Amélie / comment je suis devenue chienne soumise
Petit retour sur comment je suis devenue une chienne soumise.
J’ai commencée à porter de l’attrait aux relation Maître / soumise au contact de Gwendoline. Pour la petite histoire j’ai fais connaissance au lycée avec Gwendoline qui est devenue ma meilleure amie, nous avons très vite échanger sur des questions de sexualité, Gwendoline était vraiment attirée par la soumission, elle a commencée par me prêté des romans sur le sujet et j’avoue que ceux ci ne me laissait pas sans émois. Durant la lecture je me suis instinctivement identifiée à la place des soumises ce qui eu pour effet de me faire mouiller dans mes petites culottes en cotons de l’époque. Gwendoline mouillait également beaucoup à la lecture de ces romans. De mon coté j’étais encore vierge pour Gwendoline je ne sais pas, elle était plus avancée que moi sur la question et elle avait aussi un petit copain qu’elle invitait régulièrement chez elle. Il lui arrivait aussi de s’enfermer avec lui dans les toilettes du lycée. Ces lecture érotique me troublais et me procurait de l’excitation mais contrairement a Gwendoline je ne me voyais pas vivre ça en réel, cela restait juste un fanstasme dans ma tête...
A l’âge de 17 ans je me suis faites dépucelé par mon petit copain de l’époque, il avait 2 ans de plus que moi je m’entendais vraiment bien avec lui. Mes fantasme de soumission était sortie de ma tête. Je rêvais plutôt d’une vie de couple tout ce qu’il y a de plus classique. Ma vie sexuelle n’en restait pas moin très active, oui je l’admet j’aimais le sexe et je l’aime toujours. Mon copain de l’époque et moi pouvions avoir trois a quatre rapport sexuelle par jour. Je prenais aussi beaucoup de plaisir a le sucer et le faire éjaculer sur mon visage. J’aimais beaucoup le sucer dans les toilettes des bars ou cachée dans des endroit public. Notre relation à durée deux ans, jusqu’a ce qu’il a commencer à vouloir me sodomiser. Au début je ne me suis pas refuser mais cela me faisait mal et je n’y prenait aucun plaisir. Je me suis dit qu’avec un peut de temps et beaucoup de gel cette pratique finirait par me satisfaire, mais ça ne s’est pas passé comme ça, il était bien membré et mon trou bien trop petit pour le recevoir de façon agréable. A chaque fois j’avais mal et lui de son coté ne voulait rien savoir, c’est par là qu’il voulait me prendre. J’ai fini par rompre avec lui et par la suite me refuser à toute tentative de sodomie avec mes amants.
A 19 ans je suis partit sur Paris faire une école de commerce. Concernant ma sexualité j’étais libre et j’ai collectionnée quelques amants. Je devais avoir 21 ans quand un de mes amants plus âgé que moi à voulu m’emmener dans un établissement échangiste, je ne lui ai pas refusé mais une seule condition qu’on respecte mon choix de ne pas pratiquer la sodomie. Il m’a rassuré et m’a promis que je garderais mon petit trou intact. Je me suis retrouver dans une ambiance cosy, les couples présent était très gentil, on m’a payé quelques verre d’alccol et mon amant m’a conduite dans une pièce isolée. On a decendu un escalier et traversé un grand et épais rideau rouge. Dans la pièce il y avait un large matelas sur le sol, mon amant ma privé de la vue avec un grand foulard et j’ai été positionner a genoux avec les jambes grandes écartées au milieu de la pièce. J’ai ressentis une étrange angoisse mélée a de l’excitation, les lectures érotique que Gwendoline me passait à l’époque ont refait surface dans ma tête et je me suis mise a mouiller dans ma culotte. J’ai commencé a ettendre du bruit autour de moi, l’homme qui m’avait conduite ici m’avait déjà a moitié déshabillé, je portais juste un soutien gorge et ma culotte. Des mains ont commencées a tripoter mes seins, mon soutien gorge a été retirer et mes tétons ont été aspirés et sucer, des hommes des femmes ? je ne sais pas j’avais les yeux bandés... Je me liquéfais dans ma culotte et je sentais ma chatte s’ouvrir, c’était dérangeant et en même temps très agréable. Des menbres ont pris places dans mes mains, j’ai commencer a les masturber, ils étaient bien durs. J’ai pris l’initiative d’en prendre un dans ma bouche et plusieurs autres sont venus s’y introduire. En même temps des doigts me caressaient dans ma culotte. Très vite je me suis retrouvée alongée sur le matelas, le foulard m’à été retiré, nous étions plusieur couple plus ou moins jeune. J’ai sucer des bites, lécher des chatte, on m’a baiser et j’ai jouie plusieur fois. J’en garde encore un très bon souvenir, c’était la première fois pour moi à plusieur. De retour au bar j’ai bue encore deux verre d’alcool, une fille ma léchée la chatte et j’ai jouie en public, je n’ai pas manquer de lui rendre l’appareil. Ensuite mon amant m’a raccompagné chez moi, c’était le petit matin et j’étais comblée. Malgrès tout un dilèmne se posait dans ma tête, devais je me comporter comme une chienne avide de sexe ou garder un place plus respectable au yeux de tous en formant un gentil couple sans histoire ?...
Un jour j’ai parlée à mon amant (celui qui m’a fait connaître le plaisir des clubs échangistes) des lectures que j’avais eu plus jeune et de ce fantasme de soumission qui me revenait. Il ne m’a pas décourager à tenter l’expérience et je me suis vite retrouver dans un nouveau lieu. Une fois à l’intérieur mon amant m’a sugéré de passer un colier en cuir avec une laisse, mais je l’ai refusé je lui ai dis que je préférais rester spectatrice avant de décider de quoi que ce soit. J’y ai vu une femme nue les bras attaché au plafond avec des chaines et une barre d’écartement fixée aux chevilles, ses seins, son ventre, son dos, ses fesses, ses cuisses était striés, elle avait été mise a disosition et des hommes se portait vonlontaire pour la travailler avec une badines fine. Elle prenait de plaisir à être affichée et flagelé comme ça en public, sa chatte était trempée et je sentais la mienne mouiller dans ma culotte. Mon amant m’a offert un verre. Autour de nous il y avait aussi des hommes a quatre patte qui servaient de siège à des femmes dominatrices. J’ai pu observé que certains portaient une cage de chastetée et que d’autre avait de toute petites queues minuscule. L’ambiance était bonne et je ne me sentais pas en insécurité, j’ai également vu un homme se faire sodomisé avec un gode énorme par une Dominatrice, il était attaché de façon a ne pas avoir d’autre choix que de se soumettre aux désir de cette femme, il bandait fort. Le spectacle me faisait de l’effet et l’alcool que j’avais bue me montait à la tête. J’ai été traversée par cette étrange excitation que je ressentais quand je lisais les romans que Gwendoline me passait, ma culotte était trempée et mes tétons commençaient a me faire légèrement mal, il était durci et très senssible au frotement du tissus de ma robe qui les recouvrais. Mon amant s’est rendu compte de mon excitation et il a commencer a baisser ma robe. Je ne lui ai opposé aucune resistance mais au fond de moi j’étais terriblement angoissée, j’étais partagé entre l’envie de m’enfuir ou d’être mise a disposition des dominateurs préssent. Mon amant m’a fait mettre a quattre patte. Jusque là personne ne pouvait deviner de quel rang j’appartenais (soumise ou dominatrice) maintenant ça devait être plus clair pour eux... J’ai été invitée a marcher à quatre patte jusqu’a la femme attachée et flagelée. Je ne réfléchissais plus, c’était comme si mon cerveau c’était déconnecté. J’obéissais sous la protection de mon amant. Je me suis retrouvée entre les jambes de la femme attachée. J’avis la tête baissée et je me souviens encore de la flaque qui marquais le sol entre ses jambes. Un homme m’a aggripé les cheveux et j’ai du lécher la chatte de la femme. J’obeissais comme téléguidé, l’excitation me tordait le ventre et s’en était presque douloureux. Je me tenais a genous et je m’appliquais a donner des coup de langue a cette chatte trempée, elle était toute lisse, le clitoris formait une petite boule toute dur. Instinctivement je me suis mise à le titiller du bout de ma langue, les plaintes de plaisir de la femme m’excitait encore d’avantage comme si c’était possible. Ma culotte à été déchirée, j’ai sentis des mains me prendre par la taille. J’ai été parcourue d’un frisson quand j’ai sentis un sexe dur se présenter entre mes fesses, j’ai entendu mon amant dire «pas de sodomie» et je me suit sentis reconnaîssante envers la courtoisie de cet homme qui se trouvais derrière moi de respecter mon choix. A la place j’ai eu droit a la cravache sur mes fesses. Les premiers coup n’était pas vraiment agréable mais bien plus supportable que s’il avait enfoncé son gros membre dans mon petit trou, ensuite ça s’est mis à me chauffer et se mélanger a mon excitation. Je ne pouvais pas voir ce qui ce passait derrière moi mais je restais a l’affut, c’est comme si mes sens était déculpés, j’ai entendu le son d’un briquet et on m’a reagripper les cheveux pour bien repositionner mon visage entre les jambes de la femme. Je me suis remise a la lécher, un autre homme s’était positionné derrière elle pour jouer de son martinet. Maintenant j’avais les fesse en feux et je sentais ma chatte couler sur l’interieur de mes cuisses. C’était la première fois que je mouillais autant, je me ****lle aussi que tout était très lent, le temps me semblait au ralentis et en même temps je n’avais pas envie que ça s’arrête. Ca s’est mis a me piquer sur le dos, drôle de senssation, un mélange de piqure et de brûlure. Puis un son de vibration, le vribreur a été posé furtivement sur ma chatte et retirer a plusieur reprise, j’étais vraiment sous pression, j’avais besoins de jouir pour me soulager mais les vivration sur ma chatte était trop furtive pour faire exploser mon orgasme. Je m’appliquais a lécher la chatte de la femme qui m’était offerte, mon excitation montait de plus en plus et j’aspirais le clitoris de la femme en même temps que mon ventre se contractait, je sentais l’orgasme en moi pret a exploser mais a chaque fois l’homme qui maniait le vibro le retirait avant que mon plaisir explose repoussant a chaque fois la limite jusqu’au moment ou tout c’est déclanché, j’ai aspiré fort le clitoris de la femme dans un de mes contraction plus violante que les autres, elle a jouie en me giclant a la figure en même temps que mon orgasme me traversait violemment. J’ai finie recroquevillée sur le sol impuissante sous des spasmes a répétition qui me tordaient le bas du ventre... Une fois mes esprits retrouvés j’ai été invité a rejoindre le bar, mon amant m’à remis ma robe, ma culotte et mon soutien gorge avaient définitivement disparu. De retour chez moi je me suis sentis bien et je me suis fait couler un bain chaud. Je ressentais un sentiment de culpabilité de m’être laisser entraînée si facilement et en même temps une grande satisfaction et un bien être indéfinissable.
Avec cet amant je vivais une espèce d’agréable décente vers les plaisirs inavouable et en même temps en petite voix a l’interieur de moi me disait que ce n’était pas raisonnable qu’il fallait que je me reprenne. J’ai cédé à la petite voix et j’ai céssé de le voir.
J’ai rencontrer d’autres hommes avec qui j’essayais de vivre l’amour parfait mais quelque par je n’arrivais pas à être pleinement satisfaite, alors je me suis reconcentrer sur ma vie professionnelle. Mon dernier amant (normal) que j’ai eu je l’ai quitée après la période covid. Ce confinnement avec lui m’a semblé un enfer, il passait ses journée sur l’ordinateur à jouer en ligne et je me suis vraiment sentis délaissée. Je sentais que les démons que j’avais enterrer profondément en moi ne demandaient qu’a ressourtir. Je ne pouvais pas vivre comme ça, faire semblant d’être heureuse...
A la fin du confinement j’ai négocier auprès de la société ou je travaillais pour avoir une place dans ma région d’origine, j’ai quitté Paris repris un petit meublé en centre ville et j’ai repris contact avec Gwendoline. Je l’ai retrouvée après toute ces année en couple avec son Maître, contrairement a moi elle n’avait jamais renoncée a son destin, enterrée ses démons et je la retrouvais heureuse et épanouie, dans sa tenue de soumise avec le collier en métal quelle porte fièrement fixé autout de son cou...
J’ai beaucoup discuter avec Gwendoline sur sa relation, j’étais contente d’avoir retrouvé ma confidante. Elle m’a fait venir chez elle et j’ai fais la connaissance de son Maître, au vu de mes questionnements j’ai eu droit à une proposition, mais je ne me sentais pas encore vraiment prête et en même temps je sentais cette excitation au fond de mes entrailles. Il faut dire aussi que je n’avais pas envie de trop m’immiscer dans leur couple et dans ma tête je prévoyais de me trouver un Maître pour me faire vibrer de nouveau.
La proposition que m’avait fait le Maître de Gwendoline était de m’offrir une initiation et si cela me convenait alors il commencerait mon éducation. J’avais déjà eu une expérience de soumission en club qui ne m’avais pas déplu mais ça avais juste été une fois et j'avais été emballée par mon excitation alors même si je désirais me diriger sur ce genre de relation je ne savais pas si cela me conviedrait sur la longueur. La Maître de Gwendoline a su trouver les mot pour me rassurer et aussi il m’a laissée le temps pour prendre ma décision tout en me mettant en garde que si je décidais de vivre comme ça alors il me faudrait apprendre a être bien obéissante. Mais aussi que comme pour tout il y aurait toujours une porte de sortie pour moi. Il ma dit que si je désirais cette initiation avec lui et quand je me sentirais prête pour ça il me suffirai de me procurer un collier de soumission et de venir lui offrir avec ma demande rédigée par écrit. Sans cette offrande et la demande rien ne se passerai entre nous.
Il m’a fallut six mois pour prendre ma décision, bien sûr j’en avais longuement discutée avec Gwendoline et cela ne semblait pas la déranger de me retrouver soumise a ses coté entre les mains et sous la protection de son Maître. Elle m’a aussi rassurer sur le fait que pourrais trouver plus facilement celui qui deviendrait mon Maître une fois que j’aurais intégré le cercle et aussi que leur mot d’ordre était le respect des désirs d’autrui et que je restais libre a tout moment de quitter le cercle.
Quand j’ai apporté la collier et ma demande par écrit, le Maître de Gwendoline l’a accepté, il s’est absenté un moment et il est revenu avec une chemise en carton rouge qui contenait un questionnaire sur les pratiques que je voudrais essayer et celle que je refuserais, il m’a dit de prendre tout mon temps pour remplir ce questionnaire et il m’a donner un rendez vous avec délais d’une semaine pour que je vienne le rejoindre avec le questionnaire. Une semaine après j’étais au rendez vous dans un état de stress maximum. Concernant l’initiation elle a bien eu lieu et Gwendoline la racontée dans un billet en ligne sur ce blog, vous pourrez le retrouver il s’intitule «Séance d’initiation».
Suite a cette initiation j’ai donnée mon accord pour continuer. J’ai donc commencé mon éducation de soumise avec le Maître de Gwendoline. Un autre homme était souvent invité lors des jeux que nous faisions, il assistait le Maître ce qui fait que nous nous sommes rapproché de plus en plus, aussi il avait souvent l’occasion de me promener en laisse, je le suivais a quatre pattes comme une bonne chienne, il me sortait toujours avec la laisse pour que je fasse mes besoins dans le jardin en sa présence pendant qu’il fumait un ciguarette avec un air détaché. Il me demandée si j’accepterais d’être sa soumise lors d’un jeu ou je devais porter une ceinture de chasteté pendant 30 jours, le Maître de Gwendoline lui avait remis les clés de celle ci et il devait passer me voir tout les soir pour me deverouiller afin que je puisse faire ma toilette intime, il devait également me surveiller tout le temps que j’étais déverouillée pour ne pas que j’en profite pour m’introduire quoi que ce soit dans la chatte. J’ai acceptée sa demande et cela fait maintenant un peut plus d’***** que je suis une chienne soumise sous contrat. Le Maître de Gwendoline veille toujours au bon déroulement de mon éducation et j’ai fait taire la petite voix qui me disait de rester une fille respectable sous tout rapport, à l’heure d’aujourd’hui j’assume pleinement mon statut de chienne soumise obéissante aux services des Maîtres.
Voila pour mon histoire, j’ai essayé de ne pas être trop longue mais je pense que je ne pouvais pas faire plus court et si vous m’avez lu jusqu’ici alors vous en savez plus sur moi.
Maître m’a demandé de me décrire par écrit, une description détaillée comme soumise Gwendoline sait le faire, je travaille dessus Maître doit la valider avant qu’elle ne soit publier et ça fait 3 fois qu’il me la fait refaire, je ne rentre pas assez dans les détails a son goût. Je dois me décrire physiquement et aussi (la c’est plus compliqué) psychologiquement. Donc voila le prochain billet me concernant qui sera publier ici. Aussi si vous avez des idées ou des souhaits pour mes futurs billets n’hésitez pas à en faire part dans les commentaires.
Concernant le fautes d'orthographe je suis désolé mais j'ai écris ce billet en direct et je ne me suis pas relue. Et puis après tout dorénavant je me destine a être une soumise un peu bêbête et l'orthographe n'est sûrement pas la qualité première que l'on attend de moi dorénavant (lol).
Je tiens également à vous dire qu'en lisant mes billet vous contribuez aussi d'une certaine manière a ren****** mon éducation de chienne soumise sur un point psychologique. J'avoue que me dévoiler publiquement ne me laisse pas totalement indifférente.
Amélie chienne soumise en cour de formation.
J’ai commencée à porter de l’attrait aux relation Maître / soumise au contact de Gwendoline. Pour la petite histoire j’ai fais connaissance au lycée avec Gwendoline qui est devenue ma meilleure amie, nous avons très vite échanger sur des questions de sexualité, Gwendoline était vraiment attirée par la soumission, elle a commencée par me prêté des romans sur le sujet et j’avoue que ceux ci ne me laissait pas sans émois. Durant la lecture je me suis instinctivement identifiée à la place des soumises ce qui eu pour effet de me faire mouiller dans mes petites culottes en cotons de l’époque. Gwendoline mouillait également beaucoup à la lecture de ces romans. De mon coté j’étais encore vierge pour Gwendoline je ne sais pas, elle était plus avancée que moi sur la question et elle avait aussi un petit copain qu’elle invitait régulièrement chez elle. Il lui arrivait aussi de s’enfermer avec lui dans les toilettes du lycée. Ces lecture érotique me troublais et me procurait de l’excitation mais contrairement a Gwendoline je ne me voyais pas vivre ça en réel, cela restait juste un fanstasme dans ma tête...
A l’âge de 17 ans je me suis faites dépucelé par mon petit copain de l’époque, il avait 2 ans de plus que moi je m’entendais vraiment bien avec lui. Mes fantasme de soumission était sortie de ma tête. Je rêvais plutôt d’une vie de couple tout ce qu’il y a de plus classique. Ma vie sexuelle n’en restait pas moin très active, oui je l’admet j’aimais le sexe et je l’aime toujours. Mon copain de l’époque et moi pouvions avoir trois a quatre rapport sexuelle par jour. Je prenais aussi beaucoup de plaisir a le sucer et le faire éjaculer sur mon visage. J’aimais beaucoup le sucer dans les toilettes des bars ou cachée dans des endroit public. Notre relation à durée deux ans, jusqu’a ce qu’il a commencer à vouloir me sodomiser. Au début je ne me suis pas refuser mais cela me faisait mal et je n’y prenait aucun plaisir. Je me suis dit qu’avec un peut de temps et beaucoup de gel cette pratique finirait par me satisfaire, mais ça ne s’est pas passé comme ça, il était bien membré et mon trou bien trop petit pour le recevoir de façon agréable. A chaque fois j’avais mal et lui de son coté ne voulait rien savoir, c’est par là qu’il voulait me prendre. J’ai fini par rompre avec lui et par la suite me refuser à toute tentative de sodomie avec mes amants.
A 19 ans je suis partit sur Paris faire une école de commerce. Concernant ma sexualité j’étais libre et j’ai collectionnée quelques amants. Je devais avoir 21 ans quand un de mes amants plus âgé que moi à voulu m’emmener dans un établissement échangiste, je ne lui ai pas refusé mais une seule condition qu’on respecte mon choix de ne pas pratiquer la sodomie. Il m’a rassuré et m’a promis que je garderais mon petit trou intact. Je me suis retrouver dans une ambiance cosy, les couples présent était très gentil, on m’a payé quelques verre d’alccol et mon amant m’a conduite dans une pièce isolée. On a decendu un escalier et traversé un grand et épais rideau rouge. Dans la pièce il y avait un large matelas sur le sol, mon amant ma privé de la vue avec un grand foulard et j’ai été positionner a genoux avec les jambes grandes écartées au milieu de la pièce. J’ai ressentis une étrange angoisse mélée a de l’excitation, les lectures érotique que Gwendoline me passait à l’époque ont refait surface dans ma tête et je me suis mise a mouiller dans ma culotte. J’ai commencé a ettendre du bruit autour de moi, l’homme qui m’avait conduite ici m’avait déjà a moitié déshabillé, je portais juste un soutien gorge et ma culotte. Des mains ont commencées a tripoter mes seins, mon soutien gorge a été retirer et mes tétons ont été aspirés et sucer, des hommes des femmes ? je ne sais pas j’avais les yeux bandés... Je me liquéfais dans ma culotte et je sentais ma chatte s’ouvrir, c’était dérangeant et en même temps très agréable. Des menbres ont pris places dans mes mains, j’ai commencer a les masturber, ils étaient bien durs. J’ai pris l’initiative d’en prendre un dans ma bouche et plusieurs autres sont venus s’y introduire. En même temps des doigts me caressaient dans ma culotte. Très vite je me suis retrouvée alongée sur le matelas, le foulard m’à été retiré, nous étions plusieur couple plus ou moins jeune. J’ai sucer des bites, lécher des chatte, on m’a baiser et j’ai jouie plusieur fois. J’en garde encore un très bon souvenir, c’était la première fois pour moi à plusieur. De retour au bar j’ai bue encore deux verre d’alcool, une fille ma léchée la chatte et j’ai jouie en public, je n’ai pas manquer de lui rendre l’appareil. Ensuite mon amant m’a raccompagné chez moi, c’était le petit matin et j’étais comblée. Malgrès tout un dilèmne se posait dans ma tête, devais je me comporter comme une chienne avide de sexe ou garder un place plus respectable au yeux de tous en formant un gentil couple sans histoire ?...
Un jour j’ai parlée à mon amant (celui qui m’a fait connaître le plaisir des clubs échangistes) des lectures que j’avais eu plus jeune et de ce fantasme de soumission qui me revenait. Il ne m’a pas décourager à tenter l’expérience et je me suis vite retrouver dans un nouveau lieu. Une fois à l’intérieur mon amant m’a sugéré de passer un colier en cuir avec une laisse, mais je l’ai refusé je lui ai dis que je préférais rester spectatrice avant de décider de quoi que ce soit. J’y ai vu une femme nue les bras attaché au plafond avec des chaines et une barre d’écartement fixée aux chevilles, ses seins, son ventre, son dos, ses fesses, ses cuisses était striés, elle avait été mise a disosition et des hommes se portait vonlontaire pour la travailler avec une badines fine. Elle prenait de plaisir à être affichée et flagelé comme ça en public, sa chatte était trempée et je sentais la mienne mouiller dans ma culotte. Mon amant m’a offert un verre. Autour de nous il y avait aussi des hommes a quatre patte qui servaient de siège à des femmes dominatrices. J’ai pu observé que certains portaient une cage de chastetée et que d’autre avait de toute petites queues minuscule. L’ambiance était bonne et je ne me sentais pas en insécurité, j’ai également vu un homme se faire sodomisé avec un gode énorme par une Dominatrice, il était attaché de façon a ne pas avoir d’autre choix que de se soumettre aux désir de cette femme, il bandait fort. Le spectacle me faisait de l’effet et l’alcool que j’avais bue me montait à la tête. J’ai été traversée par cette étrange excitation que je ressentais quand je lisais les romans que Gwendoline me passait, ma culotte était trempée et mes tétons commençaient a me faire légèrement mal, il était durci et très senssible au frotement du tissus de ma robe qui les recouvrais. Mon amant s’est rendu compte de mon excitation et il a commencer a baisser ma robe. Je ne lui ai opposé aucune resistance mais au fond de moi j’étais terriblement angoissée, j’étais partagé entre l’envie de m’enfuir ou d’être mise a disposition des dominateurs préssent. Mon amant m’a fait mettre a quattre patte. Jusque là personne ne pouvait deviner de quel rang j’appartenais (soumise ou dominatrice) maintenant ça devait être plus clair pour eux... J’ai été invitée a marcher à quatre patte jusqu’a la femme attachée et flagelée. Je ne réfléchissais plus, c’était comme si mon cerveau c’était déconnecté. J’obéissais sous la protection de mon amant. Je me suis retrouvée entre les jambes de la femme attachée. J’avis la tête baissée et je me souviens encore de la flaque qui marquais le sol entre ses jambes. Un homme m’a aggripé les cheveux et j’ai du lécher la chatte de la femme. J’obeissais comme téléguidé, l’excitation me tordait le ventre et s’en était presque douloureux. Je me tenais a genous et je m’appliquais a donner des coup de langue a cette chatte trempée, elle était toute lisse, le clitoris formait une petite boule toute dur. Instinctivement je me suis mise à le titiller du bout de ma langue, les plaintes de plaisir de la femme m’excitait encore d’avantage comme si c’était possible. Ma culotte à été déchirée, j’ai sentis des mains me prendre par la taille. J’ai été parcourue d’un frisson quand j’ai sentis un sexe dur se présenter entre mes fesses, j’ai entendu mon amant dire «pas de sodomie» et je me suit sentis reconnaîssante envers la courtoisie de cet homme qui se trouvais derrière moi de respecter mon choix. A la place j’ai eu droit a la cravache sur mes fesses. Les premiers coup n’était pas vraiment agréable mais bien plus supportable que s’il avait enfoncé son gros membre dans mon petit trou, ensuite ça s’est mis à me chauffer et se mélanger a mon excitation. Je ne pouvais pas voir ce qui ce passait derrière moi mais je restais a l’affut, c’est comme si mes sens était déculpés, j’ai entendu le son d’un briquet et on m’a reagripper les cheveux pour bien repositionner mon visage entre les jambes de la femme. Je me suis remise a la lécher, un autre homme s’était positionné derrière elle pour jouer de son martinet. Maintenant j’avais les fesse en feux et je sentais ma chatte couler sur l’interieur de mes cuisses. C’était la première fois que je mouillais autant, je me ****lle aussi que tout était très lent, le temps me semblait au ralentis et en même temps je n’avais pas envie que ça s’arrête. Ca s’est mis a me piquer sur le dos, drôle de senssation, un mélange de piqure et de brûlure. Puis un son de vibration, le vribreur a été posé furtivement sur ma chatte et retirer a plusieur reprise, j’étais vraiment sous pression, j’avais besoins de jouir pour me soulager mais les vivration sur ma chatte était trop furtive pour faire exploser mon orgasme. Je m’appliquais a lécher la chatte de la femme qui m’était offerte, mon excitation montait de plus en plus et j’aspirais le clitoris de la femme en même temps que mon ventre se contractait, je sentais l’orgasme en moi pret a exploser mais a chaque fois l’homme qui maniait le vibro le retirait avant que mon plaisir explose repoussant a chaque fois la limite jusqu’au moment ou tout c’est déclanché, j’ai aspiré fort le clitoris de la femme dans un de mes contraction plus violante que les autres, elle a jouie en me giclant a la figure en même temps que mon orgasme me traversait violemment. J’ai finie recroquevillée sur le sol impuissante sous des spasmes a répétition qui me tordaient le bas du ventre... Une fois mes esprits retrouvés j’ai été invité a rejoindre le bar, mon amant m’à remis ma robe, ma culotte et mon soutien gorge avaient définitivement disparu. De retour chez moi je me suis sentis bien et je me suis fait couler un bain chaud. Je ressentais un sentiment de culpabilité de m’être laisser entraînée si facilement et en même temps une grande satisfaction et un bien être indéfinissable.
Avec cet amant je vivais une espèce d’agréable décente vers les plaisirs inavouable et en même temps en petite voix a l’interieur de moi me disait que ce n’était pas raisonnable qu’il fallait que je me reprenne. J’ai cédé à la petite voix et j’ai céssé de le voir.
J’ai rencontrer d’autres hommes avec qui j’essayais de vivre l’amour parfait mais quelque par je n’arrivais pas à être pleinement satisfaite, alors je me suis reconcentrer sur ma vie professionnelle. Mon dernier amant (normal) que j’ai eu je l’ai quitée après la période covid. Ce confinnement avec lui m’a semblé un enfer, il passait ses journée sur l’ordinateur à jouer en ligne et je me suis vraiment sentis délaissée. Je sentais que les démons que j’avais enterrer profondément en moi ne demandaient qu’a ressourtir. Je ne pouvais pas vivre comme ça, faire semblant d’être heureuse...
A la fin du confinement j’ai négocier auprès de la société ou je travaillais pour avoir une place dans ma région d’origine, j’ai quitté Paris repris un petit meublé en centre ville et j’ai repris contact avec Gwendoline. Je l’ai retrouvée après toute ces année en couple avec son Maître, contrairement a moi elle n’avait jamais renoncée a son destin, enterrée ses démons et je la retrouvais heureuse et épanouie, dans sa tenue de soumise avec le collier en métal quelle porte fièrement fixé autout de son cou...
J’ai beaucoup discuter avec Gwendoline sur sa relation, j’étais contente d’avoir retrouvé ma confidante. Elle m’a fait venir chez elle et j’ai fais la connaissance de son Maître, au vu de mes questionnements j’ai eu droit à une proposition, mais je ne me sentais pas encore vraiment prête et en même temps je sentais cette excitation au fond de mes entrailles. Il faut dire aussi que je n’avais pas envie de trop m’immiscer dans leur couple et dans ma tête je prévoyais de me trouver un Maître pour me faire vibrer de nouveau.
La proposition que m’avait fait le Maître de Gwendoline était de m’offrir une initiation et si cela me convenait alors il commencerait mon éducation. J’avais déjà eu une expérience de soumission en club qui ne m’avais pas déplu mais ça avais juste été une fois et j'avais été emballée par mon excitation alors même si je désirais me diriger sur ce genre de relation je ne savais pas si cela me conviedrait sur la longueur. La Maître de Gwendoline a su trouver les mot pour me rassurer et aussi il m’a laissée le temps pour prendre ma décision tout en me mettant en garde que si je décidais de vivre comme ça alors il me faudrait apprendre a être bien obéissante. Mais aussi que comme pour tout il y aurait toujours une porte de sortie pour moi. Il ma dit que si je désirais cette initiation avec lui et quand je me sentirais prête pour ça il me suffirai de me procurer un collier de soumission et de venir lui offrir avec ma demande rédigée par écrit. Sans cette offrande et la demande rien ne se passerai entre nous.
Il m’a fallut six mois pour prendre ma décision, bien sûr j’en avais longuement discutée avec Gwendoline et cela ne semblait pas la déranger de me retrouver soumise a ses coté entre les mains et sous la protection de son Maître. Elle m’a aussi rassurer sur le fait que pourrais trouver plus facilement celui qui deviendrait mon Maître une fois que j’aurais intégré le cercle et aussi que leur mot d’ordre était le respect des désirs d’autrui et que je restais libre a tout moment de quitter le cercle.
Quand j’ai apporté la collier et ma demande par écrit, le Maître de Gwendoline l’a accepté, il s’est absenté un moment et il est revenu avec une chemise en carton rouge qui contenait un questionnaire sur les pratiques que je voudrais essayer et celle que je refuserais, il m’a dit de prendre tout mon temps pour remplir ce questionnaire et il m’a donner un rendez vous avec délais d’une semaine pour que je vienne le rejoindre avec le questionnaire. Une semaine après j’étais au rendez vous dans un état de stress maximum. Concernant l’initiation elle a bien eu lieu et Gwendoline la racontée dans un billet en ligne sur ce blog, vous pourrez le retrouver il s’intitule «Séance d’initiation».
Suite a cette initiation j’ai donnée mon accord pour continuer. J’ai donc commencé mon éducation de soumise avec le Maître de Gwendoline. Un autre homme était souvent invité lors des jeux que nous faisions, il assistait le Maître ce qui fait que nous nous sommes rapproché de plus en plus, aussi il avait souvent l’occasion de me promener en laisse, je le suivais a quatre pattes comme une bonne chienne, il me sortait toujours avec la laisse pour que je fasse mes besoins dans le jardin en sa présence pendant qu’il fumait un ciguarette avec un air détaché. Il me demandée si j’accepterais d’être sa soumise lors d’un jeu ou je devais porter une ceinture de chasteté pendant 30 jours, le Maître de Gwendoline lui avait remis les clés de celle ci et il devait passer me voir tout les soir pour me deverouiller afin que je puisse faire ma toilette intime, il devait également me surveiller tout le temps que j’étais déverouillée pour ne pas que j’en profite pour m’introduire quoi que ce soit dans la chatte. J’ai acceptée sa demande et cela fait maintenant un peut plus d’***** que je suis une chienne soumise sous contrat. Le Maître de Gwendoline veille toujours au bon déroulement de mon éducation et j’ai fait taire la petite voix qui me disait de rester une fille respectable sous tout rapport, à l’heure d’aujourd’hui j’assume pleinement mon statut de chienne soumise obéissante aux services des Maîtres.
Voila pour mon histoire, j’ai essayé de ne pas être trop longue mais je pense que je ne pouvais pas faire plus court et si vous m’avez lu jusqu’ici alors vous en savez plus sur moi.
Maître m’a demandé de me décrire par écrit, une description détaillée comme soumise Gwendoline sait le faire, je travaille dessus Maître doit la valider avant qu’elle ne soit publier et ça fait 3 fois qu’il me la fait refaire, je ne rentre pas assez dans les détails a son goût. Je dois me décrire physiquement et aussi (la c’est plus compliqué) psychologiquement. Donc voila le prochain billet me concernant qui sera publier ici. Aussi si vous avez des idées ou des souhaits pour mes futurs billets n’hésitez pas à en faire part dans les commentaires.
Concernant le fautes d'orthographe je suis désolé mais j'ai écris ce billet en direct et je ne me suis pas relue. Et puis après tout dorénavant je me destine a être une soumise un peu bêbête et l'orthographe n'est sûrement pas la qualité première que l'on attend de moi dorénavant (lol).
Je tiens également à vous dire qu'en lisant mes billet vous contribuez aussi d'une certaine manière a ren****** mon éducation de chienne soumise sur un point psychologique. J'avoue que me dévoiler publiquement ne me laisse pas totalement indifférente.
Amélie chienne soumise en cour de formation.
1 年 前