Chap.19: Cousins et cousine

Ma relation avec Thomas a pris un tour particulier.
Je m’étonnais qu’il soit absent des ébats que j’ai eus avec ses copains footballeurs, mais l’explication est simple : Thomas était trop occupé à filmer la scène pour participer.

Je suis donc devenu son principal sujet d’étude. Il me filme et m’interroge, un peu partout et dans toutes les situations. Il élabore des scénarios et je dois les jouer pour lui.
Ainsi à la terrasse de ce restaurant où nous avons déjeuné ensemble. Le serveur lorgnait sans vergogne sur mes jambes et mon décolleté.

Thomas lui a dit eux mots en aparté et nous sommes allés, tous les trois, dans les toilettes pour hommes. J’ai longuement sucé le serveur, sous l’œil de la caméra de Thomas. Lorsque l’homme a éjaculé, je l’ai gardé dans ma bouche pour éviter que sa semence ne souille ma jolie robe. Puis, j’ai avalé le tout.

Arrivé à la maison, Thomas m’a attachée aux poutres de la terrasse. J’ai enlevé ma robe et je l’ai laissé m’attacher, uniquement vêtue de mes sous-vêtements en dentelle fine de couleur pourpre et de mes escarpins.
Il m’a laissé un moment ainsi, le temps de couper une branche d’olivier dont il s’est servi pour me fouetter, après avoir baissé ma culotte jusqu’aux genoux.

J’ai toujours eu un petit côté masochiste. Il faut forcément l’être lorsque vous acceptez qu’un énorme bite vous déchire l’anus.
Mais j’apprécie de plus en plus d‘être l’objet de sévices consentis. La douleur vive que je ressens lorsque Thomas cingle mes fesses me procure aussi du plaisir et je me rends compte rapidement que je mouille.
Thomas vérifie régulièrement que ma chatte suinte de ce liquide un peu poisseux qu’il aime recueillir de ses doigts, puis déguster.

J’aime être attachée sur le lit, qu’il cingle mes seins pendant que sa bite durcit dans ma bouche. L’œil de la caméra, fixée sur un trépied, enregistre tout.

Thomas aime aussi que je lui raconte ma vie. Nous avons un rituel. Il est assis sur le canapé, jambes écartées et caméra en main. Je suis à genoux devant lui, nue, et, entre deux chapitres de mon récit, je suce sa queue.

Aujourd’hui, je raconte mes vacances avec mes cousins. Jean et Paul sont deux frères. Leur mère est la sœur de la mienne.
A l’époque, j’avais 15 ans et eux 16 et 17. Nous passions nos vacances dans les Pyrénées, dans un endroit particulièrement sauvage ou le premier voisin était à deux ou trois kilomètres.
Derrière la maison de ma grand-mère, la forêt commençait, sombre et épaisse.

Enfant, j’avais peur d’y aller seule. Petit à petit, j’ai exploré les abords immédiats de ce monde inconnu. Mais c’est avec Paul et Jean que j’ai vraiment appris à connaitre ce monde mystérieux.

Cet année là, donc, j’y revenais pour la première fois depuis deux ans. Très vite, je me suis rendu compte que les circonstances étaient désormais différentes. Paul et Jean avaient changé, ils étaient presque de jeunes hommes, avec une voix plus grave et je me suis rendu compte à quel point ils étaient beaux, bien plus que tous les garçons qui me courtisaient.

De leur côté, ils étaient resté bouche bée en me découvrant sur le seuil de maison, lorsque je suis arrivée. J’ai lu la surprise dans leurs regards et, rapidement, une certaine admiration.
Je leur plaisais et ils me plaisaient.

Les balades dans la forêt ont repris. Aussi agréables que par le passé, mais le plaisir était différent. Petite fille, j’aimais qu’ils me montrent les traces du passage d’animaux ou bien les nids des oiseaux, édifiés au creux des branches inaccessibles.

Mais maintenant, ce que j’appréciais, c’est le contact de leurs corps lorsque nous étions surpris par la pluie, ou leurs mains qui, sous prétexte de m’aider à franchir un obstacle, se posaient sur mes hanches, mes fesses ou ailleurs.
Je ne me dérobais jamais, si bien qu’ils n’hésitaient plus à me toucher et à se coller à moi, même s’il n’y avait pas d’obstacles à franchir.
Je remarquais aussi la déformation de leurs shorts lorsque nous étions proches. Et j’aimais beaucoup l’idée que c’était moi qui les faisait bander.
D’ailleurs, je ressentais un délicieux picotement dans le bas-ventre, un plaisir diffus qui se traduisait par une forte humidité dans ma culotte.

Ce jour là, une chaleur intense nous poussa naturellement à nous réfugier sous l’ombre bienfaisante de la forêt.

- On va te montrer un coin que tu ne connais pas ! me dit Jean.

Je sentais, néanmoins, une tension chez eux. Il allait se passer quelque chose, je le devinais.

Après avoir escaladé une partie assez abrupte de la forêt, je m’arrêtais net. Dans une toute petite clairière, une cascade coulait pour former un ruisseau qui se perdait au milieu des arbres.
Et, juste à côté, il y avait une cabane en bois.

- On l’a construite l’an dernier ! fit Paul, fièrement.
- C’est vraiment très cool ! répondis-je.

Ma remarque était assez plate mais elle parut avoir sur eux la même impression que s’ils avaient été décorés par la Président en personne.

A l’intérieur, c’était assez spartiate. Un banc et une caisse de vin vide qui servait de table.
Le banc était étroit pour trois ados minces comme nous et nous étions étroitement serrés. Je sentais leurs corps chauds de part et d’autre du mien et je vis très vite que mon corps collé contre le leur faisait son petit effet. Leurs shorts étaient déformés.

Paul remarqua mon regard. Et il me sourit.

- Tu en as déjà vu une ?
- Noon… répondis-je

C’était un mensonge, mais peu importe.

- Tu veux la voir ?
- Oui.

D’un mouvement souple, il baissa son short et son caleçon, faisant jaillir sa queue, raide et droite.
Il guettait ma réaction. Je me contentais de sourire et de regarder.

Jean fit comme son frère. Il baissa son short et je pus voir son sexe, identique à celui de Paul.

- Et toi ? Tu nous montre ?

Je n’attendais que ça. Je fis semblant d’hésiter, puis j’ôtais mon tee-shirt, dévoilant mes seins d’ad.oles.cente. Ils étaient fascinés.
J’enlevais mon short, puis ma culotte. Rouges cramoisis, ils étudiaient soigneusement la blondeur de ma chatte.
Puis je me remis entre eux.

Paul posa sa main sur ma joue et fit pivoter mon visage pour m’embrasser. Sa langue s’insinua dans ma bouche et jouait avec la mienne, pendant que Jean caressait mes seins.
Puis j’embrassais Jean. Paul passa sa main entre mes cuisses et je le laissais accéder à ma chatte.

Je me levais en tâchant de ne pas me cogner au plafond un peu bas. J’ôtais le tee-shirt de Jean, puis celui de Paul, tandis qu’ils se débarrassaient de leurs chaussures.

C’est Jean qui me fit allonger sur le banc. Il écarta mes cuisses et étudia un long moment les moindres détails de mon sexe. Il me regarda, comme s’il quêtait mon approbation. Je fis ‘’oui’’ de la tête et il plongea son visage dans ma chatte.

C’était la première fois qu’un garçon me léchait et j’ai tout de suite aimé ça, même si ma copine Mélanie était bien plus expérimentée que lui.

Je soupirais bruyamment et tournais la tête vers Paul. Il se caressait doucement en nous regardant. Sa bite était très près de mon visage. Je lui fis signe et j’ouvrais un peu mes lèvres pour accueillir sa queue dans ma bouche.

Son sexe avait bon goût. Je découvris à cette occasion que j’aimais vraiment sucer les garçons. Je caressais ses couilles et j’eus le plaisir de l’entendre gémir.
En même temps, je commençais vraiment à éprouver du plaisir sous la langue de Jean. C’est à ce moment que, tout en continuant à me lécher, il enfonça doucement un doigt dans ma chatte. J’ai tout de suite aimé cette sensation, surtout lorsqu’il se mit à aller en venir dans mon vagin.

Il s’interrompit et il demanda à Jean de lui laisser la place. Il enfonça sa queue dans ma bouche et il se mit à faire des va-et-vient, son sexe s’enfonçant jusqu’à ma gorge.

- Tu es vierge ?

C’était Paul. La question n’était pas uniquement de pure rhétorique.

- Attends ! Elle a la bouche pleine ! fit Jean en riant.
- Oui, fis-je en riant.

Je les regardais. J’avais vraiment envie et eux aussi.

- Je suis vierge mais je veux faire l’amour avec vous deux.

Un silence s’installa, puis Paul se tourna vers son frère.

- On tire au sort ?
- Ok !

Une pièce de monnaie fut projetée dans l’air. Pile.
Paul serait le premier.

Il s’allongea sur moi et, ouvrant mes cuisses, il s’enfonça doucement dans mon vagin. La tête en arrière, je gémis. La sensation était agréable.
Il commença doucement à me baiser. Je tournais la tête, cherchant Jean. Il s’approcha et je le pris dans ma bouche.

J’avais vu des vidéos pornos de trios sur internet, mais là c’était moi qui étais prise par deux garçons et j’aimais ça. La queue de Paul allait et venait en moi, faisant monter mon plaisir.

Jean sortait son sexe de ma bouche. Prise d’une impulsion, je lui demandais de jouir dans ma bouche. Il ne se fit pas prier pour revenir entre mes lèvres.

Les deux garçons ne purent pas tenir longtemps. Paul accéléra le mouvement et, en gémissant, il se tortilla. De ma main, je le retins avant qu’il ne sorte de moi et il jouit dans mon vagin.

Il fallut peu de temps pour qu’ils rebandent à nouveau. Je me mis à quatre pattes sur le sol. Jean me prit en levrette. Il semblait ravi, me donnant des claques sonores sur les fesses.
Paul, devant moi, m’offrit sa bite à sucer.

C’est vraiment là que j’ai joui, deux fois. La levrette me procurait vraiment le plaisir que j’attendais. Les garçons ont bien vu que je jouissais et cela déclencha leurs éjaculations simultanées.

Lorsque nous sommes revenus à la maison, nous étions épuisés, repus et bien décidés à recommencer.

- C’est là que tu as appris à aimer la levrette ? me demanda Thomas.
- Oui, je leur demandais, à chaque fois, de me prendre dans cette position et c’est moi qui les relançais pour qu’on baise. Ils m’ont surnommée ‘’Sainte Levrette’’, car mon comportement plein de piété, à l’église, ou notre grand-mère nous amenait obligatoirement, tranchait sur ma folie de sexe avec eux.

Tout en racontant, je lèche le gland de Thomas. Il continue à filmer mais je sens son souffle devenir lourd. Les questions s’espacent. Je gobe alors sa queue et mes lèvres vont et viennent le long de sa chair durcie.
Il décharge à longues giclées. Le sperme tiède envahit ma bouche. Comme pour Paul et Jean, bien des années plus tôt, je le savoure puis le laisse glisser dans ma gorge.
7 月 前
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 2 月 前
sainte_levrette : Dommage en effet, d'autant qu'à la relecture, mon sexe gonflé a vite fait de fuir à nouveau :blush:
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 2 月 前
hellyeeeeah : Dommage que ma langue ne puisse rien pour toi !
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 3 月 前
J'adore ces récits où, absorbé par la lecture, je ne me rends pas compte que ma queue se tend, que naturellement je déboutonne mon pantalon et sort ma queue en décalant mon boxer, qu'une grosse goutte de précum s'échappe de mon gland et que ma main glisse sur ma queue au rythme de tes cousins qui te prennent tour à tour, pour bientôt avoir le gland trempé de jus d'excitation... Superbe lecture ! 
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ccandau
ccandau 7 月 前
oh mais ce Thomas est devenu ton dresseur tu es son élève tu écris divinement bien
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 7 月 前
IDAELE : Merci ! J'aime bien ''gouleyant'' comme adjectif. Ca fait penser au bon vin qu'on déguste en le faisant tourner en bouche !
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IDAELE
IDAELE 7 月 前
Ah ben voilà, je ne venais plus lire depuis quelque temps et je découvre, surprise que tu serais du genre à regarder des vidéos, euh disons, .... osées !!!! Mon DIEU !!!! Sérieusement récit admirablement rythmé et gouleyant à souhait. Bravo. 
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 7 月 前
raminagrossebite : J'ai demandé à être remboursée par la sécu mais ils ne sont pas d'accord...
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 7 月 前
tsuma-ingrid : Thank you for your lovely comment. The comparison with Catwomanmeows and Pantheredesneiges is flattering to me because I really like their stories. They are very talented !
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tsuma-ingrid
tsuma-ingrid 7 月 前
Oh how is it possible that I have missed your stories until now. I will read them all even if I stay up at night and have trouble sleeping afterwards. I wish I knew how to develop stories with such detail and intensity, until now only Catwomanmeows and Pantheredesneiges had that ability. Please continue like this.
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raminagrossebite
Oh my God ! J'ai lu, j'ai relu, j'ai rerelu... Ta prose est bien mieux que le viagra, tu devrais être remboursée par la sécu !
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 7 月 前
laurent7891 : Je passe le message à Thomas !
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 7 月 前
Catwomanmeows : family is sacred ! :)
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Catwomanmeows
Catwomanmeows 7 月 前
This chapter begins with Thomas who records our nymph Claire doing everything, especially sucking his big cock! (lol) And teasing the waiter, holding his semen in your mouth before swallowing! Then we meet the cousins: Paul and Jean. Their cabin in the woods. Their cocks as hard as the trees. And Claire taking them both, several times! Before she sucks lucky Thomas as he watches you hold his semen. Before. Swallowing. Meow! 
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laurent7891
laurent7891 7 月 前
Ah ! les souvenirs de jeunesse !! et il est tellement excitant de les raconter à son amant ou sa maîtresse... quel beau et excitant récit que tes souvenirs de baises "tu n'as pas changé.." comme dis la chanson "tu es toujours cette salope délurée...qui se fait prendre et qui jouit sans retenue..." Bon... il faudra que Thomas nous montre ses films... trop hâte de les visionner, bite en main ! chère Sainte Levrette...
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