Chap.13: Thomas
Moon est repartie dans son pays du matin calme. Elle a promis de revenir vite et nous a aussi invités. J’espère qu’on va vite se revoir car j’ai noué des liens forts avec elle.
Les enfants s’ébattent dans la piscine sous la surveillance de Thomas.
Qui est Thomas ? Un cousin de Romain. Plus exactement le fils de sa cousine Emma, avec laquelle Romain a fait ses premiers pas dans le domaine du sexe… Amusant, non ?
Emma a épousé un américain et ils vivent en Californie. La seule fois ou je les ai rencontrés, c’était pour notre mariage. Thomas était enfant, à l’époque. Il a désormais 18 ans et il vient en France pour parfaire son français.
En attendant que la rentrée arrive, il visite le coin, prend plein de photos et aime bien s’occuper des enfants, auquel il apprend les rudiments de la langue anglaise tout en jouant au basket ou en barbotant dans la piscine.
Dire qu’il est beau n’est pas lui rendre justice. Il est blond aux yeux bleus, mesure environ 1m90, a un corps à faire pâlir de jalousie le David de Michel-Ange et un sourire à faire se damner tout un couvent de religieuses cloitrées.
En plus, il est adorable et sa conversation est agréable.
Il est célibataire, ce qui m’interpelle. Y a-t-il une épidémie de myopie chez les jeunes américaines ?
En tout cas, pas chez mes voisines. May et Jennifer, les deux cousines dont j’ai fait la connaissance (voir chap.5 et 6) sont déjà venues deux fois et ont invité Thomas à venir visiter la maison de leur grand-mère qu’elles rénovent (la maison, pas la grand-mère).
Il n’a pas dit non, car il est poli, mais n’y est toujours pas allé. Ce qui m’intrigue fort car les deux filles sont aussi jolies que délurées.
J’avais l’intention de demander à Romain si son petit cousin n’était pas homosexuel. Mais j’ai constaté, par hasard, que Thomas lorgnait le décolleté de Jennifer, laquelle ne portait pas de soutif sous son chemisier en lin.
Et j’ai remarqué aussi qu’il me lorgnait lorsqu’il pensait que je ne le voyais pas. Trahi par le miroir du salon, il n’a pas vu que je l’avais vu.
Pourtant, il évite de se retrouver seul avec moi. Lorsque nous discutons, il s’arrange pour qu’il y ait toujours les enfants avec nous, comme si je l’impressionnais.
Romain a discuté plusieurs fois avec lui et il s’avère qu’il élude, même avec lui, toute discussion sur sa vie amoureuse.
Bref, un jeune Apollon bien mystérieux, ce qui ne peut que piquer ma curiosité.
Romain amène les enfants chez ses parents, comme tous les ans au début Août. En partant, il m’a simplement dit, en souriant :
- Je te laisse avec Thomas. Vous n’êtes pas obligé d’être sage…
Ce soir là, nous dinons sur la terrasse. Devant nous, la piscine ondule sous l’effet d’une brise bienvenue. Thomas porte un bermuda et une chemise et moi une robe de plage mauve, largement fendue sur les côtés.
Sa composition, en lin et élasthanne, fait qu’elle est parfaitement ajustée à mon corps. Tellement qu’on voit clairement se dessiner dessous l’élastique de mon string sous le tissu.
Quand j’en porte un, bien sûr, ce qui n’est pas le cas ce soir. Il serait étrange de porter un soutif et pas de culotte, non ? Donc, je n’en porte pas non plus.
La robe moule donc parfaitement mon corps nu avant de s’évaser légèrement à l’endroit ou elle est fendue, c’est-à-dire le haut de mes cuisses. J'espère que Thomas appréciera, j'ai très envie de lui plaire !
Thomas fait de gros efforts pour ne pas me dévisager. Je suis ravie de voir que ses efforts sont vains, car son regard revient inévitablement sur mon corps. S’apercevant que j’ai remarqué son regard, il vire alors au rouge écrevisse.
Thomas apprécie la cuisine française, mais, ce soir, j’ai plutôt prévu un menu italien. Du melon et des aubergines à la Parmigiana, arrosé d’un petit vin rosé très frais et très traitre.
Après deux verres, la langue de Thomas se délie un peu et il n’hésite plus à promener sans fausse honte son regard dans l’échancrure de mon décolleté.
Je lui explique que Romain et moi formons un couple très uni mais aussi très libre, ce qui semble le déconcerter un peu.
Il me raconte que ses parents et lui vivent dans un quartier chic de la banlieue de San Francisco, où sa mère et ses amies et voisines rejouent ‘’Desperate Housewives’’.
Au fil de ma discussion avec Thomas, je me rends compte que, chez les jeunes de son âge, la pression de l’entourage et le visionnage sans doute trop précoce de films pornos ont générés une peur de ne pas être sexuellement à la hauteur.
Difficile de ne pas être complexé, il est vrai, par ces acteurs qui possèdent tous une bite comme un bazooka et qui parviennent à faire hurler de plaisir leurs partenaires à chaque fois.
Et, peu à peu, je réalise, stupéfaite, que Thomas est probablement vierge.
Ne me demandez pas comment il est possible que ce jeune homme beau comme un dieu soit vierge à dix-huit ans. Moi, à la place de ses copines, je l’aurais poussé dans un lit et je l’aurais violé !
D’ailleurs, c’est ce que j’envisage de plus en plus sérieusement…
Mais, la soirée se passe et, alors que je pensais être tranquille, voilà que je reçois un coup de fil. C’est une amie, qui m’appelle régulièrement pour se plaindre des infidélités de son concubin.
J’ai déjà envisagé avec elle toutes sortes de stratégies et de ripostes pour reconquérir son idiot de compagnon, mais, malheureusement, rien ne marche. La raison est simple : son mec est un débile profond et elle-même a le quotient intellectuel d’une palourde.
C’est le genre de coup de fil qui dure de très loooongues minutes. Lorsqu’enfin elle raccroche, Thomas m’a déjà depuis longtemps fait signe qu’il montait se coucher.
Je me retrouve donc seule sur la terrasse, passablement énervée. Sans ce coup de fil, j’aurais pu passer la soirée à éduquer correctement le beau et gentil Thomas.
Je décide d’aller piquer une tête dans la piscine. J’ai la flemme d’aller enfiler un maillot, je me déshabille rapidement et je plonge, nue, dans la piscine fraiche.
L’eau est délicieuse, juste à la bonne température. Je sens déjà mon énervement refluer pour laisser place au plaisir de sentir l’eau glisser sur mon corps, entre mes jambes et faire durcir mes tétons.
Je sors par l’escalier du fond et je m’assois, face à la maison. A cette heure ci personne ne peut me voir, à part, peut-être Monsieur Durand. Mais il connait déjà mon corps sous toutes les coutures et m’a déjà vue baiser ici avec plusieurs partenaires.
Je penche ma tête en arrière, laissant pendre mes cheveux mouillés. Et c’est là que je le vois.
Qui ? Thomas, évidemment !
Il est au premier étage, derrière la baie vitrée qui domine le jardin et la piscine. Il s’est dissimulé dans l’obscurité d’un angle mort mais il a bougé et est apparu, l’espace d’un court instant, derrière la baie vitrée.
De là ou je suis, je n’ai vu que son torse nu. Je ne sais pas s’il est entièrement nu ou vêtu d’un boxer. Son ombre est vraiment très peu visible. Mais comme je l’ai repéré, je le devine me regardant me baigner nue.
Comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, j’écarte largement mes cuisses et je fais quelques mouvements de souplesse. Rien de bien spectaculaire, c’est juste pour m’exhiber devant ses yeux. J'ai très envie qu'il me voit nue, que ça l'excite et qu'il ba,de comme un taureau en rut !
Puis je commence à me caresser. Ma main droite passe entre mes cuisses et la gauche pince mon téton. Je laisse courir mes mains sur mon corps et cela me fait rapidement de l’effet.
Je pense que la présence de mon jeune admirateur n’est pas étrangère à ce plaisir qui monte en moi. Au contraire, ce regard que je sens sur moi décuple mon désir. J'espère qu'il a envie de moi autant que j'ai envie de me donner à lui.
Je me laisse submerger par le plaisir, exagérant les poses sensuelles pour Thomas. J’espère qu’il apprécie.
Après l’orgasme, je reste là, cuisses ouvertes, laissant le clapotis de l’eau rafraichir ma chatte. Puis, je déambule, nue, autour de la piscine ou dans le jardin. Et je finis par enfiler un peignoir de bain et rentrer.
Je monte l’escalier et je passe devant la baie vitrée ou Thomas se tenait il y a quelques minutes. Personne, bien sûr. Et là, soudain, je me tords la cheville.
- Aïe !
Je n’ai pu éviter de crier, tellement la douleur a été vive. Thomas sort de sa chambre, comme un diable de sa boite.
- Claire ? Ca va ?
- Je me suis tordue la cheville !
- Il faut mettre de la glace ! dit-il.
Et il descend en courant jusqu’à la cuisine. Deux minutes après il remonte avec un sac plastique rempli de glaçons.
- Euh… ? Ou es-tu ? demande t’il.
- Dans ma chambre !
Il entre. Je suis assise sur mon lit, la jambe en extension. Il ne m’a pas fallu longtemps pour envisager comment je pouvais retourner la situation.
- J’ai vraiment mal ! dis-je, comme si on m’avait coupé le pied. J’ai cette crème à l’arnica, il parait que c’est bon contre ce genre de contusion.
Il place le sac de glaçons contre ma cheville. Penchée sur ma terrible blessure, je laisse bâiller le peignoir, laissant voir à Thomas ma poitrine et le reste.
Il rougit violemment et se saisit du tube de crème. A genoux près de mon lit, il se concentre sur la zone à masser, mais ne peut s’empêcher d’admirer de près ce qu’il a déjà vu de loin.
Il me masse doucement, c’est très agréable. Il remonte un peu sur le mollet. Je bouge un peu l’autre jambe et, par un hasard étonnant, le pan du peignoir qui dissimulait mon entrejambe glisse, dévoilant mon jardin secret.
- Oups ! dis-je en riant.
- Euh, désolé ! fait-il.
- Tu n’as pas à être désolé. De toute façon, tu en as vu largement plus tout à l’heure, quand j’étais dans la piscine…
Il rougit violemment, ce qui fait tomber le sac de glaçons. Je ris, l’attire vers moi et l’embrasse.
Il se laisse faire.
- J’ai très envie de faire l’amour avec toi… Tu es d’accord ?
Il est d’accord, ce que confirme la grosse bosse qui déforme le bas de son pyjama.
La suite, bientôt !
Les enfants s’ébattent dans la piscine sous la surveillance de Thomas.
Qui est Thomas ? Un cousin de Romain. Plus exactement le fils de sa cousine Emma, avec laquelle Romain a fait ses premiers pas dans le domaine du sexe… Amusant, non ?
Emma a épousé un américain et ils vivent en Californie. La seule fois ou je les ai rencontrés, c’était pour notre mariage. Thomas était enfant, à l’époque. Il a désormais 18 ans et il vient en France pour parfaire son français.
En attendant que la rentrée arrive, il visite le coin, prend plein de photos et aime bien s’occuper des enfants, auquel il apprend les rudiments de la langue anglaise tout en jouant au basket ou en barbotant dans la piscine.
Dire qu’il est beau n’est pas lui rendre justice. Il est blond aux yeux bleus, mesure environ 1m90, a un corps à faire pâlir de jalousie le David de Michel-Ange et un sourire à faire se damner tout un couvent de religieuses cloitrées.
En plus, il est adorable et sa conversation est agréable.
Il est célibataire, ce qui m’interpelle. Y a-t-il une épidémie de myopie chez les jeunes américaines ?
En tout cas, pas chez mes voisines. May et Jennifer, les deux cousines dont j’ai fait la connaissance (voir chap.5 et 6) sont déjà venues deux fois et ont invité Thomas à venir visiter la maison de leur grand-mère qu’elles rénovent (la maison, pas la grand-mère).
Il n’a pas dit non, car il est poli, mais n’y est toujours pas allé. Ce qui m’intrigue fort car les deux filles sont aussi jolies que délurées.
J’avais l’intention de demander à Romain si son petit cousin n’était pas homosexuel. Mais j’ai constaté, par hasard, que Thomas lorgnait le décolleté de Jennifer, laquelle ne portait pas de soutif sous son chemisier en lin.
Et j’ai remarqué aussi qu’il me lorgnait lorsqu’il pensait que je ne le voyais pas. Trahi par le miroir du salon, il n’a pas vu que je l’avais vu.
Pourtant, il évite de se retrouver seul avec moi. Lorsque nous discutons, il s’arrange pour qu’il y ait toujours les enfants avec nous, comme si je l’impressionnais.
Romain a discuté plusieurs fois avec lui et il s’avère qu’il élude, même avec lui, toute discussion sur sa vie amoureuse.
Bref, un jeune Apollon bien mystérieux, ce qui ne peut que piquer ma curiosité.
Romain amène les enfants chez ses parents, comme tous les ans au début Août. En partant, il m’a simplement dit, en souriant :
- Je te laisse avec Thomas. Vous n’êtes pas obligé d’être sage…
Ce soir là, nous dinons sur la terrasse. Devant nous, la piscine ondule sous l’effet d’une brise bienvenue. Thomas porte un bermuda et une chemise et moi une robe de plage mauve, largement fendue sur les côtés.
Sa composition, en lin et élasthanne, fait qu’elle est parfaitement ajustée à mon corps. Tellement qu’on voit clairement se dessiner dessous l’élastique de mon string sous le tissu.
Quand j’en porte un, bien sûr, ce qui n’est pas le cas ce soir. Il serait étrange de porter un soutif et pas de culotte, non ? Donc, je n’en porte pas non plus.
La robe moule donc parfaitement mon corps nu avant de s’évaser légèrement à l’endroit ou elle est fendue, c’est-à-dire le haut de mes cuisses. J'espère que Thomas appréciera, j'ai très envie de lui plaire !
Thomas fait de gros efforts pour ne pas me dévisager. Je suis ravie de voir que ses efforts sont vains, car son regard revient inévitablement sur mon corps. S’apercevant que j’ai remarqué son regard, il vire alors au rouge écrevisse.
Thomas apprécie la cuisine française, mais, ce soir, j’ai plutôt prévu un menu italien. Du melon et des aubergines à la Parmigiana, arrosé d’un petit vin rosé très frais et très traitre.
Après deux verres, la langue de Thomas se délie un peu et il n’hésite plus à promener sans fausse honte son regard dans l’échancrure de mon décolleté.
Je lui explique que Romain et moi formons un couple très uni mais aussi très libre, ce qui semble le déconcerter un peu.
Il me raconte que ses parents et lui vivent dans un quartier chic de la banlieue de San Francisco, où sa mère et ses amies et voisines rejouent ‘’Desperate Housewives’’.
Au fil de ma discussion avec Thomas, je me rends compte que, chez les jeunes de son âge, la pression de l’entourage et le visionnage sans doute trop précoce de films pornos ont générés une peur de ne pas être sexuellement à la hauteur.
Difficile de ne pas être complexé, il est vrai, par ces acteurs qui possèdent tous une bite comme un bazooka et qui parviennent à faire hurler de plaisir leurs partenaires à chaque fois.
Et, peu à peu, je réalise, stupéfaite, que Thomas est probablement vierge.
Ne me demandez pas comment il est possible que ce jeune homme beau comme un dieu soit vierge à dix-huit ans. Moi, à la place de ses copines, je l’aurais poussé dans un lit et je l’aurais violé !
D’ailleurs, c’est ce que j’envisage de plus en plus sérieusement…
Mais, la soirée se passe et, alors que je pensais être tranquille, voilà que je reçois un coup de fil. C’est une amie, qui m’appelle régulièrement pour se plaindre des infidélités de son concubin.
J’ai déjà envisagé avec elle toutes sortes de stratégies et de ripostes pour reconquérir son idiot de compagnon, mais, malheureusement, rien ne marche. La raison est simple : son mec est un débile profond et elle-même a le quotient intellectuel d’une palourde.
C’est le genre de coup de fil qui dure de très loooongues minutes. Lorsqu’enfin elle raccroche, Thomas m’a déjà depuis longtemps fait signe qu’il montait se coucher.
Je me retrouve donc seule sur la terrasse, passablement énervée. Sans ce coup de fil, j’aurais pu passer la soirée à éduquer correctement le beau et gentil Thomas.
Je décide d’aller piquer une tête dans la piscine. J’ai la flemme d’aller enfiler un maillot, je me déshabille rapidement et je plonge, nue, dans la piscine fraiche.
L’eau est délicieuse, juste à la bonne température. Je sens déjà mon énervement refluer pour laisser place au plaisir de sentir l’eau glisser sur mon corps, entre mes jambes et faire durcir mes tétons.
Je sors par l’escalier du fond et je m’assois, face à la maison. A cette heure ci personne ne peut me voir, à part, peut-être Monsieur Durand. Mais il connait déjà mon corps sous toutes les coutures et m’a déjà vue baiser ici avec plusieurs partenaires.
Je penche ma tête en arrière, laissant pendre mes cheveux mouillés. Et c’est là que je le vois.
Qui ? Thomas, évidemment !
Il est au premier étage, derrière la baie vitrée qui domine le jardin et la piscine. Il s’est dissimulé dans l’obscurité d’un angle mort mais il a bougé et est apparu, l’espace d’un court instant, derrière la baie vitrée.
De là ou je suis, je n’ai vu que son torse nu. Je ne sais pas s’il est entièrement nu ou vêtu d’un boxer. Son ombre est vraiment très peu visible. Mais comme je l’ai repéré, je le devine me regardant me baigner nue.
Comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, j’écarte largement mes cuisses et je fais quelques mouvements de souplesse. Rien de bien spectaculaire, c’est juste pour m’exhiber devant ses yeux. J'ai très envie qu'il me voit nue, que ça l'excite et qu'il ba,de comme un taureau en rut !
Puis je commence à me caresser. Ma main droite passe entre mes cuisses et la gauche pince mon téton. Je laisse courir mes mains sur mon corps et cela me fait rapidement de l’effet.
Je pense que la présence de mon jeune admirateur n’est pas étrangère à ce plaisir qui monte en moi. Au contraire, ce regard que je sens sur moi décuple mon désir. J'espère qu'il a envie de moi autant que j'ai envie de me donner à lui.
Je me laisse submerger par le plaisir, exagérant les poses sensuelles pour Thomas. J’espère qu’il apprécie.
Après l’orgasme, je reste là, cuisses ouvertes, laissant le clapotis de l’eau rafraichir ma chatte. Puis, je déambule, nue, autour de la piscine ou dans le jardin. Et je finis par enfiler un peignoir de bain et rentrer.
Je monte l’escalier et je passe devant la baie vitrée ou Thomas se tenait il y a quelques minutes. Personne, bien sûr. Et là, soudain, je me tords la cheville.
- Aïe !
Je n’ai pu éviter de crier, tellement la douleur a été vive. Thomas sort de sa chambre, comme un diable de sa boite.
- Claire ? Ca va ?
- Je me suis tordue la cheville !
- Il faut mettre de la glace ! dit-il.
Et il descend en courant jusqu’à la cuisine. Deux minutes après il remonte avec un sac plastique rempli de glaçons.
- Euh… ? Ou es-tu ? demande t’il.
- Dans ma chambre !
Il entre. Je suis assise sur mon lit, la jambe en extension. Il ne m’a pas fallu longtemps pour envisager comment je pouvais retourner la situation.
- J’ai vraiment mal ! dis-je, comme si on m’avait coupé le pied. J’ai cette crème à l’arnica, il parait que c’est bon contre ce genre de contusion.
Il place le sac de glaçons contre ma cheville. Penchée sur ma terrible blessure, je laisse bâiller le peignoir, laissant voir à Thomas ma poitrine et le reste.
Il rougit violemment et se saisit du tube de crème. A genoux près de mon lit, il se concentre sur la zone à masser, mais ne peut s’empêcher d’admirer de près ce qu’il a déjà vu de loin.
Il me masse doucement, c’est très agréable. Il remonte un peu sur le mollet. Je bouge un peu l’autre jambe et, par un hasard étonnant, le pan du peignoir qui dissimulait mon entrejambe glisse, dévoilant mon jardin secret.
- Oups ! dis-je en riant.
- Euh, désolé ! fait-il.
- Tu n’as pas à être désolé. De toute façon, tu en as vu largement plus tout à l’heure, quand j’étais dans la piscine…
Il rougit violemment, ce qui fait tomber le sac de glaçons. Je ris, l’attire vers moi et l’embrasse.
Il se laisse faire.
- J’ai très envie de faire l’amour avec toi… Tu es d’accord ?
Il est d’accord, ce que confirme la grosse bosse qui déforme le bas de son pyjama.
La suite, bientôt !
10 月 前
