Chap.22: Mes années d'étudiante (2)
Les yeux mi-clos, perdu dans une sorte de semi coma, Max respirait vite, comme un athlète qui a poussé trop loin ses limites.
Je l’observais avec un peu d’inquiétude. Ca m’aurait ennuyé qu’il connaisse le sort du regretté président Félix Faure, mort dans un salon de l’Elysée après une pipe trop bien réussie.
Je pris ma petite voix flutée de jeune étudiante timide
- Monsieur ? … C’était bien ?
Il se redressa un peu, ouvrit les yeux et sourit d’un air béat, comme s’il venait de voir la Vierge.
Vierge, je ne l’étais plus depuis longtemps, mais j’aimais bien laissait planer le doute.
- Oui… C’était très bien !
Il caressa ma joue et m’embrassa sur la bouche. Cette même bouche qui devait encore sentir l’odeur musquée de sa queue et dans laquelle il avait lâché sa semence virile.
- Merci ! Je suis si heureuse que vous ayez aimé !
Il sourit à nouveau. Puis, dans un élan, se leva. Il prit deux verres et me demanda ce que je voulais boire.
- Un tout petit peu de mojito…
Il me servit ce que je demandais et il s’octroya une bonne dose de whisky. Je vis aussi, bien qu’il essayait de se dissimuler, qu’il prenait un comprimé de couleur bleue.
Je devinais qu’il avait peur de tomber en panne et que, donc, il avait clairement l’intention de continuer ce que nous avions commencé.
Il revint s’assoir près de moi sur le canapé. Il m’embrassa à nouveau. Le mojito me faisait un peu tourner la tête, mais j’étais tout à fait consciente. Il caressait mes seins et mes cuisses et je vis que le petit comprimé bleu commençait à faire effet.
- Est-ce que tu es vierge ?
- N…non…
- Je m’en doutais un peu… Tu caches bien ton jeu… Combien d’hommes as-tu eu ?
- Euh… Trois…
J’essayais de répondre ce qui me paraissait plausible pour lui. La réalité était un peu différente. En dépit de mon jeune âge, j’avais déjà eu une quinzaine d’amants, au moins.
Le pire, c’est que j’avais du mal à donner un nombre exact, ayant participé, deux fois, à des orgies fortement alcoolisées où il était difficile de savoir avec combien d’hommes j’avais baisé.
- Et des femmes ?
- Euh… oui, ma colocataire.
- C’est bien !
J’eus une petite pensée pour Flavia, ma coloc italienne. Et pour Aline, ma copine de lycée, avec qui je partageais tout, y compris les garçons.
Max se leva. Il bandait comme un âne. Il approcha son engin de mon visage et je le repris dans ma bouche. Il soupirait doucement pendant que je le suçais.
Puis, il se retira et me fit lever, avant de m’entrainer vers sa chambre. Il me poussa sur le lit. Je me retrouvais sur le dos, jambes écartées, comme une invitation.
Les yeux de Max me faisaient penser à ceux du célèbre loup de Tex Avery. Il s’installa entre mes cuisses et me pénétra. Je poussais un petit cri de surprise qu’il prit pour un cri de douleur.
- Je t’ai fait mal ?
- Non… c’est que vous êtes… si gros en moi…
Il rit en se rengorgeant, fier de sa virilité que je venais de flatter outrageusement. Finalement, les hommes sont de grands enfants…
- Tu peux me tutoyer, tu sais…
- Oh, oui, bien sûr !
De fait, cependant, la queue de Max occupait bien tout l’espace de mon vagin. Et il avait une certaine expérience car je ressentis bientôt du plaisir à me faire saillir par ce sexe bien raide.
Je nouais mes jambes autour de ses reins et je l’encourageais.
- Oh oui… comme ça… c’est bon !
Je le serrais fort de mes bras et mes cuisses et lorsque je jouis je lui donnais à entendre mes plaintes et mes cris.
Alors, dans un spasme, il jouit lui aussi et je sentis sa semence tiède se répandre dans mon vagin.
Mon cœur battait à tout rompre. Dans un élan de tendresse envers celui qui venait de me faire jouir, je l’embrassais fougueusement.
- Merci ! C’était vraiment bien !
Il rit, satisfait, et me prit dans ses bras. L’alcool et l’orgasme aidant, il s’en.dor.mit et je ne tardais pas à faire de même.
Au cœur de la nuit, je sentis quelque chose qui s’insinuait entre mes jambes. Max était collé à mon dos et sa bite, redevenue comme du bois, se frayait un chemin.
Voyant que j’étais réveillée, il m’interrogea.
- As-tu déjà essayé la sodomie ?
- Non… j’ai toujours eu un peu peur…
- Peur de quoi ?
- D’avoir mal…
Il riait et caressait mon corps encore moite de nos étreintes.
- Avec moi, il n’y aura que du plaisir…
- Avec toi, j’en ai envie !
C’était vrai, mais c’était vrai aussi à chaque fois que j’avais accueilli une bite dans mon cul. Car j’ai toujours aimé ça, depuis l’âge de 16 ans, lorsque mes cousins, Paul et Jean, m’ont enculée pour la première fois.
Max me fit mettre à quatre pattes sur le lit. Ecartant mes fesses, il se mit à lécher mon orifice. Il y allait franchement et avec plaisir. Il léchait aussi ma chatte, encore gluante du sperme qu’il avait éjaculé deux heures avant.
Puis il fit entrer un doigt dans mon cul. Lentement, il travaillait mon anus pour qu’il s’élargisse et accepte d’autres doigts. J’adorais la sensation d’être fouillée par ses doigts.
Lorsque mon anus accepta trois doigts, il se mit derrière moi et présenta sa queue à l’entrée de mon cul.
Puis, lentement, il s’enfonça. La première porte franchie, il poussa pour passer le second obstacle. J’étais attentive à mes sensations et je ne fus pas déçue. Là encore, Max avait de l’expérience et la douleur du début s’effaça rapidement pour laisser place à une sensation agréable de plaisir.
- Ca va ?
- Oh oui… Encule-moi, mon chéri !
Il ne se le fit pas dire deux fois. Les va et vient commencèrent et j’éprouvais cette sensation délicieuse d’être une femelle se faisant saillir par un mâle.
Max me mordillait doucement l’épaule tout en m’enculant vigoureusement. Je me mis à gémir, puis à crier sous ses assauts de plus en plus furieux et je crois que ce sont mes cris qui déclenchèrent son orgasme.
Dans un rugissement, il se répandit à longs jets dans mes entrailles. Il resta ainsi un moment dans mon cul, jusqu’à ce que sa queue se ramollisse et qu’il s’effondre sur moi.
Le lendemain, je me réveillais, l’intérieur des cuisses et des fesses souillés par la semence de Max.
Il nous fit un bon café, ce qui est, pour moi, un critère essentiel. Un homme qui ne sait pas faire un bon café ne peut pas être un bon amant !
Je me rhabillais, après m’être douchée, et je remettais mon string lorsqu’il m’arrêta.
- Attends ! J’ai un cadeau pour toi…
Il tenait un plug à la main.
- Tu vas le garder dans ton joli cul toute la journée. Tu ne l'enlèveras que lorsque je te le dirais… Et je garde ton string en souvenir !
Il me fit pencher et introduisit le plug sans trop de mal dans mon anus un peu distendu par les assauts de sa bite.
Mon string alla rejoindre ce que je devinais être une collection de trophées, dans un tiroir de sa commode.
Je repris le chemin de l’université avec, dans mon cul, un objet qui était à la fois gênant et qui me procurait aussi d’agréables sensations.
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Thomas m’écoute attentivement, les yeux fiévreux. Dans sa main, sa queue est congestionnée. Je sens qu’il est temps de faire une pause.
Je m’approche de lui à quatre pattes. Il se branle furieusement puis se relâche. Le sperme jaillit de sa bite en longues giclées. Je le reçois sur mes cheveux et mon visage. Quand il a fini, dans un râle, de vider ses couilles, je prends sa queue et la suce.
Ce serait dommage de laisser perdre les dernières gouttes de sa liqueur…
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Ca continue bientôt !
Je l’observais avec un peu d’inquiétude. Ca m’aurait ennuyé qu’il connaisse le sort du regretté président Félix Faure, mort dans un salon de l’Elysée après une pipe trop bien réussie.
Je pris ma petite voix flutée de jeune étudiante timide
- Monsieur ? … C’était bien ?
Il se redressa un peu, ouvrit les yeux et sourit d’un air béat, comme s’il venait de voir la Vierge.
Vierge, je ne l’étais plus depuis longtemps, mais j’aimais bien laissait planer le doute.
- Oui… C’était très bien !
Il caressa ma joue et m’embrassa sur la bouche. Cette même bouche qui devait encore sentir l’odeur musquée de sa queue et dans laquelle il avait lâché sa semence virile.
- Merci ! Je suis si heureuse que vous ayez aimé !
Il sourit à nouveau. Puis, dans un élan, se leva. Il prit deux verres et me demanda ce que je voulais boire.
- Un tout petit peu de mojito…
Il me servit ce que je demandais et il s’octroya une bonne dose de whisky. Je vis aussi, bien qu’il essayait de se dissimuler, qu’il prenait un comprimé de couleur bleue.
Je devinais qu’il avait peur de tomber en panne et que, donc, il avait clairement l’intention de continuer ce que nous avions commencé.
Il revint s’assoir près de moi sur le canapé. Il m’embrassa à nouveau. Le mojito me faisait un peu tourner la tête, mais j’étais tout à fait consciente. Il caressait mes seins et mes cuisses et je vis que le petit comprimé bleu commençait à faire effet.
- Est-ce que tu es vierge ?
- N…non…
- Je m’en doutais un peu… Tu caches bien ton jeu… Combien d’hommes as-tu eu ?
- Euh… Trois…
J’essayais de répondre ce qui me paraissait plausible pour lui. La réalité était un peu différente. En dépit de mon jeune âge, j’avais déjà eu une quinzaine d’amants, au moins.
Le pire, c’est que j’avais du mal à donner un nombre exact, ayant participé, deux fois, à des orgies fortement alcoolisées où il était difficile de savoir avec combien d’hommes j’avais baisé.
- Et des femmes ?
- Euh… oui, ma colocataire.
- C’est bien !
J’eus une petite pensée pour Flavia, ma coloc italienne. Et pour Aline, ma copine de lycée, avec qui je partageais tout, y compris les garçons.
Max se leva. Il bandait comme un âne. Il approcha son engin de mon visage et je le repris dans ma bouche. Il soupirait doucement pendant que je le suçais.
Puis, il se retira et me fit lever, avant de m’entrainer vers sa chambre. Il me poussa sur le lit. Je me retrouvais sur le dos, jambes écartées, comme une invitation.
Les yeux de Max me faisaient penser à ceux du célèbre loup de Tex Avery. Il s’installa entre mes cuisses et me pénétra. Je poussais un petit cri de surprise qu’il prit pour un cri de douleur.
- Je t’ai fait mal ?
- Non… c’est que vous êtes… si gros en moi…
Il rit en se rengorgeant, fier de sa virilité que je venais de flatter outrageusement. Finalement, les hommes sont de grands enfants…
- Tu peux me tutoyer, tu sais…
- Oh, oui, bien sûr !
De fait, cependant, la queue de Max occupait bien tout l’espace de mon vagin. Et il avait une certaine expérience car je ressentis bientôt du plaisir à me faire saillir par ce sexe bien raide.
Je nouais mes jambes autour de ses reins et je l’encourageais.
- Oh oui… comme ça… c’est bon !
Je le serrais fort de mes bras et mes cuisses et lorsque je jouis je lui donnais à entendre mes plaintes et mes cris.
Alors, dans un spasme, il jouit lui aussi et je sentis sa semence tiède se répandre dans mon vagin.
Mon cœur battait à tout rompre. Dans un élan de tendresse envers celui qui venait de me faire jouir, je l’embrassais fougueusement.
- Merci ! C’était vraiment bien !
Il rit, satisfait, et me prit dans ses bras. L’alcool et l’orgasme aidant, il s’en.dor.mit et je ne tardais pas à faire de même.
Au cœur de la nuit, je sentis quelque chose qui s’insinuait entre mes jambes. Max était collé à mon dos et sa bite, redevenue comme du bois, se frayait un chemin.
Voyant que j’étais réveillée, il m’interrogea.
- As-tu déjà essayé la sodomie ?
- Non… j’ai toujours eu un peu peur…
- Peur de quoi ?
- D’avoir mal…
Il riait et caressait mon corps encore moite de nos étreintes.
- Avec moi, il n’y aura que du plaisir…
- Avec toi, j’en ai envie !
C’était vrai, mais c’était vrai aussi à chaque fois que j’avais accueilli une bite dans mon cul. Car j’ai toujours aimé ça, depuis l’âge de 16 ans, lorsque mes cousins, Paul et Jean, m’ont enculée pour la première fois.
Max me fit mettre à quatre pattes sur le lit. Ecartant mes fesses, il se mit à lécher mon orifice. Il y allait franchement et avec plaisir. Il léchait aussi ma chatte, encore gluante du sperme qu’il avait éjaculé deux heures avant.
Puis il fit entrer un doigt dans mon cul. Lentement, il travaillait mon anus pour qu’il s’élargisse et accepte d’autres doigts. J’adorais la sensation d’être fouillée par ses doigts.
Lorsque mon anus accepta trois doigts, il se mit derrière moi et présenta sa queue à l’entrée de mon cul.
Puis, lentement, il s’enfonça. La première porte franchie, il poussa pour passer le second obstacle. J’étais attentive à mes sensations et je ne fus pas déçue. Là encore, Max avait de l’expérience et la douleur du début s’effaça rapidement pour laisser place à une sensation agréable de plaisir.
- Ca va ?
- Oh oui… Encule-moi, mon chéri !
Il ne se le fit pas dire deux fois. Les va et vient commencèrent et j’éprouvais cette sensation délicieuse d’être une femelle se faisant saillir par un mâle.
Max me mordillait doucement l’épaule tout en m’enculant vigoureusement. Je me mis à gémir, puis à crier sous ses assauts de plus en plus furieux et je crois que ce sont mes cris qui déclenchèrent son orgasme.
Dans un rugissement, il se répandit à longs jets dans mes entrailles. Il resta ainsi un moment dans mon cul, jusqu’à ce que sa queue se ramollisse et qu’il s’effondre sur moi.
Le lendemain, je me réveillais, l’intérieur des cuisses et des fesses souillés par la semence de Max.
Il nous fit un bon café, ce qui est, pour moi, un critère essentiel. Un homme qui ne sait pas faire un bon café ne peut pas être un bon amant !
Je me rhabillais, après m’être douchée, et je remettais mon string lorsqu’il m’arrêta.
- Attends ! J’ai un cadeau pour toi…
Il tenait un plug à la main.
- Tu vas le garder dans ton joli cul toute la journée. Tu ne l'enlèveras que lorsque je te le dirais… Et je garde ton string en souvenir !
Il me fit pencher et introduisit le plug sans trop de mal dans mon anus un peu distendu par les assauts de sa bite.
Mon string alla rejoindre ce que je devinais être une collection de trophées, dans un tiroir de sa commode.
Je repris le chemin de l’université avec, dans mon cul, un objet qui était à la fois gênant et qui me procurait aussi d’agréables sensations.
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Thomas m’écoute attentivement, les yeux fiévreux. Dans sa main, sa queue est congestionnée. Je sens qu’il est temps de faire une pause.
Je m’approche de lui à quatre pattes. Il se branle furieusement puis se relâche. Le sperme jaillit de sa bite en longues giclées. Je le reçois sur mes cheveux et mon visage. Quand il a fini, dans un râle, de vider ses couilles, je prends sa queue et la suce.
Ce serait dommage de laisser perdre les dernières gouttes de sa liqueur…
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Ca continue bientôt !
6 月 前