Tome 3

Maud avança d'un pas léger et fébrile vers la porte signifiant ainsi sa décision. Je poussais la porte et nous entrions dans une grande salle. La lumière était tamisée , en face de nous sur un grand mur noir il y avait cette croix de Saint André. Elle reposée sur un socle offrant ainsi la possibilité de tourner autour, mesurait approximativement 2 mètres en hauteur. Le bois était recouvert d'un cuir assez épais et à chaque extrémité il y avait les poignées d'attaches. Sur notre droite , en entrant, on pouvait voir un pilori au sol, et sur notre gauche un grand mur recouvert de miroir. le plafond était de couleur sombre ce qui conférait à la pièce peu de lumière. Je décidais d'allumer les bougies mises à disposition sur la table à l'entrée , repositionnait la croix au centre de la pièce ( l'établissement l'avait pourvu de petites roues pour cela qu'il suffisait ensuite de bloquer par un simple système de blocage). Je pourrais ainsi tourner tout autour de la croix, de Maud qui par la même occasion pouvait se voir grâce au mur de miroir sur sa gauche et je disposais les bougies autour de la croix. Maud m'observait , fébrile, sans bouger , sans parler étant à peine entrer dans la pièce.
Je me retournais pour lui faire face et m'approcha silencieusement d'elle. Je pris ses deux mains, les enserrant dans les miennes , les caressant doucement, puis l'embrassa tendrement puis avec insistance. D"une main j'ouvrais sa robe, puis lui demanda de quitter ce petit bout de tissu. Elle était désormais face à moi, et je lui ordonnais de quitter le reste pour ne garder que ses bas, ses escarpins. Elle s'exécuta, me fixant du regard, par défi, pour chercher le réconfort dans mon regard? Je ne disais rien et savourais chacun de ses gestes lorsqu'elle ôta délicatement sa guêpières, détacha ses bas des bretelles, puis fit glisser son tangua le long de ses cuisses puis de ses jambes. Il termina sur ses chevilles et je sentais déjà enfler mon sexe par désir pour ce corps frêle qui s'abandonnait à mes désirs. Elle ramassa ses vêtements et les posa sur le petit fauteuil que je n'avais pas vu en entrant. Je tendis sans un mot ma main, elle la saisit la tenant fermement, sa peau frissonnant quelque peu. Je la serra contre moi fermement me nourrissant à nouveau du parfum de sa peau , m’enivrant de ce petit mélange ses soupçons de rose, de musc blancs et je mordillais la peau de son cou. Je ne voulais nullement précipiter les évènements, l'attacher, je voulais encore gouter de ce moment de volupté, ressentir, sentir, et je la sentais frémir à mes caresses, attentions, laisser son corps et son esprit s'abandonner doucement à mes caresses. Je m'écartais quelque peu d'elle et instinctivement elle tenta de me garder encore contre elle, mais je m'échappa, pris dans mon sac le bandeau et le place sur ses yeux. Je pris sa main droite pour la diriger vers la croix et tenait sa taille de l'autre main pour assurer sa démarche. Je l'attachais face à moi tout d'abord et même si elle ne pourrait profiter du spectacle qu'elle m'offrait avec les miroirs goutait du plaisir de voir son corps ainsi offert. Je savais déjà qu'elle ne garderait pas longtemps son bandeau je voulais voir son regard.
Je reculais de quelques pas, pris le martinet de ma main droite, m'avança vers elle. Il était regrettable de ne pouvoir avoir une musique de fond sonore , j'y remédierais ce soir!
Je passa ma main gauche dans ses cheveux, relava son menton pour dégager son visage et qu'elle regarde devant elle même si elle était aveuglée par le bandeau.
ma main se posa sur sa joue, délicatement je parcourais sa joue droite suivant le contour de son visage fin ,ma bouche à quelques millimètres de sa peau. Elle pouvait ressentir mon souffle qui s'accélérait, et je pouvais ressentir ses émotions, la tension qui montait progressivement.J'arrivais au niveau de la commissure de ses lèvres , remarquant ce petit grain de beauté, et je suivais d'un doigt le contour de ses lèvres fines au dessus et je multipliais les efforts pour ne pas mordre ses lèvres, et l'embrasser à nouveau... Je recula et positionnais les lanières du martinet sur son épaule gauche, les fit descendre le long de son bras, puis vers son sein droit. Je la vis serrait ses mains à travers les poignets qui l'attachaient, tendre son corps d'un mouvement , imaginant milles tourments, appréhendant, et d'un geste rapide fit tourner le martinet juste devant elle sans qu'une lanière ne puisse la toucher, mais créant de la sorte un léger bruit des lanières qui tournaient et décrivaient ce cercle devant elle. Elle se raidit de suite et je voyais son buste se tendre , se plaquer contre la croix pour échapper à toute morsure de lanière. Ses seins étaient magnifiques, les tétons pointant au milieu de ses larges auréoles. Je stoppais le mouvement et fit descendre les lanières entre ses cuisses, passant délicatement sur son sexe, exerçant un long mouvement de haut en bas sur son sexe offert et je mordillais ses tétons tour à tour....Il n'était pas pour moi question de douleur pour Maud mais attachée , aveuglée face à moi qui n'était qu'un inconnu elle pouvait imaginer tant de traitements avec ce martinet que je la sentais au bord du supplice mental, goutant mes caresses tout en étant effrayé par une douleur potentielle.
Regrettait elle à ce moment de s'être livrée à moi, d'avoir franchi la porte , le pas. Étais je un fou furieux, un monstre? autant de questions bouillonnant en elle...
Je détachais donc ses mains, ses chevilles délicatement, et la retourna aussitôt et elle comprit alors que je ne la libérais pas. J’ôtais le bandeau, elle s'habitua à la lumière de la pièce et se vit dans les glaces car j'avais initialement placé la croix de sorte qu'elle puisse se voir et me voir également lorsque je me plaçais dans son dos. Je me plaqua contre ses hanches, son cul si ferme, rebondi qui me faisait tant envie et elle put sentir ma queue durcie par l'envie de la prendre, le désir de son corps si doux,si beau. J'effectuais quelques mouvements de va et vient mimant une pénétration et je sentis son esprit se libérer.
Je pris l’œuf avec télécommande qu'elle avait choisi, sorti le god géli le god de type "réaliste" et le gel.
Debout devant elle, je la fis lécher l’œuf puis titilla de longues secondes son clitoris avec avant de l'introduire délicatement dans sa chatte trempée. Je jouait avec la variateur d'intensité, allant du fort au très faible et accompagnait ce jeu par quelques caresses sur son clitoris. Je devais luter avec moi même pour ne pas fouiller son anus, mais ne le faisais pas.
je fis monter l'intensité au maximum et on pouvait entendre le bruit de l’œuf qui vibrait sans sa chatte , me recula et c'est assez ce moment que sa fesse droite reçu la première fessée par le martinet, puis sa fesse gauche...Elle eut un grand mouvement de raideur du corps, j'embrassais son cul tendu , rougi caressa son clitoris, fouillant doucement sa chatte avec deux doigts, m amusant à sortir et entrer l’œuf vibrant dans son sexe , à écarter son sexe avec mes deux doigts. Je sentais les parois de son vagin se contractait à mes caresses, aux vibrations, mais il est encore trop tôt pour la laisser jouir...Je pris le martinet le fit tourner si prés de son cul et tous les xx tours les lanières venaient rougir les fesses de Maud pendant que sa chatte subissait les vibrations de l’œuf. Je variais tout autant la vitesse de mes mouvements, leur force, frôlant parfois sa peau ou appuyant le coup..Son cul portait la trace des lanières , il était rougi par endroit..Je laissais tomber le martinet au pied de Maud, libéra ses deux chevilles pour qu'elle puisse prendre la position qu'elle voulait, déboutonna mon jeans , et libéra ma queue de mon shorty.
Je fis passer mon gland entre la raie de ses fesses, frôlant son anus et suivis le contour des lèvres de sa chatte. D'une main je tenais ma queue la frottant contre son sexe, agaçant son clitoris et de l'autre pinçait ses tétons en alternance. Maud cambra d'avantage son cul si beau, écartant les cuisses pour me faciliter les mouvements et mon gland pouvait ressentir les vibrations de l'oeuf qui était en elle
j'accélérais mes mouvements , me branlant contre son clitoris, mimant une pénétration agaçant son clitoris.J'avais bien du mal à me contenir, je sentais déjà mon gland qui allait mouiller, et n'ayant pas mis de préservatif me recula quelque peu. Elle tenta de m’empêcher de fuir , je m'accroupis derrière elle pénétrant sa chatte de ma langue tout en branlant son clitoris. Ma langue remonta , fouillant son cul tendu qui s'ouvrait peu à peu...je buvais sa chatte, et les vibrations de l’œuf ne me dérangeait pas outre mesure et je buvais son jus, son plaisir, aspirais son clitoris, le lécher, le mordiller délicatement, alternant les mouvements de succion rapide et court avec les longs mouvements très appuyés, aspirant parfois les lèvres de son sexe, son clitoris.
Je posa un doigt humidifié contre son anus qui s'ouvrit presque aussitôt. Je ne le martyrisais pas, ne brusquer par ma fouille.
Je me concentra sur son clitoris, allant de plus en plus vite, léchant happant, mordillant, suçant et mon doigt s'enfonça dans son anus progressivement par de lents mouvements de va et vient. Je plaça un autre doigt dans sa chatte pendant que je léchais toujours son clitoris, et au fur et à mesure que je sentais son sexe se contracter j’intensifiais ma caresse sur son clitoris. Elle allait jouir , gémissant, rejetant sa tête en arrière les yeux clos et c est à ce moment là que mes doigts entrèrent en elle d'un grand mouvement jusqu' à la garde.
Maud jouissait et je goutais encore le jus de son sexe qui perlait puis j'enlevais délicatement l’œuf de sa chatte, léchant un peu son clitoris agacé par mes caresses ce qui devenait presque un supplice pour elle.
je me releva , ma queue était durcie par le désir, mon gland humide, je n'avais qu'envie de jouir, brutalement mais me retins. Je libérais Maud de ses entraves, entourant ses épaules de mes mains, me collant contre elle et je l'embrassais...
son sourire irradiait son visage. Avec les sensations, émotions le bandeau le maquillage avait un peu coulé sur ses paupières et venaient déformais le trait de crayon noir qu'elle avait fait partir du coin de l’œil vers l'extérieur de son visage...j'aimais lorsqu'elle maquillait ses yeux ainsi rehaussant son regard troublant, avec ses paupières soigneusement maquillée avec un petit peu de gris, quelques paillettes.
J'embrassais Maud puis essuya quelques gouttes de sueur qui perlait sur le haut de son front, ses tempes. Elle me souriait, quoi de plus magique, et nous n'avions pas besoin de mots pour commenter l'instant passé et présent.
" Il est désormais temps de quitter ce lieu , allons prendre un petit peu de temps pour un café ou ce que tu veux, grignoter quelque chose avant de rentrer à l'hotel
* oui c'est l'heure du gouter lol moi je prendrais bien autre chose là maintenant!!!
ah bon quoi?
* ta queue, ta queue en bouche pour te faire jouir !
*si tentant, et j'en ai tellement envie, mais pas maintenant, pas maintenant, à moi de souffrir un peu Maud ...
Je me détachais de son regard, de son visage, de son corps pour fuir la tentation. Je savais pertinemment que si elle me caressait le sexe de ses doigts je n'aurais pas la force de résistais et m'abandonnerais à ses mains, à sa bouche et je savais que mon état d'excitation était tel qu'il ne lui faudrait que peu de temps pour me faire gémir et jouir. Non pas maintenant, je ne voulais, pas non pas maintenant...
J'allais chercher ses vêtements et l'aider à s'habiller. Nous quittions la pièce, descendions les escaliers et passions devant le gérant du sexshop qui nous adressa un petit sourire complice.
* on va boire un petit truc rapidos, il est 16h28, on se balade en ville et on rentre à l’hôtel?
* Dac Olivier, on va aller dans un petit bar que je connais qui n'est qu'à 10 minutes à pied comme cela on n'a pas besoin de prendre la voiture.
Je profitais de cela pour mettre dans le coffre de la voiture le sac de nos achats, me réjouissant de la suite des évènements...je sentais ma queue encore durcie sous mon jeans
Je rejoints Maud et allumais une cigarette. Nous arrivions devant le bar mais j'avais remarqué une tapisserie juste avant et j'y entrais achetant un petit assortiment de gâteau avec meringues, tartelettes aux fruit.
Je pris un grand café noir, Maud un thé et la regardais assis en face d'elle.
Par jeu, provocation et pour reprendre un peu l initiative elle ôta discrètement la chaussure de son pied droit et vint frotter son pied entre mes cuisses , sur mon sexe.
Avec ce que nous venions de vivre, toute mon excitation je devais me contenir, lutter pour ne pas me laisser et aller ce qui me conduirais irrémédiablement à jouir ainsi sous sa caresse. Piégé par ma propre cérébralité , doux supplice que voilà...Je me mordillais parfois la lèvre , soupirais, fermais les yeux et cela amusait beaucoup Maud qui menait là le débat , sentais la jouissance monté en moi , stoppant ses mouvements, les recommençant inlassablement.
Elle arrêta son petit jeu...
* il serait dommage Olivier de te faire jouir et de ne pas profiter de ton queue, de ton sperme...
* c'est clair allez on mange un peu et on bouge de toute manière je jouirais avant d'arriver à l'hôtel !!
* c'est ça , oui, si je veux !
* je jouirais avant..
nous rimes de cette affirmation et tournant la tête je pus voir le regard réprobateur d'un homme dans la cinquantaine qui avait du nous entendre et le regard amusé de la serveuse qui elle aussi avait du entendre quelques brides de notre conversation sur mon hypothétique éjaculation post hôtel .....

Je payais la serveuse, et nous quittions le bar pour une petite balade dans les rues du centre ville. Nous regardions sans nous attarder les vitrines des commerces, parfois nos mains s'effleuraient, parfois se saisissaient sans règles , sans logiques, par simple instinct, envie.
Nous quittions un peu au hasard une grande avenue pour nous enfoncer dans un enchainement de petites ruelles dans la vielle ville et arrivions dans une toute petite ruelle. Je stoppa devant le porche de l'arrière de l'immeuble. C'était un petit porche donnant sur une arrière d'immeuble mal éclairée et il semblait que cela donnait sur l'arrière d'un restaurant. Les portes de l'établissement étaient fermées et si on franchissait le porche on pouvait voir les 4 immeubles qui donnaient sur cette cour intérieure. La cour était très éclairée, mais le proche sombre.
je pris la main gauche de Maud, la dirigeant contre le mur droit du petit porche et elle se retrouva contre le mur me tournant le dos.
J'ouvrais son trench en écartant les pans de chaque côté de ses fesses, dégagea la robe aussi. Sans un mot je sortais ma queue , raide, mettais un préservatif d'une main _ ce que j avais appris à faire et maitriser parfaitement-
je mordais le cou de Maud, et elle fit de sa propre initiative tomber son tanga sur ses chevilles. Je m'accroupissais pour l'enlever et qu'il ne finisse par terre, j en profitais pour sentir son odeur, et le plaçais dans la poche de mon jeans. Maud me tendit sa croupe prenant appuis contre le mur avec ses deux mains écartant les jambes. Je pris sa chatte d'un seul mouvement, lent, mes couilles venant butter contre son clitoris. elle était encore trempée, moi je me savais incapable du moindre exploit d’endurance dont je n'avais pas envie, je voulais juste être en elle, m'enfoncer dans cette chatte au plus profond possible et jouir
Je pris sa chatte bestialement par de lents mais grands mouvements de bassin, enfouissant ma tête contre sa nuque pour étouffer mes râles. Je retournais Maud pour qu'elle soit face à moi et de ma main droite je souleva sa jambe tenant le haut de sa cuisse en me positionnant légèrement de côté , et accélérais mon mouvement ma queue venant baiser cette chatte l'embrassant pour étouffer nos cris. Je jouis ainsi en elle, presque terrassé par mon orgasme que j'avais contenu depuis si longtemps.
Cela fut trop rapide pour que Maud puisse jouir avec moi mais elle avait pris son pied aussi. Nous réajustions nos habits, amusés par la situation et je jetais mon préservatif dans un mouchoir dans une poubelle du restaurant. Un léger baiser dans son cou, sur ses lèvres..je gardais son tanga dans la poche de mon jeans.
* Rentrons Maud, là tu n as pas pu jouir avec ces 5 minutes de petite baise sous la porche il faut ratt****r cette erreur!
* j avais déjà joui et j'ai adoré!
* oui et bien allez il me faut te faire jouir, quoique tu m as déjà beaucoup donné alors non mon défi sera qu'une fois à l hôtel tu jouisse mais cela ne sera pas moi qui te ferais jouir
* euh non pas de branlette, ça je connais,
* ce n est ni toi ni moi qui te feront jouir Maud, c'est mon défi pour le retour!*

Nous retrouvions la voiture et retournions à l’hôtel, Maud s 'apercevant qu'elle ne portait pas de culotte

..
to be continued
发布者 malgorh
9 年 前
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malgorh
malgorh 出版商 9 年 前
Maudlacoquine : à vrai dire, je ne pense pas grand chose, je ne faisais que répondre à ton ami, qui voyait l'histoire autrement que comme je ne l'ai imaginée et écrite. Ma seule vision est forcément celle que j'ai écrite. J'ai un fil conducteur donc le tome 4 est une suite à l’hôtel qui se passe à l'hôtel et le tome 4 couvrira le retour à l'hôtel, le repas, un évènement surprenant et je ne pense pas que tu t'y attendes
Pour être logique, après le tome 4 , le tome 5 serait la fin puisqu'une journée ne dure que 24 heures :smile: et que le lendemain je ne serais plus là...
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Maudlacoquine
malgorh : je me fous de ce que vous pensez, j'adore !! moi oui, j'adore et j'en veux encore ^^ que vas tu me faire dans ce tome 4 ?? sachant que j'ai énormément apprécié ce que tu as fais dans les 3 premiers tomes... hmmm tu m'as bien compris mon chou.... merci ^^
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malgorh
malgorh 出版商 9 年 前
JoliMembre : Nous verrons bien pour la suite :smile:
il t'est arrivé quoi, je ne sais pas trop de quoi tu me parles :smile:
les programmes sont divers et variés ce qui rend les choses intéressantes et l'histoire d'un jour n'est pas forcément celle de demain :wink: je ne récite pas une leçon non plus rassures toi, :smile:
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JoliMembre
malgorh : AH tout de même vivement la suite alors :smile:
Pour répondre à ta question vu que ça m'est arrivé très concrètement :
pipe 1/4 d'heure après, puis pénétration, sodomie, et grosse éjac 1heure après
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malgorh
malgorh 出版商 9 年 前
JoliMembre : c'est la suite des tomes 1 et 2 qui évolue mais je ne sais pas encore en combien de tomes cela ne dépend pas de moi. Il est normal que tu imagines une histoire différente.
Nous sommes tous différent, je préfère en effet me retenir, frustrer , pour savourer, gouter et exploser ensuite. L'hotel n était pas le lieu puisque tout commençait, le sexshop non plus car le jeu s'y déroulant était accès sur elle et non moi directement. Baiser dans une ruelle est jouissif pour le cérébral que je suis et n'offre pas d'inconfort avec un peu d'habitude :smile: c est come baiser chez soi debout finalement
ma philosophie, c est donner avant de prendre, donc j'aime jouer , perturber, frustrer même si cela me frustre aussi mais nous sommes tous différents . Ce n est pas une question de "simple" ou compliqué, à vrai dire et puis cette histoire se veut aussi "réaliste" dans son approche. Dans ce sens, on baise au bout de 10 mn quand on ne se connait que par Internet et que l on se voit pour la 1ère fois? on peut être bestial, rassures toi cela viendra lol mais pas tout de suite
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JoliMembre
ouep belle histoire que j'aurais pour ma part imaginée différente.
Quand tu écris "Non pas maintenant, je ne voulais, pas non pas maintenant..." au moment de bien prendre du plaisir puissant et confortable, tu pars soudainement dans une direction pour finir par décharger précipitamment en elle dans une ruelle inconfortable.
Comme je te l'ai dit moi j'aurais déjà donné et pris un premier pied réciproque à l'hôtel. Mais pourquoi faire simple ... n'est ce pas?
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