Trio au féminin
Je travaille en tant que femme de ménage chez des gens plutôt assez bourge.
Le tout pour avoir une rémunération un peu plus importante que mon simple salaire.
Jeanne et sa sœur Virginie viennent de perdre leur mère.
Après les obsèques, la petite famille se retrouve à la maison pour prendre le verre de l’amitié.
Jeanne très émue par la situation, a du mal à retenir ses sanglots.
Elle est assise à mes côtés.
Valérie suggère à la famille, de laisser Jeanne avec moi même pour la soutenir.
Les invités quittent un à un la maison après avoir embrassé Jeanne.
- « Je vais vous raccompagner et vais déposer tante Lucie à la gare » explique Virginie.
Tout ce petit monde parti, j' essaie de consoler ma patronne en l’embrassant tendrement sur la joue.
- « Tu es gentille Sophie, ce doux baiser me fait du bien. »
Subrepticement, Jeanne pose une main sur ma cuisse carrément sous la lisière de ma jupe déjà bien remontée à cause de ma position assise.
- « Madame, votre main semble me caresser plus haut qu’il n’est correct, vous vous égarez. »
- « Oh, excusez moi Sophie, je suis un peu perdue, j’ai besoin de câlins. »
- « Vous êtes tout excusée, je comprends votre émotion. »
- « Je pense que j’ai besoin d’un remontant, veux-tu me servir un Whisky ?
- « Tout de suite madame. »
Je reviens avec la bouteille d’alcool et un verre.
Je me penche pour servir ma patronne
Et surprend un regard insistant sur ma poitrine bien rehaussée par probablement mon soutien-gorge pigeonnant.
- « Vous devez être un peu émue vous aussi, vous voyais souvent maman. Voulez vous gouter ce breuvage ? »
- « Oh non madame, c’est un alcool que les hommes aiment bien »
- « Essayez, c’est un vrai remontant. »
Je bois une gorgée.
- « Oh, c’est fort mais pas mauvais. »
- « Prennez en un peu plus. »
En finissant le fond du verre, je regarde fixement ma patronne.
- « ça me fait tout drôle, c’est comme si j’avais la tête qui tourne. »
- « Asseyez vous à côté de moi, et détenez-vous. »
Jeanne s’approche très prêt et tente un baiser dans le cou que j' esquive et repousse ma patronne.
- « Vous semblez avoir une jolie poitrine, vous devez avoir de beaux seins. »
- « J’aime bien votre compliment.
- « Voulez vous me les montrer ? »
En même temps, Jeanne a repris sa caresse sur ma cuisse et j'esquisse une autre caresse sur ma poitrine.
- « Ce n’est pas bien ce que vous faites madame. Je ne suis que votre servante pour entretenir la maison. Je ne suis pas votre sœur Virginie. »
- « Pourquoi me parlez vous de Virginie ? »
- « C’est parce qu’un jour j’ai entendu des gémissements venant de votre chambre, je me suis inquiétée pensant que vous n’étiez pas bien et dans l’entrebâillement de la porte, je vous ai vu faire l’amour avec votre sœur. »
- « Qu’avez vous pensé, ça vous a déplue ou excitée ? »
- « J’ai été très surprise mais je vous ai observées un bon moment. Oui c’était très excitant. »
- « Vous vous êtes touchée ? »
- « J’ai honte de vous le dire mais oui et j’ai continué dans ma chambre. »
- « Il n’y a pas de honte à se faire du bien. En vous remémorant et me racontant ce que vous avez vu, je suis certaine que vous mouillez la petite culotte. »
- « Je n’ai pas de culotte. »
- « Serais tu une petite salope ? »
- « Je n’aime pas ce mot dans votre bouche, c’est comme si je prenais la liberté de vous qualifier ainsi vous et votre sœur. »
- « Vous pouvez j’aime les mots crus pendant une partie de plaisir. »
La main de Jeanne est arrivée là où elle peut vérifier qu’effectivement, ma touffe est passablement humide.
Elle m'attrape par les cheveux me rejette la tête en arrière et plaque sa bouche sur la mienne.
Cette foi je ne la repousse pas et s’ensuit un baiser fougueux où les langues se lient, se délient dans un échange très humide.
- « Maintenant, vous pouvez me montrer vos seins, j'ai envie de sucer les mamelons que je suppose dures d’excitation. »
La robe et le soutient gorge sont rapidement défaits et jetés à terre.
S’offre alors mon splendide corps de juvénile et j'ai gardé que mes bas soutenus par un porte jarretelles brodé du plus bel effet sexy.
- « J’aime ton corps que j’ai souvent eu envie de découvrir mais je me suis toujours retenue. »
Je rêve elle me tutoie
- « Moi aussi depuis que je vous ai aperçue avec votre sœur dans votre chambre, je ne pense plus qu’à vos deux corps. Et me résous à me satisfaire solitairement. »
- « Enlève ma robe de deuil et viens me lécher la fente. »
Quasiment nues toutes les deux, en position de 69, ce sont les têtes entre les cuisses qui offrent un spectacle à la surprise de Virginie qui vient d’arriver sans s’être annoncée.
- « Eh bien Jeanne, qu’est ce qui te prends ? »
- « Cette petite m’excite et je me suis laissé aller. »
- « Tu n’es qu’une salope ! »
- « Oui mais une salope que tu viens souvent chercher pour te faire jouir jouir. »
En entendant ces mots, je me relève, récupère rapidement ma jupe, mon soutien-gorge et mon corsage et m’adresse à Virginie.
- « Excusez-moi, je ne recommencerai pas »
- « Si tu recommenceras avec nous », reprend Jeanne. « Embrasse Virginie. »
- « Virginie, nous cherchions une esclave sexuelle hé bien la voilà. Profitons-en. Je sais qu’elle a envie de baiser avec nous, elle m’a dit que quand elle nous avait surprises toutes les deux dans ma chambre ça l’avait excitée et qu’elle s’était masturbée. Déshabille-toi et demande-lui de te lécher la fente, tu vas voir elle le fait admirablement. Malheureusement je n’ai pas eu le temps de jouir, tu es arrivée trop tôt. »
Après s’être lentement dévêtue comme dans un striptease, en observant ma réaction elle lui fait un signe de doigt l’invitant à venir sur sa chatte en se couchant sur le canapé.
- « Bouffe la chatte de ma sœur petite salope et montre-moi bien ton cul que je le lèche. Tu dois obéir, pour l’instant tu n’es pas mon employée tu es notre jouet sexuel mais tu peux nous demander ce qui te ferais plaisir. Aimes-tu que je te bouffe le cul ? »
- « Oui j’aime bien et rentrez votre langue et vos doigts dans ma rosette, quand je suis seule, je me fais jouir par derrière. J’adore.
- « Vas-y, occupe-toi du con de Virginie, moi je vais te faire jouir. »
Après quelques minutes de jeu,Virginie et moi même partons dans un orgasme qui nous renverses par terre.
- « Suce mes doigts , tu vas voir le goût de ton cul. »
- « Madame Jeanne, vous m’avez dit que je pourrais exprimer un désir. J’aimerais vous voir vous gouiner toutes les deux devant moi pendant que je me branlerais et Virginie pourra vous faire jouir car apparemment vous n’avez pas eu votre compte. »
- « Détrompe toi j’ai joui en silence derrière toi. Viens Virginie, caresse-moi et offrons notre spectacle à cette petite dévergondée. »
Les seins se touchent, chacune a pris les fesses de l’autre à pleines mains et elles ondulent pour se frotter chatte contre chatte.
- « A toi Virginie, bouffe-moi la fente et ouvre bien ta bouche pour recevoir mon jus. »
- « C’est bon Jeanne, c’est chaud, ne te retiens pas envoie-moi ton urine. Sophie, viens sous nos cuisses, tu pourras également te laisser inonder la figure. »
Accroupie pour recevoir le nectar je me branle en même temps elle aussi se vide par terre comme une femme fontaine.
Un nouvel orgasme contrôlé envahit nos trois corps et met fin à ce petit jeu sans retenue.
Le tout pour avoir une rémunération un peu plus importante que mon simple salaire.
Jeanne et sa sœur Virginie viennent de perdre leur mère.
Après les obsèques, la petite famille se retrouve à la maison pour prendre le verre de l’amitié.
Jeanne très émue par la situation, a du mal à retenir ses sanglots.
Elle est assise à mes côtés.
Valérie suggère à la famille, de laisser Jeanne avec moi même pour la soutenir.
Les invités quittent un à un la maison après avoir embrassé Jeanne.
- « Je vais vous raccompagner et vais déposer tante Lucie à la gare » explique Virginie.
Tout ce petit monde parti, j' essaie de consoler ma patronne en l’embrassant tendrement sur la joue.
- « Tu es gentille Sophie, ce doux baiser me fait du bien. »
Subrepticement, Jeanne pose une main sur ma cuisse carrément sous la lisière de ma jupe déjà bien remontée à cause de ma position assise.
- « Madame, votre main semble me caresser plus haut qu’il n’est correct, vous vous égarez. »
- « Oh, excusez moi Sophie, je suis un peu perdue, j’ai besoin de câlins. »
- « Vous êtes tout excusée, je comprends votre émotion. »
- « Je pense que j’ai besoin d’un remontant, veux-tu me servir un Whisky ?
- « Tout de suite madame. »
Je reviens avec la bouteille d’alcool et un verre.
Je me penche pour servir ma patronne
Et surprend un regard insistant sur ma poitrine bien rehaussée par probablement mon soutien-gorge pigeonnant.
- « Vous devez être un peu émue vous aussi, vous voyais souvent maman. Voulez vous gouter ce breuvage ? »
- « Oh non madame, c’est un alcool que les hommes aiment bien »
- « Essayez, c’est un vrai remontant. »
Je bois une gorgée.
- « Oh, c’est fort mais pas mauvais. »
- « Prennez en un peu plus. »
En finissant le fond du verre, je regarde fixement ma patronne.
- « ça me fait tout drôle, c’est comme si j’avais la tête qui tourne. »
- « Asseyez vous à côté de moi, et détenez-vous. »
Jeanne s’approche très prêt et tente un baiser dans le cou que j' esquive et repousse ma patronne.
- « Vous semblez avoir une jolie poitrine, vous devez avoir de beaux seins. »
- « J’aime bien votre compliment.
- « Voulez vous me les montrer ? »
En même temps, Jeanne a repris sa caresse sur ma cuisse et j'esquisse une autre caresse sur ma poitrine.
- « Ce n’est pas bien ce que vous faites madame. Je ne suis que votre servante pour entretenir la maison. Je ne suis pas votre sœur Virginie. »
- « Pourquoi me parlez vous de Virginie ? »
- « C’est parce qu’un jour j’ai entendu des gémissements venant de votre chambre, je me suis inquiétée pensant que vous n’étiez pas bien et dans l’entrebâillement de la porte, je vous ai vu faire l’amour avec votre sœur. »
- « Qu’avez vous pensé, ça vous a déplue ou excitée ? »
- « J’ai été très surprise mais je vous ai observées un bon moment. Oui c’était très excitant. »
- « Vous vous êtes touchée ? »
- « J’ai honte de vous le dire mais oui et j’ai continué dans ma chambre. »
- « Il n’y a pas de honte à se faire du bien. En vous remémorant et me racontant ce que vous avez vu, je suis certaine que vous mouillez la petite culotte. »
- « Je n’ai pas de culotte. »
- « Serais tu une petite salope ? »
- « Je n’aime pas ce mot dans votre bouche, c’est comme si je prenais la liberté de vous qualifier ainsi vous et votre sœur. »
- « Vous pouvez j’aime les mots crus pendant une partie de plaisir. »
La main de Jeanne est arrivée là où elle peut vérifier qu’effectivement, ma touffe est passablement humide.
Elle m'attrape par les cheveux me rejette la tête en arrière et plaque sa bouche sur la mienne.
Cette foi je ne la repousse pas et s’ensuit un baiser fougueux où les langues se lient, se délient dans un échange très humide.
- « Maintenant, vous pouvez me montrer vos seins, j'ai envie de sucer les mamelons que je suppose dures d’excitation. »
La robe et le soutient gorge sont rapidement défaits et jetés à terre.
S’offre alors mon splendide corps de juvénile et j'ai gardé que mes bas soutenus par un porte jarretelles brodé du plus bel effet sexy.
- « J’aime ton corps que j’ai souvent eu envie de découvrir mais je me suis toujours retenue. »
Je rêve elle me tutoie
- « Moi aussi depuis que je vous ai aperçue avec votre sœur dans votre chambre, je ne pense plus qu’à vos deux corps. Et me résous à me satisfaire solitairement. »
- « Enlève ma robe de deuil et viens me lécher la fente. »
Quasiment nues toutes les deux, en position de 69, ce sont les têtes entre les cuisses qui offrent un spectacle à la surprise de Virginie qui vient d’arriver sans s’être annoncée.
- « Eh bien Jeanne, qu’est ce qui te prends ? »
- « Cette petite m’excite et je me suis laissé aller. »
- « Tu n’es qu’une salope ! »
- « Oui mais une salope que tu viens souvent chercher pour te faire jouir jouir. »
En entendant ces mots, je me relève, récupère rapidement ma jupe, mon soutien-gorge et mon corsage et m’adresse à Virginie.
- « Excusez-moi, je ne recommencerai pas »
- « Si tu recommenceras avec nous », reprend Jeanne. « Embrasse Virginie. »
- « Virginie, nous cherchions une esclave sexuelle hé bien la voilà. Profitons-en. Je sais qu’elle a envie de baiser avec nous, elle m’a dit que quand elle nous avait surprises toutes les deux dans ma chambre ça l’avait excitée et qu’elle s’était masturbée. Déshabille-toi et demande-lui de te lécher la fente, tu vas voir elle le fait admirablement. Malheureusement je n’ai pas eu le temps de jouir, tu es arrivée trop tôt. »
Après s’être lentement dévêtue comme dans un striptease, en observant ma réaction elle lui fait un signe de doigt l’invitant à venir sur sa chatte en se couchant sur le canapé.
- « Bouffe la chatte de ma sœur petite salope et montre-moi bien ton cul que je le lèche. Tu dois obéir, pour l’instant tu n’es pas mon employée tu es notre jouet sexuel mais tu peux nous demander ce qui te ferais plaisir. Aimes-tu que je te bouffe le cul ? »
- « Oui j’aime bien et rentrez votre langue et vos doigts dans ma rosette, quand je suis seule, je me fais jouir par derrière. J’adore.
- « Vas-y, occupe-toi du con de Virginie, moi je vais te faire jouir. »
Après quelques minutes de jeu,Virginie et moi même partons dans un orgasme qui nous renverses par terre.
- « Suce mes doigts , tu vas voir le goût de ton cul. »
- « Madame Jeanne, vous m’avez dit que je pourrais exprimer un désir. J’aimerais vous voir vous gouiner toutes les deux devant moi pendant que je me branlerais et Virginie pourra vous faire jouir car apparemment vous n’avez pas eu votre compte. »
- « Détrompe toi j’ai joui en silence derrière toi. Viens Virginie, caresse-moi et offrons notre spectacle à cette petite dévergondée. »
Les seins se touchent, chacune a pris les fesses de l’autre à pleines mains et elles ondulent pour se frotter chatte contre chatte.
- « A toi Virginie, bouffe-moi la fente et ouvre bien ta bouche pour recevoir mon jus. »
- « C’est bon Jeanne, c’est chaud, ne te retiens pas envoie-moi ton urine. Sophie, viens sous nos cuisses, tu pourras également te laisser inonder la figure. »
Accroupie pour recevoir le nectar je me branle en même temps elle aussi se vide par terre comme une femme fontaine.
Un nouvel orgasme contrôlé envahit nos trois corps et met fin à ce petit jeu sans retenue.
1 月 前