Chap.23: Une soirée costumée
- Je continue à raconter ou tu es fatigué ?
Thomas me regarde, hésitant, puis ouvre la bouche. Mais au moment où il va parler, une autre voix s’élève.
- Moi, je veux bien connaitre la suite !
La silhouette de Romain sort de l’ombre où il était caché.
- Mon Romain !! Comme je suis heureuse !!
Je m’amuse de la gêne de Thomas. Il est vrai que se faire surprendre nu chez son cousin, juste après avoir éjaculé sur le visage de la femme de ce dernier, est une situation peu banale.
Je me jette dans ses bras et je l’embrasse tendrement. Il ne semble pas gêné par les grosses gouttes gluantes que Thomas a laissé sur moi.
- Ca fait longtemps que tu es là ?
- Suffisamment pour avoir une belle trique ! Tu racontes si bien les histoires…
Il joue avec la fermeture de mon collier noir. C’est un objet que nous avons acheté ensemble dans un magasin pour animaux.
Je me souviens de la tête du vendeur lorsque Romain l’a passé autour de mon cou pour savoir si la taille était bonne.
Romain enlève sa veste, sa chemise, ses chaussures et son pantalon. Sans plus de façon, il s’assied à côté de Thomas et lui frappe la cuisse du plat de sa main.
- Alors cousin, c’est un bon coup ma femme, non ?
- Heu, et bien…
- Ne t’en fait pas, je ne suis pas jaloux ! Au contraire, voir ma femme se faire baiser par d’autres me fait bander ! Alors, en plus, si c’est la famille…
Nous rions tous les trois.
- Alors, Shéhérazade ! On t’écoute !
-----------------------------------
J’ai rapidement compris pourquoi Max voulait que je porte un plug. C’était un adepte de la sodomie. Il aimait bien passer par la porte de derrière, comme il disait.
La seule chose qui m’inquiétait était sa consommation de pilules bleues. Il ne se cachait plus pour en prendre et je voyais bien que la dose recommandée était largement dépassée.
Un jour, il me reçut, visiblement fébrile.
- Nous sommes invités, ce soir. Je vais te dire comment t’habiller.
- Nous ?
- Oui. Je fais parti d’un club privé et je leur ai parlé de toi. Ils veulent te connaitre et, donc, nous sommes invités.
- Je ne suis pas sûre d’avoir envie, moi, de les connaitre…
Il me regardait d’un air égaré, la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau.
- Mais… On ne peut pas refuser ! Ce serait un gros problème pour moi !
Je faillis répondre que je m’en fichais comme de mon premier tampon périodique, mais je ne dis finalement rien.
Il faut dire qu’en plus de m’octroyer des notes très au dessus de mon niveau réel, mon professeur avait pris l’habitude de glisser quelques billets de cinquante euros dans mon sac à main à chacune de mes visites.
Je savais que c’était mal et que des esprits mal tournés auraient pu croire que j’étais une pute. Mais non seulement je prenais plaisir à dépenser cet argent mais je prenais aussi un plaisir pervers à le gagner à la sueur de mon con.
Je me doutais de quel genre de club il s’agissait et je m’attendait à le voir détailler la tenue approprié: lingerie fine, escarpins et tutti quanti. Bref, la tenue classique de l’e s c o r t.
Max sortit un grand carton de dessous son lit. A l’intérieur se trouvait une robe bleue que je reconnus immédiatement.
A ma grande stupéfaction, c’était la robe que portait Cendrillon lors du bal ou elle fit la conquête de son Prince Charmant.
Devant mon regard stupéfait, Max dit simplement :
- C’est une soirée costumée dont le thème est : le monde de Disney.
- En quoi seras-tu costumé ?
- Je suis le Capitaine Crochet !
Ce soir là, Max, qui conduisait assez mal à cause des bottes et du sabre du Capitaine Crochet, me conduisit donc dans une propriété située au fond d’un parc qui paraissait, en pleine nuit, être une forêt amazonienne.
Nous fûmes accueillis par Donald et Minnie. Donald était un jeune rouquin de mon âge, vêtu comme le célèbre canard. Minnie était assez corpulente, mais plutôt sympathique.
A l’intérieur, un immense buffet manquait de s’écrouler sous le poids des différents plats qui étaient proposés. Le champagne semblait couler à flots et tout le monde semblait fort joyeux.
D’ailleurs, Joyeux était là, avec ses frères. De véritables nains, costumés comme les célèbres sept nains. Blanche Neige leur faisait passer des petits fours que leur taille ne leur permettait pas d’att.ra.per seuls.
Je vis passer Mowgli, bras dessus, bras dessous avec Pocahontas. Puis arrivèrent Ariel, la petite Sirène en compagnie de Peter Pan.
Je me retournais vers Max pour lui désigner son vieil ennemi, mais il avait disparu.
Je tentais de reconnaitre tout le monde lorsqu’une voix très séduisante susurra à mon oreille.
- Jamais je n’ai vu une aussi jolie Cendrillon…
- Merci bien !
C’était Mulan, la célèbre guerrière chinoise. Elle était vêtue de son traditionnel costume et elle était renversante.
Sa longue chevelure noire était savamment arrangée sur le dessus de sa tête en un chignon très élaboré. Mais ce sont ses yeux d’un noir profond et son visage légèrement ambré que je trouvais absolument ravissants.
- Si vous êtes seule, je peux vous faire visiter les lieux…
- Oh ! C’est gentil ! Je suis venue avec mon… oncle, mais je l’ai perdu !
- Tant mieux ! Les oncles sont assommants !
Elle me fit passer par un couloir qui menait visiblement à des chambres. On entendait parfois des bruits clairement évocateurs. Des gens étaient très occupés à baiser.
Je regardais Mulan, mais elle ne semblait pas surprise. Elle ouvrit une des portes. La chambre était vide.
Elle m’invita à entrer. La chambre était grande et bien meublée. Un grand lit occupait le centre de la pièce. Il n’y avait cependant rien qui justifia notre visite.
Je me retournais vers Mulan pour avoir une explication. Sa douce main se posa sur ma joue et ses lèvres sur les miennes. Sa langue s’insinuait déjà dans ma bouche lorsque je me reculais.
- Je croyais que Mulan était amoureuse du général chinois ?
- Il ne faut pas croire ce qu’on raconte. Une femme qui se déguise en homme est nécessairement plus complexe que ça.
- Etes-vous un transexuel ?
- Bonne question ! Je t’invite à venir vérifier par toi-même !
J’éclatais de rire. Elle en profita pour m’attirer sur le lit. Ses lèvres étaient trop douces pour être honnêtes. Ses mains étaient comme des paillons qui voletaient autour de moi.
En un rien de temps, ma robe était au sol et Mulan suçait mes tétons. Sa main se faufilait sous ma lingerie et trouva ce qu’elle cherchait.
- La fontaine de Jouvence ! fit-elle en retirant ma culotte.
Jamais personne ne m’avait léché comme ça. Sa langue était chaude et douce ou bien durcissait pour stimuler mon clitoris. Ses doigts très longs visitaient mon vagin, tournant et retournant à l’intérieur.
Ses lèvres pinçaient doucement ma grande lèvre me soutirant des gémissements de plaisir.
Je ne m’étais jamais vraiment posé la question de savoir si j’aimais les filles. J’avais désormais la réponse.
J’entendis qu’on ouvrait la porte, juste au moment où je montais vers le paradis. Je décidais de me concentrer sur mon plaisir et d’ignorer l’intrusion.
Je jouis en libérant une quantité de liquide dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Mulan redoublait d’efforts de sa langue pour en absorber le maximum.
J’étais presque dans un état second lorsque la voix de Max me ramena sur terre.
- Claire ! Mais enfin ! Que fais-tu ?
- Elle prend son pied ! Ca semble plutôt évident, non ? répondit Mulan, moqueuse.
- Professeur Zhou ? Mais que faites- vous ici ?
- Je me délecte du fruit le plus savoureux de cette belle soirée ! Mais, rassurez-vous, Capitaine Crochet, je vous rends votre… nièce !
Elle appuya sur le mot ‘’nièce’’ tout en me regardant droit dans les yeux. Son regard moqueur me transperçait et je maudis cet idiot de Max pour son intrusion. Quel crétin ! Juste au moment ou Mulan me faisait découvrir un univers nouveau !
Max fusilla du regard Mulan lorsqu’elle sortit. Un autre homme était avec lui, le prince de Blanche-Neige.
Je me souvenais où j’avais déjà entendu parler du Professeur Zhou. C’était une étudiante qui vantait la pédagogie de cette jeune chargée de cours, dont on disait qu’elle était une e s p i o n n e à la solde des Russes ou des Chinois, ou peut-être même des Australiens.
Je me promis de faire plus ample connaissance avec cette enseignante dès que possible.
Je me rhabillais sous l’œil intéressé du Prince Charmant et l’œil furibond de Max.
De retour dans la grande salle, l’ambiance avait changé.
Sur les banquettes de côté droit, Minnie était en train de sucer Donald. Pluto avait relevé sa robe et, sa bite en érection, il avait visiblement l’intention de l’enculer.
Un peu plus loin, les sept Nains avaient enlevé leurs chausses et leurs culottes. De dessous leurs vestes de chasse sortaient d’invraisemblables gourdins dont ils avaient visiblement l’intention d’user sur Blanche-Neige, mais aussi sur la Sorcière qui en avait perdu sa pomme rouge.
Quant à Dumbo, il était couché sur le dos, sa trompe dans la bouche d’Alice. Pocahontas était perchée sur lui et il lui dégustait sa jolie chatte.
Je me retournais pour interroger Max, mais il avait encore disparu. Le prince charmant qui l’accompagnait avait, lui, trouvé de la compagnie. Bagheera, une splendide noire au corps de panthère, était en train d’astiquer sa bite avec beaucoup d’entrain.
Blanche-Neige hurlait de plaisir. Du moins quand la bite de Simplet n’occupait pas sa bouche. Deux autres nains s’activaient, l’un dans le cul de la belle brune, l’autre dans sa chatte.
La Sorcière avait laissé tomber les autres nains. Ils étaient déconfits, la bite trainant sur le sol.
Lorsqu’ils me virent, leurs regards s’éclairèrent d’une lueur lubrique.
- Cendrillon ! Viens avec nous !
Ils m’entrainèrent vers les coussins, à côté de l’endroit ou leurs frères, en chantant ‘’Hey Ho, hey ho, on rentre du boulot’’, possédaient Blanche-Neige par tous ses orifices.
Soudain, la jolie princesse brune se mit à crier de plaisir. Prof, qui était dans sa bouche, en sortit pour l’arroser de sperme gluant. Elle en avait partout, comme si un éléphant avait éjaculé sur elle.
Les deux autres nains se mirent à pousser des râles de plaisir et se répandirent en elle. Lorsqu’ils se retirèrent, je vis, fascinée, couler leur semence entre les cuisses de Blanche-Neige.
Je ne disais rien, sidérée. J’avais souvent entendu dire que les attributs virils des nains étaient surdimensionnés mais jamais je n’aurais pensé qu’ils possédaient des queues comme des gourdins.
Dormeur et Atchoum profitèrent de ma surprise pour me déshabiller avec une habileté et une rapidité que je n’aurais jamais soupçonnée.
- Elle n’a pas de culotte ! s’écria Atchoum.
Les autres Nains rirent en battant des mains.
C’était vrai. Ma culotte avait du rester dans la chambre. A moins que Mulan en fasse collection…
Allongé sur le dos, Dormeur ressemblait à la place de la Concorde, son obélisque bien en chair pointant vers le ciel.
Atchoum et Timide me soulevèrent et m’empalèrent sur leur frère. Je criais lorsque je sentis l’éperon de chair entrait en moi, mais je ne peux pas dire que j’ai eu mal en accueillant cette énorme queue.
Disons qu’elle occupait tout l’espace.
Timide, qui ne méritait guère son nom, prit ma tête entre ses mains et fourra sa bite dans ma bouche. Je crus que mes mâchoires allaient se démonter, mais je suçais, tant bien que mal, cette énorme masse de chair palpitante qui allait et venait dans ma bouche.
Atchoum se positionna pour m’enculer. Je voulus protester mais comment protester lorsqu’on a la bouche occupée par une saucisse de Morteau vivante ?
Je criais de douleur lorsqu’il m’encula. Je pensais qu’il m’avait déchirée, mais, au bout de quelques minutes, la douleur s’estompa.
Comme Blanche-Neige, j’étais portée par ces trois nains qui prenaient leur plaisir en me possédant par tous les orifices. C’était la première fois que je ressentais une telle émotion.
Je fus très étonnée de sentir le plaisir monter. Petit à petit, les coups des énormes pistons avaient comme réveillé le monstre qui dormait en moi. C’était désormais moi qui les encourageais de la voix et du geste. Ils riaient en commentant de façon cru.
- T’aurait cru que Cendrillon soit une telle salope, toi ? demandait Dormeur.
- Elle suce comme une déesse, je vais bientôt jouir ! fit Timide d’une voix altérée.
- Son cul est serré ! C’est un vrai délice pour ma bite ! commenta Atchoum.
Je poussais un long cri, empêchant Timide de me fourrer sa queue dans la bouche. Lorsque, au paroxysme du plaisir, je me cambrais, il éjacula sur mon visage en longues giclées gluantes.
Ses deux frères, comme répondant à un signal, jouirent aussitôt dans mon cul et ma chatte.
Ils restèrent en moi et je n’essayais pas de me ‘’débrancher’’ de leurs énormes sexes car je sentais que je n’avais plus aucune énergie.
Je perdis conscience à ce moment là.
------------------------------
Romain applaudit en riant. Thomas ne dit rien mais je lisais dans ses yeux qu’il redevenait un fan de Disney.
- On va essayer de voir si on fait aussi bien que ces nains ! fait Romain en se levant.
Il s’allonge sur le sol et je le rejoins. Sa queue a besoin d’un peu d’aide pour montrer le plafond. Je le suce langoureusement. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu sa queue dans ma bouche et je m’applique, de la langue et des lèvres, à lui rendre nos retrouvailles agréables.
Mais il m’attire vers lui et je l’enjambe pour m’empaler sur sa queue.
- Allez Thomas ! fait-il. Viens enculer ma petite femme chérie !
------------------------------
La suite... surement bientôt !
Thomas me regarde, hésitant, puis ouvre la bouche. Mais au moment où il va parler, une autre voix s’élève.
- Moi, je veux bien connaitre la suite !
La silhouette de Romain sort de l’ombre où il était caché.
- Mon Romain !! Comme je suis heureuse !!
Je m’amuse de la gêne de Thomas. Il est vrai que se faire surprendre nu chez son cousin, juste après avoir éjaculé sur le visage de la femme de ce dernier, est une situation peu banale.
Je me jette dans ses bras et je l’embrasse tendrement. Il ne semble pas gêné par les grosses gouttes gluantes que Thomas a laissé sur moi.
- Ca fait longtemps que tu es là ?
- Suffisamment pour avoir une belle trique ! Tu racontes si bien les histoires…
Il joue avec la fermeture de mon collier noir. C’est un objet que nous avons acheté ensemble dans un magasin pour animaux.
Je me souviens de la tête du vendeur lorsque Romain l’a passé autour de mon cou pour savoir si la taille était bonne.
Romain enlève sa veste, sa chemise, ses chaussures et son pantalon. Sans plus de façon, il s’assied à côté de Thomas et lui frappe la cuisse du plat de sa main.
- Alors cousin, c’est un bon coup ma femme, non ?
- Heu, et bien…
- Ne t’en fait pas, je ne suis pas jaloux ! Au contraire, voir ma femme se faire baiser par d’autres me fait bander ! Alors, en plus, si c’est la famille…
Nous rions tous les trois.
- Alors, Shéhérazade ! On t’écoute !
-----------------------------------
J’ai rapidement compris pourquoi Max voulait que je porte un plug. C’était un adepte de la sodomie. Il aimait bien passer par la porte de derrière, comme il disait.
La seule chose qui m’inquiétait était sa consommation de pilules bleues. Il ne se cachait plus pour en prendre et je voyais bien que la dose recommandée était largement dépassée.
Un jour, il me reçut, visiblement fébrile.
- Nous sommes invités, ce soir. Je vais te dire comment t’habiller.
- Nous ?
- Oui. Je fais parti d’un club privé et je leur ai parlé de toi. Ils veulent te connaitre et, donc, nous sommes invités.
- Je ne suis pas sûre d’avoir envie, moi, de les connaitre…
Il me regardait d’un air égaré, la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau.
- Mais… On ne peut pas refuser ! Ce serait un gros problème pour moi !
Je faillis répondre que je m’en fichais comme de mon premier tampon périodique, mais je ne dis finalement rien.
Il faut dire qu’en plus de m’octroyer des notes très au dessus de mon niveau réel, mon professeur avait pris l’habitude de glisser quelques billets de cinquante euros dans mon sac à main à chacune de mes visites.
Je savais que c’était mal et que des esprits mal tournés auraient pu croire que j’étais une pute. Mais non seulement je prenais plaisir à dépenser cet argent mais je prenais aussi un plaisir pervers à le gagner à la sueur de mon con.
Je me doutais de quel genre de club il s’agissait et je m’attendait à le voir détailler la tenue approprié: lingerie fine, escarpins et tutti quanti. Bref, la tenue classique de l’e s c o r t.
Max sortit un grand carton de dessous son lit. A l’intérieur se trouvait une robe bleue que je reconnus immédiatement.
A ma grande stupéfaction, c’était la robe que portait Cendrillon lors du bal ou elle fit la conquête de son Prince Charmant.
Devant mon regard stupéfait, Max dit simplement :
- C’est une soirée costumée dont le thème est : le monde de Disney.
- En quoi seras-tu costumé ?
- Je suis le Capitaine Crochet !
Ce soir là, Max, qui conduisait assez mal à cause des bottes et du sabre du Capitaine Crochet, me conduisit donc dans une propriété située au fond d’un parc qui paraissait, en pleine nuit, être une forêt amazonienne.
Nous fûmes accueillis par Donald et Minnie. Donald était un jeune rouquin de mon âge, vêtu comme le célèbre canard. Minnie était assez corpulente, mais plutôt sympathique.
A l’intérieur, un immense buffet manquait de s’écrouler sous le poids des différents plats qui étaient proposés. Le champagne semblait couler à flots et tout le monde semblait fort joyeux.
D’ailleurs, Joyeux était là, avec ses frères. De véritables nains, costumés comme les célèbres sept nains. Blanche Neige leur faisait passer des petits fours que leur taille ne leur permettait pas d’att.ra.per seuls.
Je vis passer Mowgli, bras dessus, bras dessous avec Pocahontas. Puis arrivèrent Ariel, la petite Sirène en compagnie de Peter Pan.
Je me retournais vers Max pour lui désigner son vieil ennemi, mais il avait disparu.
Je tentais de reconnaitre tout le monde lorsqu’une voix très séduisante susurra à mon oreille.
- Jamais je n’ai vu une aussi jolie Cendrillon…
- Merci bien !
C’était Mulan, la célèbre guerrière chinoise. Elle était vêtue de son traditionnel costume et elle était renversante.
Sa longue chevelure noire était savamment arrangée sur le dessus de sa tête en un chignon très élaboré. Mais ce sont ses yeux d’un noir profond et son visage légèrement ambré que je trouvais absolument ravissants.
- Si vous êtes seule, je peux vous faire visiter les lieux…
- Oh ! C’est gentil ! Je suis venue avec mon… oncle, mais je l’ai perdu !
- Tant mieux ! Les oncles sont assommants !
Elle me fit passer par un couloir qui menait visiblement à des chambres. On entendait parfois des bruits clairement évocateurs. Des gens étaient très occupés à baiser.
Je regardais Mulan, mais elle ne semblait pas surprise. Elle ouvrit une des portes. La chambre était vide.
Elle m’invita à entrer. La chambre était grande et bien meublée. Un grand lit occupait le centre de la pièce. Il n’y avait cependant rien qui justifia notre visite.
Je me retournais vers Mulan pour avoir une explication. Sa douce main se posa sur ma joue et ses lèvres sur les miennes. Sa langue s’insinuait déjà dans ma bouche lorsque je me reculais.
- Je croyais que Mulan était amoureuse du général chinois ?
- Il ne faut pas croire ce qu’on raconte. Une femme qui se déguise en homme est nécessairement plus complexe que ça.
- Etes-vous un transexuel ?
- Bonne question ! Je t’invite à venir vérifier par toi-même !
J’éclatais de rire. Elle en profita pour m’attirer sur le lit. Ses lèvres étaient trop douces pour être honnêtes. Ses mains étaient comme des paillons qui voletaient autour de moi.
En un rien de temps, ma robe était au sol et Mulan suçait mes tétons. Sa main se faufilait sous ma lingerie et trouva ce qu’elle cherchait.
- La fontaine de Jouvence ! fit-elle en retirant ma culotte.
Jamais personne ne m’avait léché comme ça. Sa langue était chaude et douce ou bien durcissait pour stimuler mon clitoris. Ses doigts très longs visitaient mon vagin, tournant et retournant à l’intérieur.
Ses lèvres pinçaient doucement ma grande lèvre me soutirant des gémissements de plaisir.
Je ne m’étais jamais vraiment posé la question de savoir si j’aimais les filles. J’avais désormais la réponse.
J’entendis qu’on ouvrait la porte, juste au moment où je montais vers le paradis. Je décidais de me concentrer sur mon plaisir et d’ignorer l’intrusion.
Je jouis en libérant une quantité de liquide dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Mulan redoublait d’efforts de sa langue pour en absorber le maximum.
J’étais presque dans un état second lorsque la voix de Max me ramena sur terre.
- Claire ! Mais enfin ! Que fais-tu ?
- Elle prend son pied ! Ca semble plutôt évident, non ? répondit Mulan, moqueuse.
- Professeur Zhou ? Mais que faites- vous ici ?
- Je me délecte du fruit le plus savoureux de cette belle soirée ! Mais, rassurez-vous, Capitaine Crochet, je vous rends votre… nièce !
Elle appuya sur le mot ‘’nièce’’ tout en me regardant droit dans les yeux. Son regard moqueur me transperçait et je maudis cet idiot de Max pour son intrusion. Quel crétin ! Juste au moment ou Mulan me faisait découvrir un univers nouveau !
Max fusilla du regard Mulan lorsqu’elle sortit. Un autre homme était avec lui, le prince de Blanche-Neige.
Je me souvenais où j’avais déjà entendu parler du Professeur Zhou. C’était une étudiante qui vantait la pédagogie de cette jeune chargée de cours, dont on disait qu’elle était une e s p i o n n e à la solde des Russes ou des Chinois, ou peut-être même des Australiens.
Je me promis de faire plus ample connaissance avec cette enseignante dès que possible.
Je me rhabillais sous l’œil intéressé du Prince Charmant et l’œil furibond de Max.
De retour dans la grande salle, l’ambiance avait changé.
Sur les banquettes de côté droit, Minnie était en train de sucer Donald. Pluto avait relevé sa robe et, sa bite en érection, il avait visiblement l’intention de l’enculer.
Un peu plus loin, les sept Nains avaient enlevé leurs chausses et leurs culottes. De dessous leurs vestes de chasse sortaient d’invraisemblables gourdins dont ils avaient visiblement l’intention d’user sur Blanche-Neige, mais aussi sur la Sorcière qui en avait perdu sa pomme rouge.
Quant à Dumbo, il était couché sur le dos, sa trompe dans la bouche d’Alice. Pocahontas était perchée sur lui et il lui dégustait sa jolie chatte.
Je me retournais pour interroger Max, mais il avait encore disparu. Le prince charmant qui l’accompagnait avait, lui, trouvé de la compagnie. Bagheera, une splendide noire au corps de panthère, était en train d’astiquer sa bite avec beaucoup d’entrain.
Blanche-Neige hurlait de plaisir. Du moins quand la bite de Simplet n’occupait pas sa bouche. Deux autres nains s’activaient, l’un dans le cul de la belle brune, l’autre dans sa chatte.
La Sorcière avait laissé tomber les autres nains. Ils étaient déconfits, la bite trainant sur le sol.
Lorsqu’ils me virent, leurs regards s’éclairèrent d’une lueur lubrique.
- Cendrillon ! Viens avec nous !
Ils m’entrainèrent vers les coussins, à côté de l’endroit ou leurs frères, en chantant ‘’Hey Ho, hey ho, on rentre du boulot’’, possédaient Blanche-Neige par tous ses orifices.
Soudain, la jolie princesse brune se mit à crier de plaisir. Prof, qui était dans sa bouche, en sortit pour l’arroser de sperme gluant. Elle en avait partout, comme si un éléphant avait éjaculé sur elle.
Les deux autres nains se mirent à pousser des râles de plaisir et se répandirent en elle. Lorsqu’ils se retirèrent, je vis, fascinée, couler leur semence entre les cuisses de Blanche-Neige.
Je ne disais rien, sidérée. J’avais souvent entendu dire que les attributs virils des nains étaient surdimensionnés mais jamais je n’aurais pensé qu’ils possédaient des queues comme des gourdins.
Dormeur et Atchoum profitèrent de ma surprise pour me déshabiller avec une habileté et une rapidité que je n’aurais jamais soupçonnée.
- Elle n’a pas de culotte ! s’écria Atchoum.
Les autres Nains rirent en battant des mains.
C’était vrai. Ma culotte avait du rester dans la chambre. A moins que Mulan en fasse collection…
Allongé sur le dos, Dormeur ressemblait à la place de la Concorde, son obélisque bien en chair pointant vers le ciel.
Atchoum et Timide me soulevèrent et m’empalèrent sur leur frère. Je criais lorsque je sentis l’éperon de chair entrait en moi, mais je ne peux pas dire que j’ai eu mal en accueillant cette énorme queue.
Disons qu’elle occupait tout l’espace.
Timide, qui ne méritait guère son nom, prit ma tête entre ses mains et fourra sa bite dans ma bouche. Je crus que mes mâchoires allaient se démonter, mais je suçais, tant bien que mal, cette énorme masse de chair palpitante qui allait et venait dans ma bouche.
Atchoum se positionna pour m’enculer. Je voulus protester mais comment protester lorsqu’on a la bouche occupée par une saucisse de Morteau vivante ?
Je criais de douleur lorsqu’il m’encula. Je pensais qu’il m’avait déchirée, mais, au bout de quelques minutes, la douleur s’estompa.
Comme Blanche-Neige, j’étais portée par ces trois nains qui prenaient leur plaisir en me possédant par tous les orifices. C’était la première fois que je ressentais une telle émotion.
Je fus très étonnée de sentir le plaisir monter. Petit à petit, les coups des énormes pistons avaient comme réveillé le monstre qui dormait en moi. C’était désormais moi qui les encourageais de la voix et du geste. Ils riaient en commentant de façon cru.
- T’aurait cru que Cendrillon soit une telle salope, toi ? demandait Dormeur.
- Elle suce comme une déesse, je vais bientôt jouir ! fit Timide d’une voix altérée.
- Son cul est serré ! C’est un vrai délice pour ma bite ! commenta Atchoum.
Je poussais un long cri, empêchant Timide de me fourrer sa queue dans la bouche. Lorsque, au paroxysme du plaisir, je me cambrais, il éjacula sur mon visage en longues giclées gluantes.
Ses deux frères, comme répondant à un signal, jouirent aussitôt dans mon cul et ma chatte.
Ils restèrent en moi et je n’essayais pas de me ‘’débrancher’’ de leurs énormes sexes car je sentais que je n’avais plus aucune énergie.
Je perdis conscience à ce moment là.
------------------------------
Romain applaudit en riant. Thomas ne dit rien mais je lisais dans ses yeux qu’il redevenait un fan de Disney.
- On va essayer de voir si on fait aussi bien que ces nains ! fait Romain en se levant.
Il s’allonge sur le sol et je le rejoins. Sa queue a besoin d’un peu d’aide pour montrer le plafond. Je le suce langoureusement. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu sa queue dans ma bouche et je m’applique, de la langue et des lèvres, à lui rendre nos retrouvailles agréables.
Mais il m’attire vers lui et je l’enjambe pour m’empaler sur sa queue.
- Allez Thomas ! fait-il. Viens enculer ma petite femme chérie !
------------------------------
La suite... surement bientôt !
6 月 前