Mère, fille et autres rencontres - 1

Chloé n’était pas ma meilleure élève. Sur le plan scolaire, elle se situait dans une bonne moyenne, sans plus.
Mais elle était incontestablement la plus jolie.

Elle était blonde et fine et je fus d’emblée captivée par sa démarche ondulante et gracieuse digne d’une fée. Son corps svelte de danseuse avait tout pour retenir mon regard, d’autant que, sans être provocante, elle était toujours habillée de tenues qui mettaient en valeur sa silhouette.

Pendant mes cours, j’avais du mal à ne pas fixer son joli visage d’un ovale parfait ou quelques mèches blondes venaient semer un charmant désordre. Elle avait des yeux d’un bleu clair parsemé de paillettes légèrement plus sombre.

Bref, Chloé me plaisait beaucoup. Mais rien, dans son attitude, ne m’indiquait que cette attirance était réciproque.

Je traversais le parc Saint-Jean sans trop me presser. Il faisait beau et je profitais des derniers jours d’un été qui s’attardait jusqu’au début du mois d’octobre.
C’est alors que j’entendis un cri de douleur derrière moi.

Lorsque je me retournais, je vis Chloé, au sol, qui se tenait la cheville. Une vielle dame s’approcha mais, voyant que je m’occupais d’elle, continua son chemin.

- Ca va ? Tu as mal ? demandais-je.

C’est, en général, la question idiote que tout le monde pose dans ce genre de situation. Il était évident que Chloé avait mal, son joli minois baigné de larmes en témoignait.

- Oui ! fit-elle. Ma cheville ! Je… elle s’est tordue !

La cheville était rouge mais ne semblait pas enflée. Néanmoins, le risque demeurait qu'elle enfle et que la douleur augmente. Je réfléchis puis proposait à Chloé d’aller chez moi.

- J’habite juste à côté. J’ai tout ce qu’il faut pour ce genre de bobos !
- Ce n’est pas un bobo ! J’ai mal ! protesta-t-elle.

Elle accepta et elle s’appuya sur mon bras pour faire les quatre cent mètres qu’il restait. Dans l’escalier, je passais mon bras autour de sa taille et l’aidais à monter les quelques marches qui allaient de l’ascenseur à mon appartement.
Ses longs cheveux blonds se mêlaient aux miens et son délicat parfum m’enivrait. Son corps était chaud et ferme.

Mon appartement était soigneusement rangé. J’aime que tout soit en ordre, on ne sait jamais qui je peux être amenée à y faire entrer. La preuve.

J’aidais Chloé à s’assoir sur mon canapé et j’allais dans mon armoire à pharmacie pour y chercher un gel à l’arnica particulièrement efficace pour ce genre de contusions.
Mais je lui fis d’abord avaler un cachet de paracétamol, afin de calmer la douleur qu’elle éprouvait.

Pendant que je cherchais l’arnica, je voyais Chloé se refléter dans le grand miroir de l’entrée. Ses longues jambes fines étaient étendues et sa jupe était bien plus courte que je ne l’avais remarquée.
Elle avait de bien jolies jambes…

Elle me sourit lorsque je revins dans le salon. Effectivement, sa jupe était à demi repliée sous ses fesses et je distinguais clairement un petit bout de sa culotte rose.

Sans doute était-elle trop choquée par sa chute pour avoir remarqué ce détail, aussi, je n’en parlais pas non plus.

Je m’agenouillais devant elle et j’ôtais sa sandale. Je crois que je gardais son joli petit pied un peu trop longtemps dans ma main. Plus, en tout cas, que les soins ne le nécessitaient.
En d’autres circonstances, j’aurais volontiers porté à ma bouche ce joli pied. Mais là, ça aurait difficile de faire passer ce geste comme ‘’médical’’.

- J’aime beaucoup votre salon ! dit-elle. La décoration est superbe !
- Merci !

Elle parlait désormais normalement, la douleur semblait s’estomper. Levant les yeux, je vis qu’elle m’observait, les yeux brillants. Je lui souris, rassurante.

Je remarquais aussi que son chemisier n’était pas très bien boutonné. Son soutien-gorge apparaissait, assorti à la culotte que j’avais déjà vue.
Je me dis que si son chemisier avait été aussi échancré, dans le parc, il me semble que je l’aurais remarqué. Mais, dans l’urgence, j’avais probablement loupé ce détail. A moins qu'il ne se soit providentiellement ouvert par la suite.

Je fis sortir du tube une noisette de gel à l’arnica et je pris son talon dans ma main droite, tandis que ma main gauche étalait le gel autour de sa cheville.
Puis, je massais la zone endolorie. La cheville, le talon et le dessus du pied.

- Ca te fait du bien ? demandais-je.
- Oh oui ! répondit elle.

Elle avait posée sa tête contre le haut du dossier de mon canapé. Ses cheveux blonds s’étalaient comme des minuscules rayons de soleil sur le velours sombre. Elle me regardait, un sourire ravi sur les lèvres.

- Je vais masser ton pied ! dis-je
- Oui ! Il me fait encore mal !

De mes deux mains, je massais le haut et la plante de son pied. C’était plus une caresse qu’un massage, si on y réfléchit. Puis, je remontais vers la cheville et le début du mollet.

- Plus haut, j’ai mal aussi…

Je levais la tête. Son sourire et son regard démentait son propos. Elle avait étendu ses bras le long du dossier du canapé et elle m’invitait à prolonger un peu un moment qu’elle appréciait visiblement.

Ce moment là, pour moi, était celui du choix. Je pouvais arrêter le massage et dire à Chloé que c’était suffisant pour calmer sa cheville ou bien je pouvais continuer à jouer avec elle un jeu qui nous emmènerait vers d’autres choses.

Je choisis de masser son mollet, en remontant vers le genou. Je la regardais dans les yeux tandis que je la caressais. Elle me rendit mon regard sans baisser les yeux.

Elle avait un joli mollet, bien formé et sa peau duveteuse était douce comme de la soie. Je caressais son genou.

- Et plus haut, tu as mal aussi ? demandais-je, un sourire aux lèvres.
- Oui ! fit-elle. Vous avez les mains douces…

Relevant légèrement sa cuisse, elle fit glisser sa jupe encore plus loin vers son bassin, dévoilant complètement une culotte rose qui me semblait un peu humide à l’entrejambe. Mais peut-être était-ce l’effet de mon imagination ?

- Ton autre pied ne va-t-il pas être jaloux ? demandais-je
- Oh oui ! fit-elle. Il est d’une jalousie terrible si on fait plus pour son frère que pour lui !

Je défis sa seconde sandale et je pris son joli pied dans ma main avant d’entamer un massage doux et sensuel. Chloé semblait ravie, un sourire extatique fleurit sur ses lèvres.

Je portais son pied à ma bouche. Cela faisait longtemps que j’en avais envie. Je posais mes lèvres sur le dessus du pied puis embrassais ses orteils.
Du bout de ma langue, je léchais son gros orteil, puis les autres. Enfin, je les suçais, un par un.

Chloé était rouge cramoisie. J’étais assez contente de voir que je pouvais la surprendre. Je léchais la plante de son pied puis le reposais.

- Pas de jaloux, on a dit…

Je pris l’autre pied et il eut droit au même traitement. Tout en suçant ses orteils, mon autre main caressait l’intérieur de sa cuisse et frôlait son entrejambe.

Je me relevais et je m’assis à côté d’elle. Son visage, eu dessous du mien, avait une expression extatique que j’avais déjà vue sur d’autres visages, au moment ou le baiser ouvre définitivement le chemin à d'autres plaisirs. Elle entrouvrit ses lèvres et je n’eus plus qu’à poser les miennes dessus.

Elle laissait ma langue explorer sa cavité buccale. Puis sa langue caressait la mienne. J’étais à demi couchée sur elle et ma main droite, posée sur se cuisse, remonta vers sa culotte.
Elle ne fit aucun geste lorsque ma main se glissa entre le tissu rose et son pubis. Je sentis ses poils soyeux puis la moiteur de son sexe.

Ce massage là provoqua encore plus d’effet que les autres. Chloé se renversa en arrière et je fus obligée de me hisser un peu au niveau de son visage.
Elle haletait, les lèvres entrouvertes. Je suçais sa langue, léchais ses lèvres, les redessinant du bout de ma langue.
Elle s’abandonna à moi pour un baiser long et tendre.

Ma main quitta son entrejambe pour déboutonner son chemisier. Passant ma main dans son dos, je dégrafais le joli soutif en dentelle rose. Elle m’aida en enlevant carrément le chemisier, qui vola dans le salon avec le soutien-gorge.

Je baisais les deux jolies petites poires, tout en guettant sa réaction. Elle hocha la tête, consentant à ce que je continue plus loin. Mes lèvres sucèrent ses tétons, lui arrachant un gémissement.

Je passais un moment à lécher et mordiller ses tétons, tout en caressant et pétrissant ses petits seins. Elle soupirait, gémissait et haletait. Ce n’était que le début.

- Il faudrait peut-être que je te masse le dos, aussi, non ? dis-je

Elle gloussa et se leva, les yeux brillants. Elle se débarrassa de sa jupe et allait s’allonger sur le canapé quand je l’arrêtais d’un geste.

- On va aller dans ma chambre, ce sera mieux…

Et, posant mes mains sur ses hanches, je fis glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles.

- Tu n’en as pas besoin pour le massage ! dis-je.

Je lui montrais la direction de ma chambre puis lui assénais une claque sur les fesses.

- Aïe ! fit-elle en éclatant de rire.
- C’est très bon pour les douleurs tenaces !

Elle sautilla gracieusement jusqu’au seuil de ma chambre, ondulant des fesses. J’admirais les jolies rondeurs et le creux de ses reins. J’allais passer un bon moment à caresser ce corps magnifique aux courbes délicieuses.

Je la fis allonger sur mon lit. Mes mains glissèrent sur son corps, massant le dos et les omoplates, caressant ses fesses. Elle respirait un peu bruyamment, appréciant visiblement mes caresses.
Je glissais ma main entre ses fesses. Elle écarta les cuisses, me laissant accéder par une autre entrée à son trésor.

Elle était trempée, ses poils blonds étaient gluants de cyprine. Je léchais mes doigts. Son jus était délicieux. Je l’utilisais pour me glisser dans la vallée qui séparait ses fesses. Je caressais son anus le titillant du bout de l’index.

Je n’en pouvais plus. Relevant son bassin, je dégustais son fruit. Ma bouche, mes lèvres, ma langue, j’utilisais tout pour dévorer sa chatte et boire son jus.
Je me laissais guider par ses gémissements de plaisir. Elle poussait de petits cris, entrecoupés de mots sans suite parmi lesquels ‘’oui’’ revenait très souvent.

Elle haletait, gémissait et tremblait de tous ses membres. Elle jouit en poussant une longue plainte et s’effondra sur mon lit.
Je caressais doucement son dos. Ses cheveux et son corps étaient trempés de sueur.

Quand elle fut un peu calmée, je me levais et me déshabillais. Une fois nue, je vins m’étendre contre elle. Se tournant vers moi, elle m’offrit ses lèvres.

Son corps moite de sueur communiquait sa fièvre au mien et, prenant mon sein avec la paume de ma main, je lui présentais mon téton, qu’elle happa avec gourmandise.

A partir de là, elle prit les choses en main. Je la guidais, mais finalement assez peu. Je me dis que je n’étais peut-être pas la première femme avec qui elle faisait l’amour, même si elle était encore un peu maladroite.

Ce qui l’intéressait, visiblement, c’était de lécher mon fruit. Elle était attentive à mes réactions et guettaient mes mouvements. Allongée sur le dos, je m’abandonnais complètement à sa bouche.

Je sentais qu’elle voulait me donner du plaisir, me voir jouir. Ce ne fut pas difficile, je la désirais tellement que l’orgasme ne fut pas très long à venir. Je me cambrais en poussant un long gémissement de plaisir.

Ravie, elle vint s’allonger sur moi. J’écartais mes cuisses et l’emprisonnais entre mes jambes.

- Comment va ta cheville ? demandais-je.

En riant, elle me bâillonna d’un long baiser passionné.
(à suivre)