Je trompe mon mari avec Thomas.

Quand j’ai rencontré mon mari Daniel j’avais tout juste 18 ans et lui 20. C’est lui qui m’a dépucelée. Son expérience n’était pas beaucoup plus grande que la mienne et mon éveil au sexe ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Mais j’étais jeune, amoureuse et l’idée que je pourrais faire l’amour librement avec mon Daniel a tout emporté.
Nous sommes mariés depuis 25 ans et je n’ai pas connue l’éblouissement charnel dont j’avais rêvé mais j’ai eu avec mon mari, des rapports sexuels d’une honnête moyenne, dont j’avais appris à me satisfaire et rien n’aurait changé si, il y a quelques temps, je n’avais cédée aux avances de Thomas.
Bien sûr il me faisait une cour discrète depuis longtemps, toujours souriant, toujours aimable. Un mot gentil, une fleur, un coup de fil, cela fait toujours plaisir. Thomas savait faire !
Il passait souvent à la maison pour un petit bonjour, toujours prêt à me rendre service.. Souvent en l’absence de Daniel, c’est vrai, mais je n’y voyais pas malice et puis d’ailleurs Daniel était au courant et lui non plus n’y trouvait rien à redire. Après tout, Il me savait seule et je pouvais avoir besoin d’aide. Et d’ailleurs, qu’y aurait eu de mal à cela.
Je ne réalisais pas l’équivoque de la situation et notre différence d’âge me semblait une caution suffisante.
C’est pourtant ce qui est arrivé un matin, il y a 9 semaines exactement. C’était un mercredi. Ce jour là Thomas était venu, à ma demande, réparer le lampadaire du salon. Il faisait lourd, un orage se préparait.
Comme d’habitude dans ce cas là j’étais énervée et inquiète. Depuis toute petite j’ai toujours eu une peur panique du tonnerre et des éclairs. Aussi quand les lueurs et les grondements se déchaînèrent, je perdis pied. À proximité il y avait Thomas. Désemparée, je courus vers lui.
Il me berça de mots rassurants et peu à peu mon cœur ralentit sa folle sarabande. Le murmure de sa voix à mon oreille me calma provisoirement mais je sentais toujours à fleur de peau les picotements inquiétants. Sa voix se fit plus proche, ses mots plus consolateurs. Il entourait mes épaules d’un bras protecteur. Je fermai les yeux et posai ma tête sur son épaule.
Je sentis ses lèvres se poser sur ma tempe puis descendre sur ma joue. Je ne réagis pas. Bizarrement cela me rassura alors que grondements et lueurs redoublaient. L’orage se rapprochait, la pluie tombait avec v******e. J’avais absolument besoin d’une présence. Un éclair aveuglant suivi d’un craquement effroyable me fit peur. L’orage était sur nous, formidable. Tétanisée, je me blottis dans ses bras, m’incrustant contre sa poitrine.
Quand sa bouche se posa sur mes lèvres je ne réagis pas plus. J’étais à sa merci, incapable de décider. Sa langue s’empara de la mienne, douce, chaude. Complètement déboussolée, je répondis à son baiser, m’accrochant désespérément à lui comme à une bouée de sauvetage dans l’océan de ma terreur.. Il me souleva, me prit dans ses bras telle une poupée de son et m’emporta, proie palpitante et subjuguée. Son calme devant l’orage, sa chaleur, sa force rassurante m’aidait à contenir les battements désordonnés de mon cœur. Avec lui je me sentais protégée.
Avec des gestes très doux il m’allongea sur le canapé. Je gardais les yeux fermés. Je sentis bien qu’il relevait ma robe et qu’il faisait glisser ma culotte sur mes hanches. Je n’avais pas la force de l’en empêcher. Pire même, je devenais toute molle, mon corps ne m’obéissait plus, ma tête était vide. Il souleva mes fesses pour m’enlever complètement ma culotte en la faisant glisser le long de mes cuisses. Puis il releva carrément ma robe, jusqu’à ma taille et me disposa devant lui, les jambes écartées. Je sentais le souffle de sa respiration sur mon ventre mais, bien que consciente du spectacle que je devais lui offrir dans cette position, je restais immobile, passive. Je sentais la rougeur me monter aux joues mais j’étais incapable d’esquisser le moindre mouvement. Je le laissai se rincer l’œil. Les yeux toujours fermés, je ne voulais rien voir.
Soudain je sursautai, incrédule. D’une bouche vorace Thomas venait de s’emparer de mon sexe ! Cela me brûla comme si la foudre m’avait atteinte. La sensation était stupéfiante.
Jamais je n’avais ressenti cela, jamais mon mari ne m’avait prodigué un tel baiser, surtout à cet endroit ! La langue diabolique de Thomas écartait mes lèvres intimes, me fouillait, s’enfonçait. Bouleversée, éperdue, je m’ouvris à cette caresse si osée et si foudroyante. Mon cœur s’était remis à battre la chamade, mon sang bouillonnait dans mes veines.
Je me sentis partir, dans un éclatement de lueurs accompagnées de grondements dont j’étais incapable de dire s’ils se produisaient dans ma tête ou dehors. La v******e de mon orgasme me stupéfia. Je restai anéantie, stupéfaite, le souffle court. Jamais je n’avais éprouvé une telle satisfaction et surtout de cette façon. C’était, pour moi, une véritable découverte. On pouvait donc éprouver un plaisir aussi vif rien qu’avec un baiser ? Un monde inconnu et merveilleux s’ouvrait devant moi, naïve et ignorante.
Thomas ne m’avait pas lâchée et continuait à m’embrasser à sa manière. Sa langue avait débusqué mon clitoris et s’activait. Mon sexe s’embrasait de nouveau. Le deuxième orgasme me secoua sans prévenir, aussi brutal et violent que le premier et cette fois, je m’en rendis bien compte, c’était moi qui criais.
Ce jour là, après deux heures de folles découvertes, Thomas me laissa repue, comblée, encore ahurie d’une jouissance aussi forte et de cette façon, insolite mais si ravageuse, de me la donner.
Devant Daniel, les jours suivants, je dus garder une attitude normale avec Thomas qui comprit vite que mon silence était pour lui un gage d’impunité. Il en profita bien sûr et il revint me voir.
Pourtant, à ma décharge, je m’étais bien promis de ne plus recommencer, déchirée entre la tentation et le remords de m’être laissée faire. Mais sa présence, sa voix persuasive – il me jura qu’il s’en tiendrait à un baiser – et surtout, même si je ne me l’avouais pas, le souvenir, obsédant justement, de ses baisers et le désir honteux mais impérieux de les subir encore m’ont fait céder mais ’’ juste pour une fois, la dernière ’’… et … ’’ seulement un baiser !! et rien d’autre !!
Las !! Ce matin là il me déshabilla entièrement. Il m’allongea à nouveau sur le canapé et se mit à m’embrasser et à me lécher partout. Dès que sa bouche entra en contact avec ma peau, mes fragiles résolutions s’envolèrent et je sus que j’étais à nouveau à sa merci et qu’il allait faire de moi ce qu’il voudrait. Mon cœur avait repris sa sarabande mais cette fois l’orage n’y était pour rien.
Ses lèvres grisantes couraient sur mon corps, de la pointe de mes orteils au creux de mes oreilles. J’en étais toute électrisée, des ondes délicieuses couraient sur ma peau, sous ma peau. C’était extraordinaire. Jamais je n’avais goûté à ça et c’était tellement nouveau pour moi. Aussi peu expérimenté que moi, mon mari ne m’avait pas habituée à ce genre de caresses. Thomas, malgré son jeune âge, savait prendre son temps. Sa bouche magique faisait naître dans mes seins et dans mon vagin un fourmillement exacerbant, mon ventre se liquéfiait. Et quand, abandonnant mes tétons raidis à en être douloureux, il enfonça sa langue dans mon sexe, un dard de feu me transperça
J’éclatai dans un feu d’artifice.
Pendant deux heures il me fit rebondir d’orgasme en orgasme. Tenant parole il n’utilisa que sa bouche et ses doigts. Mais de quelle manière ! Je flambais comme une torche.
Il a même léché mon anus !! La simple idée de ce qu’il me faisait, avec sa langue, à cet endroit si intime, avait d’ailleurs suffit à me faire jouir à nouveau. Ce jour-là, après m’avoir fait découvrir tout ce qu’il savait faire avec sa langue entre mes cuisses et entre mes fesses, il était parti avec ma culotte !
Depuis il revient me voir chaque mercredi et aussi pendant les stages de Daniel.
Personne ne se doute de rien, c’est notre secret.
Je n’ai plus besoin d’orage. Thomas m’a conquise avec ses ’’ baisers ’’ qui me donnent tant de plaisir. C’est devenu ma drogue et je suis ’’ accro ’’ maintenant à tous les petits jeux pervers qu’il me propose dès que nous sommes seuls tous les deux.
Progressivement il m’a initiée à des pratiques sexuelles que j’ignorais et m’a amenée à découvrir toutes les ressources de ma libido. Mariée trop jeune avec un garçon trop jeune, je n’avais aucune expérience des raffinements de l’amour. Thomas a fait mon éducation.
Il m’appelle ’’ sa jolie poupée salope ’’. Il m’offre régulièrement des dessous froufroutants, des petites culottes transparentes, des strings confidentiels, réservés à son seul usage. Mon mari ignore l’existence de cette lingerie coquine que je lui cache soigneusement. Mais Thomas aime tellement me voir ainsi dévêtue pour lui ! Quand je me déshabille pour son plaisir, ses yeux brillent d’une telle satisfaction !
Il est fou de mes fesses et de mes seins et raffole de mon sexe qu’il passe des heures à admirer, à caresser, à sucer, à lécher… Il adore m’enlever lui-même ma petite culotte pour me regarder, surtout entre les cuisses. Avec lui j’ai abandonné toute réserve. Je me promène toute nue devant lui et je prends pour son plaisir les poses les plus suggestives et les plus canailles.

Mon corps n’a plus aucun secret pour lui. Avec sa langue il me bouleverse, de la pointe de mes seins au plus intime de mes cuisses. Et il ne se contente pas de mon sexe !
Quand il me dispose à plat ventre et que je sens ses grandes mains qui écartent mes fesses, mon ventre prend feu. Je sais qu’il va à nouveau lécher mon anus et y enfoncer la pointe frétillante de sa langue. Depuis la première fois qui m’avait si fort secouée, je raffole de cette caresse si épicée et j’entre en paradis quand il me fait ’’ une feuille de rose ’’.
Mon mari aurait voulu que je m’épile entièrement mais Thomas est fou de ma foufoune avec sa touffe de poils. Il m’a demandé de garder mon beau triangle bouclé mais de bien dégager les lèvres de ma chatte pour qu’il puisse mieux les regarder et les embrasser. C’est à lui que j’ai obéi et quand il l’a vu j’en ai été bien récompensée : il m’a laissé lui sucer la bite. C’était la première fois !
Les autres jours il avait toujours esquivé mes timides tentatives, on aurait dit que cette caresse le gênait. Pourtant elle est si belle sa queue, si majestueuse quand elle se dresse, toute droite, toute fière, posée sur le coussin des ses couilles gonflées. Là non plus je n’avais pas d’expérience mais j’en avais tellement envie ! Avec mon mari je n’aimais pas beaucoup mais avec Thomas cela m’a plu tout de suite. Je voulais lui rendre avec ma bouche, maladroitement peut-être mais avec une telle bonne volonté, le plaisir qu’il me donnait avec la sienne.
J’ai vite rattrapé le temps perdu et je suis devenue experte dans l’art de la pipe. Maintenant, dès que nous sommes rien que nous deux, c’est moi qui ouvre sa braguette pour sortir sa belle bite. Je la caresse, je l’embrasse, je décalotte tendrement son gland que je picore de petits baisers mouillés.
Mes agaceries le font rapidement bander. Il devient gros et raide, bien plus volumineux que mon mari. Je l’avale alors lentement, les yeux fermés sur mon plaisir et je le suce. Avec l’expérience je sais comment, avec mes lèvres et avec ma langue, le faire bouillir mais juste assez pour éviter qu’il n’explose trop vite. Je veux le garder longtemps, le plus longtemps possible.
Au début il se retirait au dernier moment et je recevais tout son sperme sur le visage ou sur les seins. J’aimais bien mais…. C’est moi qui ai insisté pour qu’il reste dans ma bouche jusqu’au bout. Cela aussi on aurait dit que ça le gênait. J’ai su me montrer convaincante ! Maintenant je le garde prisonnier jusqu’à ce qu’il me fasse le don de sa liqueur de mâle
Quand il gémit qu’il va venir, j’enveloppe ses grosses couilles de mes mains et je les masse doucement. Sans cesser ma caresse mais les yeux grands ouverts cette fois, pour ne rien perdre de son plaisir, j’accentue la succion de mes lèvres et de ma langue pour recueillir avec gourmandise les épaisses giclées qu’il projette directement sur mon palais. Et mon cœur éclate de joie. J’avale tout avec délectation, j’aime le goût de son sperme.
Entre nous toute espèce de pudeur a disparu et quand il a repris son souffle, que ses mains se posent sur moi et que ses lèvres approchent de mon ventre, c’est en tremblant d’excitation que, la bouche encore pleine de son sperme, je lui ouvre bien grand mes cuisses. Dès qu’il me touche, je m’envole. Je jouis avec lui comme je n’ai jamais joui avec mon mari.

Nos petits jeux n’ont qu’une limite : l’heure fatidique qu’il ne faut pas dépasser avant le retour de mon mari et cette idée du plaisir défendu que je prends en cachette ajoute encore à mon excitation.
Je me sens vicieuse ensuite quand je vois Daniel qui parle avec Thomas comme si de rien n’était, mais rien ne pourrait me faire renoncer au plaisir que je prends avec lui.
Cela fait maintenant bientôt 1 an que j’ai découvert dans ses bras le vertige des plaisirs interdits. Interdits mais si exaltants !! Il a été bon professeur et maintenant c’est moi qui recherche les petits jeux érotiques dont nous sommes si friands tous les deux. Et comme j’apprécie la bouffée d’adrénaline qui me fouette le sang quand nous parvenons à échanger discrètement quelques caresses ou quand je réussis à lui montrer ma culotte alors que Daniel est présent. Sensations délicieusement amorales.
Récemment, après avoir laissé Thomas vérifier de visu que je portais bien la dernière culotte noire délicieusement festonnée qu’il m’avait offerte, je suis allée le retirer aux toilettes. La lueur extasiée que j’ai vue dans ses yeux quand je lui ai glissé le petit chiffon de dentelle dans la main m’a récompensée de ma folle audace et a fait naître dans mon ventre l’onde de chaleur que je connais si bien. J’ai cru ensuite qu’il allait s’étrangler quand il a voulu masquer la rougeur qui avait envahi son visage par une quinte de toux feinte du plus bel effet et j’ai dû me mordre les lèvres pour ne pas éclater de rire quand Daniel s’est inquiété de sa santé.
Pourtant je ne suis pas vraiment sa maîtresse. Il me fait mourir de plaisir avec sa bouche et avec sa langue mais jamais encore, ses doigts mis à part, il ne m’a pas pénétrée. Je ne connais pas encore l’ineffable sensation de sentir sa grosse queue s’enfoncer lentement dans mon ventre, ni la grisante jubilation d’être, enfin, possédée par lui !
A présent je voudrais qu’on aille plus loin, qu’il me baise et aussi qu’il me sodomise. J’aimerais tant sentir sa grosse queue fouiller mon ventre et mon cul. Mais je sens qu’il hésite encore.
Ce n’est pas son âge qui le retient. C’est vrai qu’il pourrait largement être mon père mais c’est que… justement… Thomas, c’est celui de Daniel !
发布者 thx21
11 年 前
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thx21
thx21 出版商 8 月 前
bennyben1948 : Merci un jour si sait?
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bennyben1948
bennyben1948 8 月 前
Fantastique récit. A quand la suite ?
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ropaul45
ropaul45 2 年 前
Très beau récit - merci !
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douxclaude
douxclaude 3 年 前
superbe récit j'adore quelle belle rédaction
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thx21
thx21 出版商 3 年 前
langauchat : Tu me fais énormément plaisir !
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langauchat
langauchat 3 年 前
Vraiment excellent, ce récit...c'est à la fois délicat et pulsionnel sans frein. J'apprécie
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grannypaul 3 年 前
excelenttttttttttttttt,faut que je publie le mien,elle sont vorace les viellles et ça c est bon on adorrrrrrrrrrrrreee !!!
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thx21
thx21 出版商 3 年 前
genesis9426 : Merci d'apprécier !
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genesis9426 3 年 前
Hummmmmmm belle surprise de fin
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bobabe83 4 年 前
Belle chute inattendue !
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bobabe83 4 年 前
lovetobi : Le beau temps me dégoûte et m'fait grincer les dents...
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ropaul45
ropaul45 4 年 前
beau texte, merci !
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thx21
thx21 出版商 5 年 前
lovetobi : Merci beaucoup
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lovetobi 5 年 前
Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps ... Ces femmes dont l'audace ne demande qu'à être révélée. Il n'y a pas de situation incongrue quand on se libère de ses fausses pudeurs. J'adore ces récits érotiques quand le désir et le plaisir sont reliés au parcours de nos vies.
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domi10100 6 年 前
La suite vite vite super
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thx21
thx21 出版商 8 年 前
reneecollant : Merci Renee j adore te voir en collant !
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reneecollant
Adorablement hummm
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thx21
thx21 出版商 9 年 前
reneecollant : Merci
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reneecollant
Adorable récit j'aime
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thx21
thx21 出版商 9 年 前
asecam : Merci de l apprécier nous sommes entre gens de bons gouts alors!
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asecam
asecam 9 年 前
Bien excitante cette histoire...
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