La femme de Monsieur le Maire (1)
Récit entièrement fantasme en partie avec l’aide d’une complice de xhamster.
Liste des personnages présents :
- David : 52 ans voisin du Maire.
- Michelle : 55 ans femme du Maire.
- André : 58 ans Maire d’une ville du Sud.
Partie 1 : La rencontre.
Je me prénomme David, 52 ans, célibataire, libertin et patron d’une entreprise de vidéo surveillance. Cela fait déjà 1 mois que je suis devenu l’amant de femme du Maire de mon village. Voici comme cela est arrivé.
Je viens d’acheter une maison dans un village de 5 000 habitants qui est mitoyenne à celle de notre nouveau Maire. Celui-ci André R. est un Maire d’extrême droite. J’entends dire dans le café du village que son allure de bon vivant est pour le moment apprécié par la population, ce qui contraste avec sa femme Michelle, qui appartient à une grande famille bourgeoise catho, qui parait au premier abord hautaine et semble froide.
Celui-ci par courtoisie m’a invité un samedi soir à un repas, où il y avait une dizaine d’invité, chez eux. N’étant pas de son bord politique, j’ai malgré tout accepté par souci de bon voisinage et aussi en tant que patron d’entreprise, me disant que cela ne pouvait pas faire de mal à mon entreprise.
J’avoue que ce repas fut pour moi très révélateur de leur personnalité. J’ai dû ravaler mes opinions quand les discussions ont dérivés sur les migrants et sur leurs propos racistes qui ont le don de m’horripiler.
Mais le plus intéressant c’est qu’au cours de ce repas, j’ai remarqué que son épouse était souvent gênée par les propos de son mari, baissant souvent le regard et soupirant discrètement. Je devine assez aisément qu’elle n’est pas heureuse en couple et que le confort t la situation aisée du couple est pour elle plus importante que son propre bonheur. Lors de ce repas, j’étais face à elle et j’ai pu constaté combien sa beauté froide me fascinait et lorsque je lui lançais plusieurs regard insistant, j’ai vu son trouble, qu’elle rougissait légèrement, mettant souvent ses mains sous la table serrant ses cuisses, était-elle en train d’être excitée ? En tant que libertin, légèrement dominant je me dis que si un jour j’ai une occasion avec elle je ne m’en priverais pas.
Et justement dès le lendemain en ce dimanche matin, cette occasion s’est présenté. Revenant d’un léger jogging, juste habillé d’un short et d’un T-shirt, je la vois en train de regarder sous le capot de sa mini. Elle est habillée chic, une belle robe blanche avec des talons hauts. Je me souviens qu’hier elle avait dit vouloir aller à la messe ce dimanche pendant que son époux de Maire allait à la chasse.
- David : « Bonjour Michelle ! un souci avec votre Mini ?
- Michelle : « Oh bonjour cher voisin. Oui je ne sais pas ce qu’elle a mais pas moyen de la faire démarrer. »
- David : « Laissez moi y jeter un œil même si je ne suis pas expert. »
- Michelle : « Merci c’est gentil, faut dire que j’aimerais me rendre à la cathédrale pour la messe de Pâques. »
Son léger sourire en coin me plait et je la trouve hyper désirable. Pendant que je tourne autour de sa mini pour aller voir sous le capot, je constate que celle-ci ne se gêne pas pour mater mes fesses. J’ai très vite trouvé le problème, un petit souci de démarreur et le tour est joué.
En légère sueur, plus par mon footing que d’avoir réparé sa caisse, je m’essuie le visage avec mon T-shirt et je la surprend à mater mon torse. Je ne suis pas un mec bodybuildé mais je fais en sorte d’avoir un corps assez bien entretenu. Elle retire vite fait son regard et je vois ses joues qui s’empourpre.
- David : « Voilà c’est réglé, vous ne se serez pas en retard. »
- Michelle : « C’est trop gentil, comment vous remerciez ? »
- David : « Ben rentrez boire un café, j’en ai grandement besoin après ce sport. »
- Michelle : « Une autre fois, je vais être en retard. »
- David : « Cela prendra à peine 5 minutes et le dimanche y a personne sur la route, vous pouvez bien faire cela pour moi, j’aime bien boire un café en charmante compagnie. »
Elle accepte en souriant et en disant « rapide alors » et je sais que je viens de le ferrer. Je la laisse passer devant moi en mettant ma main sur son dos, une légère pression pour la faire avancer dans mon allée goudronné. On sent la bourge habile aves ses talons hauts et elle bouge bien du cul, serait-elle en train de m’allumer, je vais vite m’en rendre compte.
Pendant que la machine expresso fait couler nos 2 cafés, elle s’installe sur un mange debout près du comptoir de la cuisine. Je pousse le vice en allant me changer et je reviens le torse nu m’essuyant avec une serviette avant d’enfiler un T-shirt propre. Elle n’a pas détourner le regard et rougis encore quand je la regarde intensément. En lui tentant son café, je vais exprès de frôler sa cuisse avec ma main et de suite je vois sa peau avoir la chair de poule. Je pousse alors cet avantage en la complimentant sur sa tenue, que son homme a la chance d’avoir une femme aussi séduisante. Elle ose juste me répondre.
- Michelle : « Arrêtez, vous êtes un charmeur et cela fait un moment qu’André ne fait plus attention à moi. »
- David : « Il a tord mais bon il doit être pris par son métier maintenant. »
- Michelle : « Oh que oui. Votre café est délicieux mais je vais devoir y aller et encore merci pour ma voiture. Sans vous j’allais rater la messe. »
Elle se lève et je la précède dans le couloir. Au moment de se dire au revoir, elle me tend la main, je ricane légèrement et d’une pulsion soudaine je prochaine et l’embrasse la plaquant contre le mur. Instantanément ma main se plaque sous sa robe, elle ne proteste même pas et sa bouche s’ouvre pour accueillir mon baiser fougueux, je ne me suis pas trompé sur cette femme qui doit être en manque de passion et de sexe. Ma main est au niveau de son string et je constate une légère humidité à ce niveau.
- David : « Alors madame le Maire, on est excitée à ce que je vois. »
- Michelle : « Oh mon Dieu, c’est pas bien mais oui cela fait du bien, ne vous arrêtez pas. »
- David : « J’en avais pas l’intention. »
Ma main écarte son string et d’entrée un doigt fouille son intimité, c’est elle maintenant qui m’embrasse en allant chercher ma langue. Je pousse le vice encore plus loin car je veux la baiser ici et maintenant comme une vulgaire salope. Je la retourne brusquement main contre le mur, j’arrache son string qui tombe à ses pieds et lui remonte sa jupe. Elle porte de magnifique porte-jarretelle blanc, image même de la bourgeoise. J’ai une vue parfaite sur ses jolies fesses assez bronzée, on voit qu’elle a du temps pour faire sans doute des UV. Son sexe est bien épilé, un second doigt entre en elle et elle pousse un soupir d’extase. Ni tenant plus j’entre ma queue en elle sans aucune difficulté vus comme elle mouille bien. Je la besogne sans ménagement et à chaque coup de bite elle pousse un cri. Je lui donne une bonne fessée, elle se retourne pour me regarder et contrairement à ce que je pensais, pas un mauvais regard mais ses yeux pétillent et je me dis qu’elle a l’air d’aimer cela finalement. J’en profite alors pour lui faire rosir ses fesses. Je la sens défaillir, ses muscles qui se contractent, sa respiration qui se fait plus intense et d’un léger spasme, elle joue sur ma queue. Forcément n’y tenant plus, je jouis intensément au fond de son vagin. En me retirant, elle ne bouge plus, gardant encore ses mains contre le mur, tremblant légèrement. Je vois une larme qui coule sur sa joue. Je la retourne délicatement et lèche cette larme et l’embrasse avec passion.
- David : « C’était sur depuis hier que tu avais envie de moi ma petite bourgeoise. Dis moi ta panne de voiture était une excuse ? »
- Michelle : « Ah non je vous assure, c’était une vraie panne. »
Je la laisse remettre un peu d’ordre dans ses habits. Je ramasse son string et le range dans ma poche.
- David : « Je le garde, je t’attend demain pour venir la récupérer. »
Je vois qu’elle a honte mais ne dit rien. Elle me tend la main, même après ce moment de baise intense et lui fait un baise main en lui souhaitant une bonne messe avec sans doute une confession à faire au curé après.
Depuis cette première rencontre, cela fait un mois que nous sommes devenus des amants réguliers. Au début 2, 3 rencontres par semaine chez moi, en toute discrétion la journée. Mais maintenant il ne se passe pas un jour sans qu’on se voit. Comme son mari le Maire est en déplacement professionnel, je les même baisé dans son lit conjugal, elle en a eu honte sur le coup mais elle fut pris ton orgasme intense ensuite. Pour le moment elle me refuse toujours l’entrée de son cul mais je ne m’avoue pas vaincue....
à suivre
Récit écrit par une coquine de ce site présentant le point de vue de l’épouse du Maire :
Je reprends doucement mon souffle. À côté de moi, David étire son sublime corps, satisfait. Cela fait un mois qu'il me baise comme un dieu. Dès que je l'ai vu emménagé à côté de chez nous, je suis tombée sous le charme malgré un côté un peu beauf, il ne faut pas le nier. Mon mari, le maire RN de la commune, avait organisé un dîner en l'invitant comme voisin. Les autres invités, des notables influents, avaient complété la tablée. Toute la soirée, David m'avait dévorée des yeux avec tellement d'envie que j'en avais humidifié ma culotte.
Le lendemain matin, un dimanche, mon mari était déjà à la chasse et, moi, je m'apprêtais à aller à la messe pour nous assurer les voix des catholiques lors des prochaines élections. Robe du dimanche, talons, petit carré Hermès sur les épaules. Seul hic, ma Mini ne veut pas démarrer. Ça me contrarie et commence chercher une solution alternative. C'est alors que notre nouveau voisin débarque en short et t-shirt de son footing, apparemment, et me demande ce qui ne va pas. Je lui explique la situation et il me demande d'ouvrir le capot. Je le regarde bricoler dedans. Ses muscles roulent sous son t-shirt serré, il est magnifique. Ma mini démarre enfin. Je lui demande comment je peux le remercier. Simplement en prenant un café avec lui. Je réponds que je ne vais pas avoir le temps. Allez, juste 5 minutes. Entre nouveaux voisins. Je finis par accepter. Il me précède dans son allée et j'en profite pour admirer sa silhouette athlétique impressionnante.
Sa maison n'est pas finie d'être aménagée, la décoration est encore sommaire, mais on sent l'homme de goût. Il pose mon café sur le comptoir de sa cuisine américaine. Innocemment ou pas, en venant s'assoir en face de moi, il m'a frôlé. J'ai eu un frisson électrisant qui m'a troublée. Il s'absente quelques temps et revient torse nu avant d'enfiler un t-shirt propre. Après une conversation assez banale où il me fait des compliments réguliers mais qui tombent un peu à plat, je lui signifie que je dois vraiment y aller.
Dans le couloir, je lui tends la main et, sans prévenir, il m'embrasse sauvagement sur les lèvres. Sa main se colle sur mon pubis. Je sursaute de surprise. Il dégage tellement de testostérone que j'en suis perturbée. Ça fait si longtemps que mon mari ne m'a pas désirée aussi puissamment. Sa main s'est faufilé sous ma robe et il vient de découvrir que j'ai un porte-jarretelles. « Une vraie bourgeoise » lâche-t-il. Il poursuit son avantage et immisce un doigt dans mon vagin. « Oh mon Dieu, me dis-je en moi-même. Que suis-je en train de faire ? » Je m'abandonne sans trop savoir ce que je fais. Il me retourne et me plaque contre le mur. Je m'appuie dessus comme je peux pour ne pas perdre l'équilibre avec mes talons. Il relève ma robe avec brusquerie et ôte mon string qui tombe sur mes chevilles. Tout va si vite. Il me penche en avant, J'ai les fesses à l'air, la robe remontée. Je veux me retourner pour voir ce qu'il se passe au moment où il plante son sexe en moi. C'est rentré tout seul tellement je mouille. Oh oui, ça fait trop du bien de sentir une bite me remplir comme il faut, c'est une sensation si lointaine. Il me met déjà des grands coups de rein. Je lâche un cri à chaque fois. Soudain, il me donne une bonne claque sur le cul. Oh oui. Ça m'excite et il le voit sur le champs. Il recommence en faisant bien claquer mon gros cul. Il continue encore. Je sens chaque centimètre de son membre plonger au fond de mon vagin à chaque mouvement de ses hanches. Je me cambre un peu plus pour faciliter la pénétration. Je m'abandonne irrévocablement et j'ai envie de lui dire de taper encore plus fort dans ma chatoune. Je n'ose pas. On ne m'a pas élevée ainsi. Mon Dieu, je vais jouir avec un autre homme que mon mari. Ma respiration se coupe une éternité puis je crie à chaque spasme orgasmique qui secoue mes entrailles, tout mon corps s'ébranle, une larme de bonheur perle sur mon visage. David, pour une première fois, éjacule en moi en me mettant une dernière fessée qui me fait tressaillir. Je reste appuyée contre le mur, sans bouger, dans les vapes, les jambes tremblantes. « J'étais sûr que tu avais envie de moi ma petite bourgeoise ». Je me demande pourquoi les femmes élégantes (que les autres appellent bourgeoise) attirent autant les hommes. Enfin, les hommes autres que les leurs. Le mien ne m'a plus touchée depuis 2 années seule la politique compte pour lui. Il retire enfin sa queue de mon vagin souillé et je vois un gros paquet de sperme tomber sur ma lingerie.
C'est foutu pour la messe, je dois trouver une excuse à donner à mon mari. Je me baisse pour remonter mon string, mais David le récupère avant moi et m'explique qu'il faudra que je vienne le récupérer chez lui. Je réajuste ma robe et ma coiffure et tend de nouveau la main, en le remerciant encore, à mon voisin qui sourit en me voyant faire. Il la saisit et me fait un baise-main. Je sors enfin pour rentrer chez moi. Je sens son sperme me couler le long des cuisses à chaque pas. Sur le trajet, je réalise que je viens de me faire culbuter comme une salope dans l'entrée d'un quasi inconnu et, en plus, j'ai adoré ça. Et, d'ailleurs, depuis quand j'aime les fessées ? On est loin de l'éducation stricte que j'ai reçu chez les bonnes sœurs. Le lendemain, je suis revenue. Depuis quelque temps, il insiste pour que je lui offre mon petit trou, mais impossible. C'est trop sale et c'est mal de le faire de cette façon.
Liste des personnages présents :
- David : 52 ans voisin du Maire.
- Michelle : 55 ans femme du Maire.
- André : 58 ans Maire d’une ville du Sud.
Partie 1 : La rencontre.
Je me prénomme David, 52 ans, célibataire, libertin et patron d’une entreprise de vidéo surveillance. Cela fait déjà 1 mois que je suis devenu l’amant de femme du Maire de mon village. Voici comme cela est arrivé.
Je viens d’acheter une maison dans un village de 5 000 habitants qui est mitoyenne à celle de notre nouveau Maire. Celui-ci André R. est un Maire d’extrême droite. J’entends dire dans le café du village que son allure de bon vivant est pour le moment apprécié par la population, ce qui contraste avec sa femme Michelle, qui appartient à une grande famille bourgeoise catho, qui parait au premier abord hautaine et semble froide.
Celui-ci par courtoisie m’a invité un samedi soir à un repas, où il y avait une dizaine d’invité, chez eux. N’étant pas de son bord politique, j’ai malgré tout accepté par souci de bon voisinage et aussi en tant que patron d’entreprise, me disant que cela ne pouvait pas faire de mal à mon entreprise.
J’avoue que ce repas fut pour moi très révélateur de leur personnalité. J’ai dû ravaler mes opinions quand les discussions ont dérivés sur les migrants et sur leurs propos racistes qui ont le don de m’horripiler.
Mais le plus intéressant c’est qu’au cours de ce repas, j’ai remarqué que son épouse était souvent gênée par les propos de son mari, baissant souvent le regard et soupirant discrètement. Je devine assez aisément qu’elle n’est pas heureuse en couple et que le confort t la situation aisée du couple est pour elle plus importante que son propre bonheur. Lors de ce repas, j’étais face à elle et j’ai pu constaté combien sa beauté froide me fascinait et lorsque je lui lançais plusieurs regard insistant, j’ai vu son trouble, qu’elle rougissait légèrement, mettant souvent ses mains sous la table serrant ses cuisses, était-elle en train d’être excitée ? En tant que libertin, légèrement dominant je me dis que si un jour j’ai une occasion avec elle je ne m’en priverais pas.
Et justement dès le lendemain en ce dimanche matin, cette occasion s’est présenté. Revenant d’un léger jogging, juste habillé d’un short et d’un T-shirt, je la vois en train de regarder sous le capot de sa mini. Elle est habillée chic, une belle robe blanche avec des talons hauts. Je me souviens qu’hier elle avait dit vouloir aller à la messe ce dimanche pendant que son époux de Maire allait à la chasse.
- David : « Bonjour Michelle ! un souci avec votre Mini ?
- Michelle : « Oh bonjour cher voisin. Oui je ne sais pas ce qu’elle a mais pas moyen de la faire démarrer. »
- David : « Laissez moi y jeter un œil même si je ne suis pas expert. »
- Michelle : « Merci c’est gentil, faut dire que j’aimerais me rendre à la cathédrale pour la messe de Pâques. »
Son léger sourire en coin me plait et je la trouve hyper désirable. Pendant que je tourne autour de sa mini pour aller voir sous le capot, je constate que celle-ci ne se gêne pas pour mater mes fesses. J’ai très vite trouvé le problème, un petit souci de démarreur et le tour est joué.
En légère sueur, plus par mon footing que d’avoir réparé sa caisse, je m’essuie le visage avec mon T-shirt et je la surprend à mater mon torse. Je ne suis pas un mec bodybuildé mais je fais en sorte d’avoir un corps assez bien entretenu. Elle retire vite fait son regard et je vois ses joues qui s’empourpre.
- David : « Voilà c’est réglé, vous ne se serez pas en retard. »
- Michelle : « C’est trop gentil, comment vous remerciez ? »
- David : « Ben rentrez boire un café, j’en ai grandement besoin après ce sport. »
- Michelle : « Une autre fois, je vais être en retard. »
- David : « Cela prendra à peine 5 minutes et le dimanche y a personne sur la route, vous pouvez bien faire cela pour moi, j’aime bien boire un café en charmante compagnie. »
Elle accepte en souriant et en disant « rapide alors » et je sais que je viens de le ferrer. Je la laisse passer devant moi en mettant ma main sur son dos, une légère pression pour la faire avancer dans mon allée goudronné. On sent la bourge habile aves ses talons hauts et elle bouge bien du cul, serait-elle en train de m’allumer, je vais vite m’en rendre compte.
Pendant que la machine expresso fait couler nos 2 cafés, elle s’installe sur un mange debout près du comptoir de la cuisine. Je pousse le vice en allant me changer et je reviens le torse nu m’essuyant avec une serviette avant d’enfiler un T-shirt propre. Elle n’a pas détourner le regard et rougis encore quand je la regarde intensément. En lui tentant son café, je vais exprès de frôler sa cuisse avec ma main et de suite je vois sa peau avoir la chair de poule. Je pousse alors cet avantage en la complimentant sur sa tenue, que son homme a la chance d’avoir une femme aussi séduisante. Elle ose juste me répondre.
- Michelle : « Arrêtez, vous êtes un charmeur et cela fait un moment qu’André ne fait plus attention à moi. »
- David : « Il a tord mais bon il doit être pris par son métier maintenant. »
- Michelle : « Oh que oui. Votre café est délicieux mais je vais devoir y aller et encore merci pour ma voiture. Sans vous j’allais rater la messe. »
Elle se lève et je la précède dans le couloir. Au moment de se dire au revoir, elle me tend la main, je ricane légèrement et d’une pulsion soudaine je prochaine et l’embrasse la plaquant contre le mur. Instantanément ma main se plaque sous sa robe, elle ne proteste même pas et sa bouche s’ouvre pour accueillir mon baiser fougueux, je ne me suis pas trompé sur cette femme qui doit être en manque de passion et de sexe. Ma main est au niveau de son string et je constate une légère humidité à ce niveau.
- David : « Alors madame le Maire, on est excitée à ce que je vois. »
- Michelle : « Oh mon Dieu, c’est pas bien mais oui cela fait du bien, ne vous arrêtez pas. »
- David : « J’en avais pas l’intention. »
Ma main écarte son string et d’entrée un doigt fouille son intimité, c’est elle maintenant qui m’embrasse en allant chercher ma langue. Je pousse le vice encore plus loin car je veux la baiser ici et maintenant comme une vulgaire salope. Je la retourne brusquement main contre le mur, j’arrache son string qui tombe à ses pieds et lui remonte sa jupe. Elle porte de magnifique porte-jarretelle blanc, image même de la bourgeoise. J’ai une vue parfaite sur ses jolies fesses assez bronzée, on voit qu’elle a du temps pour faire sans doute des UV. Son sexe est bien épilé, un second doigt entre en elle et elle pousse un soupir d’extase. Ni tenant plus j’entre ma queue en elle sans aucune difficulté vus comme elle mouille bien. Je la besogne sans ménagement et à chaque coup de bite elle pousse un cri. Je lui donne une bonne fessée, elle se retourne pour me regarder et contrairement à ce que je pensais, pas un mauvais regard mais ses yeux pétillent et je me dis qu’elle a l’air d’aimer cela finalement. J’en profite alors pour lui faire rosir ses fesses. Je la sens défaillir, ses muscles qui se contractent, sa respiration qui se fait plus intense et d’un léger spasme, elle joue sur ma queue. Forcément n’y tenant plus, je jouis intensément au fond de son vagin. En me retirant, elle ne bouge plus, gardant encore ses mains contre le mur, tremblant légèrement. Je vois une larme qui coule sur sa joue. Je la retourne délicatement et lèche cette larme et l’embrasse avec passion.
- David : « C’était sur depuis hier que tu avais envie de moi ma petite bourgeoise. Dis moi ta panne de voiture était une excuse ? »
- Michelle : « Ah non je vous assure, c’était une vraie panne. »
Je la laisse remettre un peu d’ordre dans ses habits. Je ramasse son string et le range dans ma poche.
- David : « Je le garde, je t’attend demain pour venir la récupérer. »
Je vois qu’elle a honte mais ne dit rien. Elle me tend la main, même après ce moment de baise intense et lui fait un baise main en lui souhaitant une bonne messe avec sans doute une confession à faire au curé après.
Depuis cette première rencontre, cela fait un mois que nous sommes devenus des amants réguliers. Au début 2, 3 rencontres par semaine chez moi, en toute discrétion la journée. Mais maintenant il ne se passe pas un jour sans qu’on se voit. Comme son mari le Maire est en déplacement professionnel, je les même baisé dans son lit conjugal, elle en a eu honte sur le coup mais elle fut pris ton orgasme intense ensuite. Pour le moment elle me refuse toujours l’entrée de son cul mais je ne m’avoue pas vaincue....
à suivre
Récit écrit par une coquine de ce site présentant le point de vue de l’épouse du Maire :
Je reprends doucement mon souffle. À côté de moi, David étire son sublime corps, satisfait. Cela fait un mois qu'il me baise comme un dieu. Dès que je l'ai vu emménagé à côté de chez nous, je suis tombée sous le charme malgré un côté un peu beauf, il ne faut pas le nier. Mon mari, le maire RN de la commune, avait organisé un dîner en l'invitant comme voisin. Les autres invités, des notables influents, avaient complété la tablée. Toute la soirée, David m'avait dévorée des yeux avec tellement d'envie que j'en avais humidifié ma culotte.
Le lendemain matin, un dimanche, mon mari était déjà à la chasse et, moi, je m'apprêtais à aller à la messe pour nous assurer les voix des catholiques lors des prochaines élections. Robe du dimanche, talons, petit carré Hermès sur les épaules. Seul hic, ma Mini ne veut pas démarrer. Ça me contrarie et commence chercher une solution alternative. C'est alors que notre nouveau voisin débarque en short et t-shirt de son footing, apparemment, et me demande ce qui ne va pas. Je lui explique la situation et il me demande d'ouvrir le capot. Je le regarde bricoler dedans. Ses muscles roulent sous son t-shirt serré, il est magnifique. Ma mini démarre enfin. Je lui demande comment je peux le remercier. Simplement en prenant un café avec lui. Je réponds que je ne vais pas avoir le temps. Allez, juste 5 minutes. Entre nouveaux voisins. Je finis par accepter. Il me précède dans son allée et j'en profite pour admirer sa silhouette athlétique impressionnante.
Sa maison n'est pas finie d'être aménagée, la décoration est encore sommaire, mais on sent l'homme de goût. Il pose mon café sur le comptoir de sa cuisine américaine. Innocemment ou pas, en venant s'assoir en face de moi, il m'a frôlé. J'ai eu un frisson électrisant qui m'a troublée. Il s'absente quelques temps et revient torse nu avant d'enfiler un t-shirt propre. Après une conversation assez banale où il me fait des compliments réguliers mais qui tombent un peu à plat, je lui signifie que je dois vraiment y aller.
Dans le couloir, je lui tends la main et, sans prévenir, il m'embrasse sauvagement sur les lèvres. Sa main se colle sur mon pubis. Je sursaute de surprise. Il dégage tellement de testostérone que j'en suis perturbée. Ça fait si longtemps que mon mari ne m'a pas désirée aussi puissamment. Sa main s'est faufilé sous ma robe et il vient de découvrir que j'ai un porte-jarretelles. « Une vraie bourgeoise » lâche-t-il. Il poursuit son avantage et immisce un doigt dans mon vagin. « Oh mon Dieu, me dis-je en moi-même. Que suis-je en train de faire ? » Je m'abandonne sans trop savoir ce que je fais. Il me retourne et me plaque contre le mur. Je m'appuie dessus comme je peux pour ne pas perdre l'équilibre avec mes talons. Il relève ma robe avec brusquerie et ôte mon string qui tombe sur mes chevilles. Tout va si vite. Il me penche en avant, J'ai les fesses à l'air, la robe remontée. Je veux me retourner pour voir ce qu'il se passe au moment où il plante son sexe en moi. C'est rentré tout seul tellement je mouille. Oh oui, ça fait trop du bien de sentir une bite me remplir comme il faut, c'est une sensation si lointaine. Il me met déjà des grands coups de rein. Je lâche un cri à chaque fois. Soudain, il me donne une bonne claque sur le cul. Oh oui. Ça m'excite et il le voit sur le champs. Il recommence en faisant bien claquer mon gros cul. Il continue encore. Je sens chaque centimètre de son membre plonger au fond de mon vagin à chaque mouvement de ses hanches. Je me cambre un peu plus pour faciliter la pénétration. Je m'abandonne irrévocablement et j'ai envie de lui dire de taper encore plus fort dans ma chatoune. Je n'ose pas. On ne m'a pas élevée ainsi. Mon Dieu, je vais jouir avec un autre homme que mon mari. Ma respiration se coupe une éternité puis je crie à chaque spasme orgasmique qui secoue mes entrailles, tout mon corps s'ébranle, une larme de bonheur perle sur mon visage. David, pour une première fois, éjacule en moi en me mettant une dernière fessée qui me fait tressaillir. Je reste appuyée contre le mur, sans bouger, dans les vapes, les jambes tremblantes. « J'étais sûr que tu avais envie de moi ma petite bourgeoise ». Je me demande pourquoi les femmes élégantes (que les autres appellent bourgeoise) attirent autant les hommes. Enfin, les hommes autres que les leurs. Le mien ne m'a plus touchée depuis 2 années seule la politique compte pour lui. Il retire enfin sa queue de mon vagin souillé et je vois un gros paquet de sperme tomber sur ma lingerie.
C'est foutu pour la messe, je dois trouver une excuse à donner à mon mari. Je me baisse pour remonter mon string, mais David le récupère avant moi et m'explique qu'il faudra que je vienne le récupérer chez lui. Je réajuste ma robe et ma coiffure et tend de nouveau la main, en le remerciant encore, à mon voisin qui sourit en me voyant faire. Il la saisit et me fait un baise-main. Je sors enfin pour rentrer chez moi. Je sens son sperme me couler le long des cuisses à chaque pas. Sur le trajet, je réalise que je viens de me faire culbuter comme une salope dans l'entrée d'un quasi inconnu et, en plus, j'ai adoré ça. Et, d'ailleurs, depuis quand j'aime les fessées ? On est loin de l'éducation stricte que j'ai reçu chez les bonnes sœurs. Le lendemain, je suis revenue. Depuis quelque temps, il insiste pour que je lui offre mon petit trou, mais impossible. C'est trop sale et c'est mal de le faire de cette façon.
19 天 前