui fourrer ! s’exclame Aramis
Porthos s’allonge sur le sol et je m’empale sur sa bite. Comme chez Dumas, c’est un homme massif et grassouillet et il est, de ce fait, plutôt confortable.
Derrière moi, Aramis s’active. Il passe du gel sur mon anus. Je ne sais pas ce que c’est que ce gel, mais il suffit qu’il enfonce son doigt pour que ma fleur s’ouvre miraculeusement. Il enfonce sa bite dans mon cul.
Athos est debout et tient sa bite à la main. Il attrape mes cheveux.
- Tiens ! Suce, putain ! s’exclame t’il théatralement.
Les deux me baisent et m’enculent alternativement, alors que le troisième enfonce sa queue jusqu’à ma gorge. Jamais je n’ai été aussi pleinement possédée par ces trois bites vigoureuses.
Autant dire que je ne sais plus ou je suis. Je voudrais crier mon plaisir mais ma bouche est pleine de la queue d’Athos.
On saisit mes mains. Elles se referment bientôt sur les bites du Cardinal et de D’Artagnan. Je les branle vigoureusement, en cadence avec les coups de queues des mousquetaires.
Je suis désormais une machine à sexe et j'aime ça, même si je ne l'avouerais jamais.
Soudain, Athos quitte ma bouche. Il crache un long jet de sperme sur mon visage. Instinctivement, ma langue récupère les gouttes qui sont autour de ma bouche.
- Tudieu, quelle belle garce ! s’exclame Porthos, alors qu’une autre queue prend ma bouche, celle du Cardinal.
Aramis se tend et, dans un râle, il sort de mon cul et éjacule sur mon dos. Aussitôt, D’Artagnan le remplace. Je le sens passer car Jérémie est bien plus gros.
Le Cardinal, à son tour lâche sa semence. Il gicle dans ma bouche et je manque de m’étouffer avant de recracher une partie de son sperme.
Je profite de ce que ma bouche est libre pour crier et gémir mon plaisir. Je suis comme sur un nuage, une boule de jouissance. Les mousquetaires attendent que j’ai bien pris mon pied, puis D’Artagnan sort de mon cul et Porthos me soulève afin de sortir de mon vagin.
Je suis à genoux, la bouche ouverte, attendant que les deux me couvrent de leur semence. Jamais je ne me suis sentie autant putain qu’aujourd’hui, je suis prête à tout accepter.
Ils éjaculent sur moi.
Je me relève et une des maquilleuses vient essuyer toute cette liqueur masculine qui macule mon corps et mon visage.
Je pensais que c’était terminé, mais pas tout à fait.
Il est un ‘’usage’’ dans les tournages pornographiques : lorsque le tournage est fini ou s’interrompt, les techniciens peuvent profiter des actrices.
En l’occurrence, les techniciens, pantalons aux chevilles, ont décidé de profiter de moi.
Je me sens un peu une prostituée. Au fond, je ne vois guère de différence. J'ai choisi de faire la putain, autant le faire jusqu'au bout. Et cela me procure une émotion étrange que je n'avais jamais ressenti.
J'aime être une putain.
Je me retrouve à genoux, en train de sucer cinq bites. J’ai l’impression de rêver, jamais je n’avais fait ça. Très vite, ces messieurs me positionnent afin de profiter de mes orifices. Je suis repartie pour une séance ou les bites se succèdent dans mon vagin, mon cul et ma bouche.
Je ne suis qu’une boule de plaisir et je participe avec ardeur. Je sens bien que ça les excite, car ils commentent entre eux.
- Putain, qu’elle est bonne !
- Oh oui, c’est la plus grosse nympho que j’ai jamais vu !
La séance est plus rapide qu’avec les acteurs pornos, plus endurants. Je jouis à nouveau, en criant sans complexe mon plaisir et ça excite tellement ces messieurs qu’ils éjaculent juste après.
Les maquilleuses peuvent revenir, j’en ai encore partout…
Comme dans un rêve, je me retrouve plongée dans un bain. La salle de bains est magnifique avec ses glaces anciennes qui renvoient mon image sous tous les angles.
C’est la Reine qui me lave, avec une grosse éponge et un savon-crème très doux.
Elle s’appelle Maria et elle me rejoint rapidement dans la baignoire.
Il n’y avait pas de scène saphique dans le film de David. C’est bien dommage et nous nous employons à remédier à cela.
Je m’assois sur le bord de la baignoire et Maria me lèche la chatte jusqu’à ce que je jouisse à nouveau. Je lui rends la pareille et nous finissons pas quitter la baignoire, l’eau étant presque froide.
- Romain m'a dit qu'il était ton mari ! fait-elle. Ca ne t'ennuie pas qu'il m'ait faite jouir ?
- C'est le contraire qui m'aurait ennuyée ! lui dis-je
David fait irruption dans la salle de bains.
- Tu es simplement merveilleuse ! s’exclame t’il. Tu as devant toi une belle carrière !
- Merci, je vais y réfléchir ! dis-je simplement.
La plupart des acteurs et techniciens sont partis. Je cherche Romain mais j’apprends que Sophie est repartie avec ‘’son galant’’ qui est, en fait, le mien.
- J’ai fait préparer une chambre à votre attention, me glisse Monsieur de la Mothe-Fourrée.
- C’est très gentil ! dis-je et j’accepte son invitation.
La chambre est magnifique, avec des meubles et des tapisseries somptueuses. Sur le lit est posée une belle robe, digne d’une princesse. Je crois que je vais passer une bonne soirée et je compte bien, demain, visiter le château et ses dépendances.
J’ai raconté toute l’histoire à Romain. Il était amusé et très curieux. Il a voulu assister au tournage, bien sûr, mais les maris (ou les femmes) n’étaient pas les bienvenus.
Il a fallu ruser. Officiellement, Romain est donc le cousin de Sophie et, comme elle a des difficultés pour se déplacer, elle lui a demandé de l’accompagner.
David, le producteur, n’a pas pu refuser, surtout lorsque je lui ai fait mes yeux de biche. Je crois qu’il s’est souvenu d’une certaine petite gâterie et, malgré son expérience de producteur porno, je lui ai laissé un bon souvenir.
Je suis arrivée assez tôt. J’aime bien savoir où je mets les pieds. A ma grande surprise, l’adresse donnée par David est celle d’un très joli château du XVIIème siècle, le château de la Mothe-Fourrée.
Sur le perron, un monsieur très âgé, habillé comme un aristocrate, discute avec un jeune homme d’environ sei.ze ans.
Lorsque je monte les marches, il s’avance vers moi. Je lui tends la main.
- Milady de Winter ! dis-je avec un sourire.
- Enchanté ! J’ai tellement lu de choses sur vous, très chère, j’ai toute l’œuvre de Dumas ! Je suis Jean-Adhémar de la Mothe-Fourrée et voici mon petit-fils, Gabriel !
De près, il fait encore plus vieux que de loin. Il a au moins 85 ans, surement plus. Il prend ma main et la baise. C’est la première fois de ma vie que l’on me fait le baisemain.
Le jeune Gabriel semble timide et il m’adresse simplement un ‘’bonjour’’ du bout des lèvres.
- Tout le monde n’est pas arrivé, m’explique le châtelain. Il n’y a que Gérard, dans le salon.
- Gérard ?
- Oui, euh, enfin, David. C’est son nom, maintenant, mais je n’arrive pas à m’y habituer.
- David Bad Cock… fait Gabriel, en détachant bien les syllabes.
Au moins, ce jeune homme semble comprendre l’anglais.
Le hall d’entrée est superbe. Il est mis en valeur par un très bel escalier et une toile de deux mètres de haut, représentant, justement, un mousquetaire !
- Je vous présente Charles , mon ancêtre. C’était un authentique mousquetaire, bien qu’il ait plus souvent dégainé son pénis que sa rapière. Il est mort jeune, à quarante ans…
- Au combat ?
- Non. Selon la chronique de la Cour, il serait mort de la même façon que le regretté Félix Faure, Président de la République.
- ‘’Il se voulait César et il est mort Pompée’’ déclame Gabriel, sous l’œil amusé du vieil homme.
Gabriel me sourit et dit à son grand-père qu’il doit monter dans sa chambre pour réviser les maths.
Nous entrons dans le salon ou deux hommes conversent. Il s’agit de Gérard, alias David Badcock, et d’un autre homme, dans la quarantaine.
Il s’agit d’un dénommé Jacques. Il est Athos dans le remake improbable que nous allons tourner.
J’interpelle Gérard.
- Est-ce que je peux avoir le scénario ?
- Il n’y a pas vraiment de scénario, répond-il. Je l’invente au fur et à mesure, comme Godard !
Très vite, les autres acteurs sont arrivés. Puis Sophie, aidée par Romain. Je ne dévoilerais pas le scénario parce qu’il n’y en a pas vraiment. Tout est simplement prétexte à des scènes de sexe.
Par contre, je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de techniciens. Ils sont cinq : un preneur de son, deux éclairagistes, deux cameramen. Il y a aussi deux maquilleuses qui aident aussi les acteurs à s’habiller.
Monsieur de la Mothe-Fourrée s’est assis à côté de Sophie. Sous prétexte de s’enquérir de sa jambe cassée, il lui caresse l’autre cuisse. Sophie n’a pas l’air de s’offusquer.
J’assiste tranquillement à la scène entre la Reine et le Cardinal (je parle, bien sûr, des acteurs qui jouent le rôle de ces personnages historiques). Le Cardinal se sacrifie pour donner un héritier au royaume (c’est dans le texte) et baise la Reine par tous les orifices possibles.
La Reine est une belle brune d’environ quarante ans, très typée espagnole. Elle doit aussi avoir une scène avec le Duc de Buckingham, son amant.
Problème, l’acteur qui doit jouer le Duc brille par son absence.
- Ce crétin va nous faire louper le film ! râle David
- C’est pas grave ! clame Sophie depuis la méridienne ou elle assiste au tournage. Romain peut le remplacer.
Je reste sans voix. Elle est gonflée, la copine, de proposer les services de mon homme sans même m’en parler !
Romain s’avance. David le toise et lui demande de se déshabiller. Même s’il n’est pas aussi bien pourvu par Dame Nature que Jérémie-D’Artagnan, Romain séduit tout de suite David par sa virilité. Il est donc accepté pour le rôle.
Je ne m’attendais pas à ce rebondissement et j’assiste avec intérêt à la scène de sexe entre Romain et la Reine. Cette dernière n’est pas indifférente à mon chéri.
- Il est bien mieux que Jules pour ce rôle, lance-t-elle à David.
- Silence ! On tourne !
J’ai omis de dire que tous les acteurs sont en costume d’époque. Enfin, au début…
La Reine est donc vêtue d’une superbe robe en velours et Romain d’une tenue digne d’un lord anglais.
Il pose ses mains sur les épaules de la Reine et, lentement, fait glisser la robe de la belle brune. Puis il la fait tourner afin de se retrouver dans son dos. Elle est nue et lui encore habillé.
- Vous n’êtes qu’une putain ! dit-il. Je vais donc vous baiser comme une putain !
Il pousse la Reine contre un bureau, se débraguette rapidement et en deux coups de reins, s’enfonce dans son vagin. Il la possède brutalement, comme il est dit dans le script, lui mordant, au passage, l’épaule. Elle crie.
Mais Romain (ou le Duc) n’en a cure, il continue à la baiser vigoureusement pendant de longues minutes. Elle essaie de se dégager, mais il la tient bien aux hanches. La Reine jouit bruyamment.
Pour finir, il sort de son vagin et éjacule sur ses reins.
- Parfait ! lance David. Tu es parfait, Romain ! Et toi, Flo, c’était génial ce cri de jouissance ! Belle initiative !
- Ce n’était pas simulé, il m’a vraiment fait jouir ! répond la brune. Et elle se pend au cou de mon Romain pour lui rouler une galoche de remerciement.
Arrive ma grande scène. Milady a été démasquée et elle est interrogée par les trois mousquetaires qui, comme chez Dumas, sont en réalité quatre.
- Espèce de garce ! me lance Athos, avoue que tu es Milady, l’espio.nne et la putain du Cardinal !
- Va au diable ! dis-je, en me dégageant.
Mais, en me dégageant, une partie de ma robe se déchire et reste entre les mains d’Athos.
Je me retrouve dépoitraillée, avec une robe qui glisse dangereusement vers le sol.
- Tudieu ! s’exclame Porthos, quelle belle catin ! Je lui fourrerais bien mon braquemart dans le con!
- En effet, approuve Aramis, elle mérite d’être punie par où elle a péchée !
- J’approuve ! dit D’Artagnan. Mais nous devons tirer au sort qui va la baiser en premier !
S’ensuit une dispute entre les quatre mousquetaires pour savoir celui qui aura l’honneur de mes faveurs le premier. Je prends un air outragé et je tourne désespérément la tête pour trouver une issue pour m’enfuir.
- Puisque nous ne trouvons pas de solution, dit le sage Athos, je propose que nous la baisions ensemble !
- Mais la gueuse n’a que trois trous ! proteste Porthos.
- Nous échangerons les rôles régulièrement ! explique Athos.
Je reste sidérée. Ce n’est pas dans le script. Je jette un œil vers David, mais il incite ses acteurs à continuer.
- C’est bien, c’est bien ! Pas de temps morts ! s’exclame t’il.
Le reste du plateau est assez dissipé. Les deux maquilleuses s’occupent de Romain, assis sur une banquette. L’une est à genoux et le suce tandis que l’autre, debout sur la banquette, lui offre sa chatte à lécher.
Le pseudo Cardinal est à poil et il lèche la chatte de Sophie, toujours alanguie sur sa méridienne, pendant que la Reine lui suce la bite.
Porthos me saisit et, d’un air plus comique que méchant, arrache ce qu’il reste de ma robe.
- Tudieu ! Elle a un cul à damner le Pape !
- Je vais le lui fourrer ! s’exclame Aramis
Porthos s’allonge sur le sol et je m’empale sur sa bite. Comme chez Dumas, c’est un homme massif et grassouillet et il est, de ce fait, plutôt confortable.
Derrière moi, Aramis s’active. Il passe du gel sur mon anus. Je ne sais pas ce que c’est que ce gel, mais il suffit qu’il enfonce son doigt pour que ma fleur s’ouvre miraculeusement. Il enfonce sa bite dans mon cul.
Athos est debout et tient sa bite à la main. Il attrape mes cheveux.
- Tiens ! Suce, putain ! s’exclame t’il théatralement.
Les deux me baisent et m’enculent alternativement, alors que le troisième enfonce sa queue jusqu’à ma gorge. Jamais je n’ai été aussi pleinement possédée par ces trois bites vigoureuses.
Autant dire que je ne sais plus ou je suis. Je voudrais crier mon plaisir mais ma bouche est pleine de la queue d’Athos.
On saisit mes mains. Elles se referment bientôt sur les bites du Cardinal et de D’Artagnan. Je les branle vigoureusement, en cadence avec les coups de queues des mousquetaires.
Je suis désormais une machine à sexe et j'aime ça, même si je ne l'avouerais jamais.
Soudain, Athos quitte ma bouche. Il crache un long jet de sperme sur mon visage. Instinctivement, ma langue récupère les gouttes qui sont autour de ma bouche.
- Tudieu, quelle belle garce ! s’exclame Porthos, alors qu’une autre queue prend ma bouche, celle du Cardinal.
Aramis se tend et, dans un râle, il sort de mon cul et éjacule sur mon dos. Aussitôt, D’Artagnan le remplace. Je le sens passer car Jérémie est bien plus gros.
Le Cardinal, à son tour lâche sa semence. Il gicle dans ma bouche et je manque de m’étouffer avant de recracher une partie de son sperme.
Je profite de ce que ma bouche est libre pour crier et gémir mon plaisir. Je suis comme sur un nuage, une boule de jouissance. Les mousquetaires attendent que j’ai bien pris mon pied, puis D’Artagnan sort de mon cul et Porthos me soulève afin de sortir de mon vagin.
Je suis à genoux, la bouche ouverte, attendant que les deux me couvrent de leur semence. Jamais je ne me suis sentie autant putain qu’aujourd’hui, je suis prête à tout accepter.
Ils éjaculent sur moi.
Je me relève et une des maquilleuses vient essuyer toute cette liqueur masculine qui macule mon corps et mon visage.
Je pensais que c’était terminé, mais pas tout à fait.
Il est un ‘’usage’’ dans les tournages pornographiques : lorsque le tournage est fini ou s’interrompt, les techniciens peuvent profiter des actrices.
En l’occurrence, les techniciens, pantalons aux chevilles, ont décidé de profiter de moi.
Je me sens un peu une prostituée. Au fond, je ne vois guère de différence. J'ai choisi de faire la putain, autant le faire jusqu'au bout. Et cela me procure une émotion étrange que je n'avais jamais ressenti.
J'aime être une putain.
Je me retrouve à genoux, en train de sucer cinq bites. J’ai l’impression de rêver, jamais je n’avais fait ça. Très vite, ces messieurs me positionnent afin de profiter de mes orifices. Je suis repartie pour une séance ou les bites se succèdent dans mon vagin, mon cul et ma bouche.
Je ne suis qu’une boule de plaisir et je participe avec ardeur. Je sens bien que ça les excite, car ils commentent entre eux.
- Putain, qu’elle est bonne !
- Oh oui, c’est la plus grosse nympho que j’ai jamais vu !
La séance est plus rapide qu’avec les acteurs pornos, plus endurants. Je jouis à nouveau, en criant sans complexe mon plaisir et ça excite tellement ces messieurs qu’ils éjaculent juste après.
Les maquilleuses peuvent revenir, j’en ai encore partout…
Comme dans un rêve, je me retrouve plongée dans un bain. La salle de bains est magnifique avec ses glaces anciennes qui renvoient mon image sous tous les angles.
C’est la Reine qui me lave, avec une grosse éponge et un savon-crème très doux.
Elle s’appelle Maria et elle me rejoint rapidement dans la baignoire.
Il n’y avait pas de scène saphique dans le film de David. C’est bien dommage et nous nous employons à remédier à cela.
Je m’assois sur le bord de la baignoire et Maria me lèche la chatte jusqu’à ce que je jouisse à nouveau. Je lui rends la pareille et nous finissons pas quitter la baignoire, l’eau étant presque froide.
- Romain m'a dit qu'il était ton mari ! fait-elle. Ca ne t'ennuie pas qu'il m'ait faite jouir ?
- C'est le contraire qui m'aurait ennuyée ! lui dis-je
David fait irruption dans la salle de bains.
- Tu es simplement merveilleuse ! s’exclame t’il. Tu as devant toi une belle carrière !
- Merci, je vais y réfléchir ! dis-je simplement.
La plupart des acteurs et techniciens sont partis. Je cherche Romain mais j’apprends que Sophie est repartie avec ‘’son galant’’ qui est, en fait, le mien.
- J’ai fait préparer une chambre à votre attention, me glisse Monsieur de la Mothe-Fourrée.
- C’est très gentil ! dis-je et j’accepte son invitation.
La chambre est magnifique, avec des meubles et des tapisseries somptueuses. Sur le lit est posée une belle robe, digne d’une princesse. Je crois que je vais passer une bonne soirée et je compte bien, demain, visiter le château et ses dépendances.
11 月 前
Here is a filmed version of the adventures of our heroes!
https://xhamster.com/videos/classic-the-erotic-adventures-of-the-three-musketeers-02-xhpCcZx
Heureusement, personne n'a été victime de ce problème pendant le tournage !
Je pense que je vais visiter ce château des douves jusqu'au grenier !
Un doigt seulement ?