Chap.16: L'invitation (suite)
Thomas me regarde, étonné et un brin inquiet. May et Jennifer sont, par contre, aux anges. Je suppose que leurs douces mains ont fini par découvrir le joli lutin que Thomas cache dans son boxer.
Je lui souris, histoire de lui signifier que s’il répond aux avances des deux cousines, je ne lui en voudrais pas.
Les mains de Bastien et Jules ont, elles aussi, tendance à s’égarer sous ma robe bustier.
Je crois que nous sommes tombés, Thomas et moi, dans un guet-apens mûrement planifié dont nous sommes les victimes consentantes.
La troisième bouteille de vin a, je pense, fait sauter les inhibitions. En tout cas, moi, je n’en ai plus aucune et je suis prête à baiser avec tout le monde.
La main de Bastien tourne doucement ma tête vers lui. Nos lèvres font connaissance. Sa langue visite ma bouche.
Du coin de l’œil, je vois que Jennifer embrasse langoureusement Thomas. May a disparu sous la table. Je suppose qu’elle rend un hommage buccal à la virilité de mon bel étalon.
Elles vont pouvoir user de lui autant qu’elles voudront, mais je resterai à jamais la première à avoir goûté à Thomas.
Je sens une main qui dégrafe mon bustier. Jules s’occupe du haut pendant que Bastien visite le bas de ma petite personne.
Mon fauteuil se recule, manœuvré par les mains des copains de May et Jennifer. La table devenait gênante.
A moitié allongée sur ce fauteuil, je suis désormais dépoitraillée. Chaque garçon suce un de mes tétons et leurs mains arrachent presque ma culotte, pour une fois que j’en mets une…
Je voudrais bien savoir ce qui se passe de l’autre côté de la table, mais les baisers passionnés des garçons m’en empêchent. Ils me lèvent pour finir de retirer ma robe et mon soutif inutile.
C’est là que je me rends compte que Thomas et les filles ont gagné le canapé. Thomas est allongé, son sexe en érection. Jennifer le suce pendant que May lui offre sa chatte à lécher.
Bastien me fait mettre à genoux, je suis juste à la hauteur de leurs bites dressées. Bastien m’enfourne la sienne sans ménagement jusqu’au fond de la gorge.
J’aime qu’un mâle m’impose sa loi et use de moi sans trop d’égards. C’est surement ce qu’il doit faire avec May, les Asiatiques sont si soumises…
J’aspire son sexe et il pousse un petit cri. Il ne s’attendait pas à ça. Je suce des queues depuis près d’un quart de siècle, mon mignon, je connais toutes les ficelles du métier.
- Attention, elle mo.rd !
Il rit et passe le relais à Jules. Je suce le gland du copain de Jennifer, je l’avale, le recrache, puis je le lèche sur toute la longueur. Il redresse sa bite avec sa main, m’invitant ainsi à lui lécher les couilles.
Ce que je fais, sans oublier de passer ma langue sur son scrotum.
Il apprécie.
Je repasse à Bastien. Il me laisse faire, cette fois ci. Je le branle d’une main tout en suçant et aspirant son gland. Mon autre main caresse son entrejambe et l’intérieur de ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu suces bien ! Une vraie salope ! Tu as été élevée dans un bordel ?
Plus loin, ça gémit. May est à genoux sur le canapé et mon Thomas chéri va et vient dans sa chatte accueillante. Assise sur l’accoudoir, Jennifer lui propose sa chatte à lécher mais May est si concentrée sur cette bite qui est dans son vagin qu’elle ne peut visiblement pas faire autre chose que de se faire baiser.
Les filles s’occupent bien de Thomas et il semble apprécier. Je suis rassurée, même si je n’avais pas trop de doutes.
Les deux garçons me relèvent et m’entrainent vers un autre canapé. Bastien m’y allonge et écarte mes cuisses. Sa langue épouse ma chatte mouillée et il me lèche tout en introduisant un doigt dans mon vagin. Son regard ne perd pas une miette de mes réactions.
Il est plutôt doué et il semble aimer lécher les sexes féminins, ce qui n’est pas forcément le cas de tous les hommes.
A cheval sur l’accoudoir, Jules promène sa bite sur mon visage. Je me tourne de son côté et je suce son gland pendant que Bastien me donne du plaisir.
De l’autre côté de la pièce, les cris de plaisir ne sont plus les mêmes. C’est désormais Jennifer qui miaule. Elle ponctue ses gémissements de petits commentaires. Selon elle, Thomas ‘’la fourre bien avec sa grosse bite’’ et elle demande qu’il y aille plus fort.
Je pense que ses vœux sont exaucés car elle se met à pousser de longs cris qui en disent long.
Jules, comme excité par les plaintes de sa copine, m’enfonce sa pine jusqu’à la glotte. Je manque d’air et, au moment ou la queue du garçon ressort de ma bouche, Bastien sort aussi ses doigts de ma chatte.
Je proteste un peu, surprise.
- Attends ma belle ! Je vais te remplir avec autre chose ! dit-il en riant. Tu me préfères dans ton cul ou ta chatte ?
- C’est toi qui choisis, mon doux seigneur…
- Tu ferais bander un eunuque ! fait-il en riant.
Il se glisse avec souplesse entre mes cuisses et me pénètre d’un coup. Il remonte mes jambes et s’enfonce jusqu’à ce que son pubis ne puisse plus aller plus profond.
- Alors ? Tu aimes ?
- Oui, beaucoup ! Montre-moi ce que tu sais faire !
Piqué au vif, le bel étalon noir me besogne comme un sauvage. Je crie et je l’encourage et il ponctue chaque coup de queue d’un petit commentaire salace.
- Tu aimes ça, hein, salope, te faire sauter par des jeunes mâles ?
- J’adore ça !
Que je lui réponde semble le stimuler et il redouble de vigueur. Je m’accroche à lui, faisant un peu exprès de griffer son dos. Mais il semble aimer ça.
Dans un ultime coup de reins, il pousse un râle et je sens qu’il se répand dans mon vagin. Je jouis instantanément, lui mordant l’épaule.
Il se retire et me fait lever. Il s’allonge à ma place. Sa queue est un peu hésitante mais il bande déjà. Je l’embouche et le suce, me délectant de nos sécrétions communes.
Lorsqu’il est dur, je m’empale sur lui. Derrière moi, comme je m’en doutais un peu, Jules s’installe.
- Tu as déjà été saillie par deux mâles en rut ? me demande Bastien.
- Oui, et j’aime ça !
Les deux garçons rigolent.
- Jennifer nous avait dit que tu étais un bon coup, mais à ce point, on n’imaginait pas ! fait Jules tout en se préparant à m’enculer.
Il prépare mon anus en me massant doucement. Ce n’est pas le lubrifiant qui manque, mon entrejambe est largement souillé du sperme de Bastien et de mes propres sécrétions intimes.
Il me pénètre d’un doigt.
- Je ne suis pas le premier à passer par là ! fait-il.
- Et surement pas le dernier ! répond Bastien
- Oh non ! dis-je. J’aime trop ça !
Jules semble stimulé par nos propos. Il enfonce doucement sa queue, qui rentre facilement.
- Ca rentre comme dans du beurre ! fait-il
- Salope ! C’est Thomas qui t’a enculée la nuit dernière ? demande Bastien.
- Oui, et plusieurs fois !
- Quelle chance !
Je sens la queue de Jules dans mon cul. Elle rejoint celle de Bastien, qui occupe mon vagin. S’il n’y avait pas quelques millimètres de muqueuse, elles pourraient se toucher.
Jules commence à bouger et Bastien suit la cadence. Ces deux là n’en sont pas à leur coup d’essai, car ils vont et viennent en moi de façon très synchronisée. Quand l’un s’enfonce, l’autre se retire et ainsi de suite.
Jules ne me ménage pas et je sens bien sa queue qui ramone mon anus. Je me cambre et Bastien en profite pour sucer et mordre mes tétons.
Levant la tête, j’aperçois furtivement Arthur qui nous matte depuis la coursive. Il croise mon regard et je vois clairement qu’il se branle.
Je soutiens son regard et je lui souris. Il se recule et j’ai le sentiment qu’il vient d’éjaculer. Cette vision décuple mon désir et j’encourage mes deux amants à redoubler d’ardeur.
Pendant quelques minutes, je ne suis plus qu’une boule de plaisir et, dans une suite ininterrompue de cris, je jouis comme rarement j’ai joui. Les deux garçons me remplissent de leur foutre en jouissant à leur tour.
Je suis épuisée et Bastien aussi. Je pose ma tête sur la sienne et nous restons assis sur le canapé.
A ma grande surprise, Jules rejoint l’autre trio, sur le canapé d’en face. Thomas est en train d’enculer May qui miaule de plaisir.
Jules, visiblement excité par la scène s’est placé derrière Thomas. Sous mes yeux ébahis, il fourre ses doigts entre les fesses de mon protégé qui continue à baiser May. Il lui caresse les couilles et l’embrasse dans le cou.
Puis, il lui parle dans l’oreille. Je suis trop loin pour entendre mais je me doute de ce qu’il demande.
La réponse est ‘’oui’’ car Jules écarte les fesses de Thomas, y fourre sa queue et l’encule.
Je dois dire que je ne m’y attendais pas du tout et je suis fascinée par cet étrange attelage, sorte de petit train dont le carburant est le sexe.
Voilà peut-être pourquoi Thomas avait du retard dans ses relations avec les filles, me dis-je. Il avait tout simplement pris de l’avance avec les garçons.
Jennifer, un peu délaissée, vient vers nous.
- Je cherche une bonne âme pour me lécher, fait-elle.
- Pour l’âme, je ne sais pas, mais j’ai une bonne langue ! dis-je
Je fourrage aussitôt dans la fourrure rousse de Jennifer, alors que Bastien, visiblement remis, entreprend de m’enculer. Il est nettement plus gros que Jules mais n’essaie pas d’y aller en douceur.
En un seul coup, sa queue se fiche dans mon anus, m’arrachent un cri. Ses mains enserrent mes hanches, ne me laissant pas le choix de la vitesse. Il me remplit complètement, j’aime beaucoup comme il s’y prend.
Je continue à lécher Jennifer qui gémit sous ma langue et mes doigts. C’est alors que Bastien sort de mon cul aussi brutalement qu’il y est entré. Il est rapidement au dessus de nous et nous arrose de sa semence.
Jennifer en a plein le visage et je viens lécher les gouttes gluantes laissées par Bastien. Nous échangeons un long baiser gluant.
Pendant ce temps, les cris redoublent, de l’autre côté. Je me tourne vers eux, juste au moment ou Thomas et May, à genoux sur le sol, reçoivent de Jules une bonne dose de sperme.
Nous allons boire et, épuisés et repus, nous nous installons, ici ou là, pour un repos bien mérité. Les jeunes ne tardent pas à dormir. Moi, j’ai plus de mal.
Et, soudain, je me rends compte que Thomas n’est plus là.
Alors, mû par une impulsion soudaine, je monte sur la coursive. Elle dessert les chambres. Dans l’une, Arthur est allongé sur son lit avec Thomas. Je m’arrête sur le seuil.
Thomas suce lentement Arthur, tout en le caressant. Le garçon lui caresse les cheveux et soupire de bonheur. Dans un spasme, il jouit et, même si je suis mal placée, je devine que Thomas a reçu en bouche la semence d’Arthur.
Il vient embrasser le jeune garçon. Pour le coup, je me sens de trop et, sans bruit, je redescends dans la salle commune.
A suivre !
Je lui souris, histoire de lui signifier que s’il répond aux avances des deux cousines, je ne lui en voudrais pas.
Les mains de Bastien et Jules ont, elles aussi, tendance à s’égarer sous ma robe bustier.
Je crois que nous sommes tombés, Thomas et moi, dans un guet-apens mûrement planifié dont nous sommes les victimes consentantes.
La troisième bouteille de vin a, je pense, fait sauter les inhibitions. En tout cas, moi, je n’en ai plus aucune et je suis prête à baiser avec tout le monde.
La main de Bastien tourne doucement ma tête vers lui. Nos lèvres font connaissance. Sa langue visite ma bouche.
Du coin de l’œil, je vois que Jennifer embrasse langoureusement Thomas. May a disparu sous la table. Je suppose qu’elle rend un hommage buccal à la virilité de mon bel étalon.
Elles vont pouvoir user de lui autant qu’elles voudront, mais je resterai à jamais la première à avoir goûté à Thomas.
Je sens une main qui dégrafe mon bustier. Jules s’occupe du haut pendant que Bastien visite le bas de ma petite personne.
Mon fauteuil se recule, manœuvré par les mains des copains de May et Jennifer. La table devenait gênante.
A moitié allongée sur ce fauteuil, je suis désormais dépoitraillée. Chaque garçon suce un de mes tétons et leurs mains arrachent presque ma culotte, pour une fois que j’en mets une…
Je voudrais bien savoir ce qui se passe de l’autre côté de la table, mais les baisers passionnés des garçons m’en empêchent. Ils me lèvent pour finir de retirer ma robe et mon soutif inutile.
C’est là que je me rends compte que Thomas et les filles ont gagné le canapé. Thomas est allongé, son sexe en érection. Jennifer le suce pendant que May lui offre sa chatte à lécher.
Bastien me fait mettre à genoux, je suis juste à la hauteur de leurs bites dressées. Bastien m’enfourne la sienne sans ménagement jusqu’au fond de la gorge.
J’aime qu’un mâle m’impose sa loi et use de moi sans trop d’égards. C’est surement ce qu’il doit faire avec May, les Asiatiques sont si soumises…
J’aspire son sexe et il pousse un petit cri. Il ne s’attendait pas à ça. Je suce des queues depuis près d’un quart de siècle, mon mignon, je connais toutes les ficelles du métier.
- Attention, elle mo.rd !
Il rit et passe le relais à Jules. Je suce le gland du copain de Jennifer, je l’avale, le recrache, puis je le lèche sur toute la longueur. Il redresse sa bite avec sa main, m’invitant ainsi à lui lécher les couilles.
Ce que je fais, sans oublier de passer ma langue sur son scrotum.
Il apprécie.
Je repasse à Bastien. Il me laisse faire, cette fois ci. Je le branle d’une main tout en suçant et aspirant son gland. Mon autre main caresse son entrejambe et l’intérieur de ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu suces bien ! Une vraie salope ! Tu as été élevée dans un bordel ?
Plus loin, ça gémit. May est à genoux sur le canapé et mon Thomas chéri va et vient dans sa chatte accueillante. Assise sur l’accoudoir, Jennifer lui propose sa chatte à lécher mais May est si concentrée sur cette bite qui est dans son vagin qu’elle ne peut visiblement pas faire autre chose que de se faire baiser.
Les filles s’occupent bien de Thomas et il semble apprécier. Je suis rassurée, même si je n’avais pas trop de doutes.
Les deux garçons me relèvent et m’entrainent vers un autre canapé. Bastien m’y allonge et écarte mes cuisses. Sa langue épouse ma chatte mouillée et il me lèche tout en introduisant un doigt dans mon vagin. Son regard ne perd pas une miette de mes réactions.
Il est plutôt doué et il semble aimer lécher les sexes féminins, ce qui n’est pas forcément le cas de tous les hommes.
A cheval sur l’accoudoir, Jules promène sa bite sur mon visage. Je me tourne de son côté et je suce son gland pendant que Bastien me donne du plaisir.
De l’autre côté de la pièce, les cris de plaisir ne sont plus les mêmes. C’est désormais Jennifer qui miaule. Elle ponctue ses gémissements de petits commentaires. Selon elle, Thomas ‘’la fourre bien avec sa grosse bite’’ et elle demande qu’il y aille plus fort.
Je pense que ses vœux sont exaucés car elle se met à pousser de longs cris qui en disent long.
Jules, comme excité par les plaintes de sa copine, m’enfonce sa pine jusqu’à la glotte. Je manque d’air et, au moment ou la queue du garçon ressort de ma bouche, Bastien sort aussi ses doigts de ma chatte.
Je proteste un peu, surprise.
- Attends ma belle ! Je vais te remplir avec autre chose ! dit-il en riant. Tu me préfères dans ton cul ou ta chatte ?
- C’est toi qui choisis, mon doux seigneur…
- Tu ferais bander un eunuque ! fait-il en riant.
Il se glisse avec souplesse entre mes cuisses et me pénètre d’un coup. Il remonte mes jambes et s’enfonce jusqu’à ce que son pubis ne puisse plus aller plus profond.
- Alors ? Tu aimes ?
- Oui, beaucoup ! Montre-moi ce que tu sais faire !
Piqué au vif, le bel étalon noir me besogne comme un sauvage. Je crie et je l’encourage et il ponctue chaque coup de queue d’un petit commentaire salace.
- Tu aimes ça, hein, salope, te faire sauter par des jeunes mâles ?
- J’adore ça !
Que je lui réponde semble le stimuler et il redouble de vigueur. Je m’accroche à lui, faisant un peu exprès de griffer son dos. Mais il semble aimer ça.
Dans un ultime coup de reins, il pousse un râle et je sens qu’il se répand dans mon vagin. Je jouis instantanément, lui mordant l’épaule.
Il se retire et me fait lever. Il s’allonge à ma place. Sa queue est un peu hésitante mais il bande déjà. Je l’embouche et le suce, me délectant de nos sécrétions communes.
Lorsqu’il est dur, je m’empale sur lui. Derrière moi, comme je m’en doutais un peu, Jules s’installe.
- Tu as déjà été saillie par deux mâles en rut ? me demande Bastien.
- Oui, et j’aime ça !
Les deux garçons rigolent.
- Jennifer nous avait dit que tu étais un bon coup, mais à ce point, on n’imaginait pas ! fait Jules tout en se préparant à m’enculer.
Il prépare mon anus en me massant doucement. Ce n’est pas le lubrifiant qui manque, mon entrejambe est largement souillé du sperme de Bastien et de mes propres sécrétions intimes.
Il me pénètre d’un doigt.
- Je ne suis pas le premier à passer par là ! fait-il.
- Et surement pas le dernier ! répond Bastien
- Oh non ! dis-je. J’aime trop ça !
Jules semble stimulé par nos propos. Il enfonce doucement sa queue, qui rentre facilement.
- Ca rentre comme dans du beurre ! fait-il
- Salope ! C’est Thomas qui t’a enculée la nuit dernière ? demande Bastien.
- Oui, et plusieurs fois !
- Quelle chance !
Je sens la queue de Jules dans mon cul. Elle rejoint celle de Bastien, qui occupe mon vagin. S’il n’y avait pas quelques millimètres de muqueuse, elles pourraient se toucher.
Jules commence à bouger et Bastien suit la cadence. Ces deux là n’en sont pas à leur coup d’essai, car ils vont et viennent en moi de façon très synchronisée. Quand l’un s’enfonce, l’autre se retire et ainsi de suite.
Jules ne me ménage pas et je sens bien sa queue qui ramone mon anus. Je me cambre et Bastien en profite pour sucer et mordre mes tétons.
Levant la tête, j’aperçois furtivement Arthur qui nous matte depuis la coursive. Il croise mon regard et je vois clairement qu’il se branle.
Je soutiens son regard et je lui souris. Il se recule et j’ai le sentiment qu’il vient d’éjaculer. Cette vision décuple mon désir et j’encourage mes deux amants à redoubler d’ardeur.
Pendant quelques minutes, je ne suis plus qu’une boule de plaisir et, dans une suite ininterrompue de cris, je jouis comme rarement j’ai joui. Les deux garçons me remplissent de leur foutre en jouissant à leur tour.
Je suis épuisée et Bastien aussi. Je pose ma tête sur la sienne et nous restons assis sur le canapé.
A ma grande surprise, Jules rejoint l’autre trio, sur le canapé d’en face. Thomas est en train d’enculer May qui miaule de plaisir.
Jules, visiblement excité par la scène s’est placé derrière Thomas. Sous mes yeux ébahis, il fourre ses doigts entre les fesses de mon protégé qui continue à baiser May. Il lui caresse les couilles et l’embrasse dans le cou.
Puis, il lui parle dans l’oreille. Je suis trop loin pour entendre mais je me doute de ce qu’il demande.
La réponse est ‘’oui’’ car Jules écarte les fesses de Thomas, y fourre sa queue et l’encule.
Je dois dire que je ne m’y attendais pas du tout et je suis fascinée par cet étrange attelage, sorte de petit train dont le carburant est le sexe.
Voilà peut-être pourquoi Thomas avait du retard dans ses relations avec les filles, me dis-je. Il avait tout simplement pris de l’avance avec les garçons.
Jennifer, un peu délaissée, vient vers nous.
- Je cherche une bonne âme pour me lécher, fait-elle.
- Pour l’âme, je ne sais pas, mais j’ai une bonne langue ! dis-je
Je fourrage aussitôt dans la fourrure rousse de Jennifer, alors que Bastien, visiblement remis, entreprend de m’enculer. Il est nettement plus gros que Jules mais n’essaie pas d’y aller en douceur.
En un seul coup, sa queue se fiche dans mon anus, m’arrachent un cri. Ses mains enserrent mes hanches, ne me laissant pas le choix de la vitesse. Il me remplit complètement, j’aime beaucoup comme il s’y prend.
Je continue à lécher Jennifer qui gémit sous ma langue et mes doigts. C’est alors que Bastien sort de mon cul aussi brutalement qu’il y est entré. Il est rapidement au dessus de nous et nous arrose de sa semence.
Jennifer en a plein le visage et je viens lécher les gouttes gluantes laissées par Bastien. Nous échangeons un long baiser gluant.
Pendant ce temps, les cris redoublent, de l’autre côté. Je me tourne vers eux, juste au moment ou Thomas et May, à genoux sur le sol, reçoivent de Jules une bonne dose de sperme.
Nous allons boire et, épuisés et repus, nous nous installons, ici ou là, pour un repos bien mérité. Les jeunes ne tardent pas à dormir. Moi, j’ai plus de mal.
Et, soudain, je me rends compte que Thomas n’est plus là.
Alors, mû par une impulsion soudaine, je monte sur la coursive. Elle dessert les chambres. Dans l’une, Arthur est allongé sur son lit avec Thomas. Je m’arrête sur le seuil.
Thomas suce lentement Arthur, tout en le caressant. Le garçon lui caresse les cheveux et soupire de bonheur. Dans un spasme, il jouit et, même si je suis mal placée, je devine que Thomas a reçu en bouche la semence d’Arthur.
Il vient embrasser le jeune garçon. Pour le coup, je me sens de trop et, sans bruit, je redescends dans la salle commune.
A suivre !
10 月 前