Daisy, la grosse chienne sans pudeur sans dignité
Mon Maître est passé vendredi dernier et ce lundi.
Vendredi, le temps nous était compté, il fallait soit manger, soit baiser. Je lui ai d'abord servi le repas que j'avais préparé avec amour. Puis il m'a offert un porte clé avec mon initiale de chienne "D", j'étais ravie de voir qu'ilpensaitàsa chienneen dehorsde nos séances de dressage. .Puis il a commencé par m'etrangler avec l'écharpe que je portais au cou.Ma vie lui appartient, je n'ai plus le droit d'en décider. Je lui appartiens et il fait de moi, ce qu'il veut. Je me suis ensuite retrouvée sur le canapé, pas le temps de monter dans la chambre de dressage. Il a commencé par me titiller le clito et je me suis retrouvée position grosse chienne à quatre pattes sur le canapé. Mon Maître continuait à me branler la chatte et j'étais prêt à jouir sans me lâcher. Tout en me branlant d'une main, il me frappait les fesses avec l'autre main,celles ci étaient bien rouges et moi je le léchais, sans pudeur et dignité. Malheureusement, l'heure de nous quitter était arrivée, je n'ai pas eu le temps de le sucer et le faire jouir. Je suis une chienne jalouse et me dit que c'est une autre qui va en profiter même s'il me dit que c'est faux. Il m'a obligée à le raccompagner nue jusqu'à la porte d'entrée au risque de me faire voir par les passants ou voisins. Il m'a rappelé plus de pudeur, plus de dignité.
Ce lundi, il m'attendait alors que je rentrais du boulot. Comme une chienne bien dressée, je lui ai servi le repas puis il m'a emmenée nue dans la chambre de dressage. Pendant qu'il se déshabillait, je mettais mes contraintes. Il a ordonné que je lui fasse la toilette avec la langue. J'ai vite léché sa queue et ses couilles mais pour l'anus, j'ai encore fait mes caprices de chienne et ai réussi à y échapper. En échange, je lui ai léché le torse et les tetons. Puis il a introduit une autre contrainte sans,laquelle je n'ai pas le droit de jouir : le plug dans l'urètre. Pour une fois, je n'ai pas râlé bien que je sache que j'aurai mal dans la journée. Il m'a ensuite surélevé les pattes arrières et m'a pénétré le vagin avec des va et vient de plus en plus bestiaux et rapides. Il en à profité pour me cracher dans la gueule,j'ai dû avalé sa salive: il adore baiser sa chienne en chaleur, d'ailleurs il n'a pas tardé à jouir sans retenu, s'est retiré et bien sûr je lui ai nettoyé la queue et ai ramassé toute trace de sperme avec la langue. Rien que de l'écrire je ressens en moi le besoin de me masturber et jouir comme une chienne en espérant qu'il m'observe à la caméra. Le temps de nous quitter était arrivée et avant qu'il parte, je lui ai dit que je l'aimais. A bientôt, Maître
Vendredi, le temps nous était compté, il fallait soit manger, soit baiser. Je lui ai d'abord servi le repas que j'avais préparé avec amour. Puis il m'a offert un porte clé avec mon initiale de chienne "D", j'étais ravie de voir qu'ilpensaitàsa chienneen dehorsde nos séances de dressage. .Puis il a commencé par m'etrangler avec l'écharpe que je portais au cou.Ma vie lui appartient, je n'ai plus le droit d'en décider. Je lui appartiens et il fait de moi, ce qu'il veut. Je me suis ensuite retrouvée sur le canapé, pas le temps de monter dans la chambre de dressage. Il a commencé par me titiller le clito et je me suis retrouvée position grosse chienne à quatre pattes sur le canapé. Mon Maître continuait à me branler la chatte et j'étais prêt à jouir sans me lâcher. Tout en me branlant d'une main, il me frappait les fesses avec l'autre main,celles ci étaient bien rouges et moi je le léchais, sans pudeur et dignité. Malheureusement, l'heure de nous quitter était arrivée, je n'ai pas eu le temps de le sucer et le faire jouir. Je suis une chienne jalouse et me dit que c'est une autre qui va en profiter même s'il me dit que c'est faux. Il m'a obligée à le raccompagner nue jusqu'à la porte d'entrée au risque de me faire voir par les passants ou voisins. Il m'a rappelé plus de pudeur, plus de dignité.
Ce lundi, il m'attendait alors que je rentrais du boulot. Comme une chienne bien dressée, je lui ai servi le repas puis il m'a emmenée nue dans la chambre de dressage. Pendant qu'il se déshabillait, je mettais mes contraintes. Il a ordonné que je lui fasse la toilette avec la langue. J'ai vite léché sa queue et ses couilles mais pour l'anus, j'ai encore fait mes caprices de chienne et ai réussi à y échapper. En échange, je lui ai léché le torse et les tetons. Puis il a introduit une autre contrainte sans,laquelle je n'ai pas le droit de jouir : le plug dans l'urètre. Pour une fois, je n'ai pas râlé bien que je sache que j'aurai mal dans la journée. Il m'a ensuite surélevé les pattes arrières et m'a pénétré le vagin avec des va et vient de plus en plus bestiaux et rapides. Il en à profité pour me cracher dans la gueule,j'ai dû avalé sa salive: il adore baiser sa chienne en chaleur, d'ailleurs il n'a pas tardé à jouir sans retenu, s'est retiré et bien sûr je lui ai nettoyé la queue et ai ramassé toute trace de sperme avec la langue. Rien que de l'écrire je ressens en moi le besoin de me masturber et jouir comme une chienne en espérant qu'il m'observe à la caméra. Le temps de nous quitter était arrivée et avant qu'il parte, je lui ai dit que je l'aimais. A bientôt, Maître
1 月 前
